Franchir le seuil.

Ça y est, nous arrivons au bout de cette année 2022.

S'il fallait faire un bilan, je dirais que l'année a été enrichissante sur bien des points . . . 

On s'enrichit de tout, du positif comme du négatif. Les évènements négatifs permettent de mettre à jour des traits de caractère que l'on pourrait ne pas avoir soupçonné . . . c'est une mise à jour essentielle pour redéfinir les relations. 

J'ai passé un été amical/familial ressourçant. Une valeur sure, par laquelle on vit au jour le jour, sans prise de tête, juste de la bienveillance, de la simplicité et du partage, ça contribue grandement a évacuer les énergies négatives.

Je suis revenue de congés d'été en super forme, le dernier trimestre s’annonçait de bonne augure, j'avais juste oublié qu'il ne faut vraiment pas se réjouir à l'avance, d’où mon retour vers le fatalisme. Des évènements blessants m'ont remis les idées en place. 

J'ai profité de ces quelques jours de congés de fin d'année, et de la coupure avec le blablatage ambiant pour réfléchir à mes aspirations pour l'avenir. J'avais déjà décidé la mise en pratique de mon mutisme, sous entendu : je vois, j'entends, j'apprends . . .  je n'ai rien vu, rien entendu, et je ne dirais rien 🙈🙉🙊.

J'ai choisi de revenir à la simplicité, de mettre petit à petit de la distance avec toutes ces personnes qui se compliquent la vie à loisir, sans même s'en rendre compte et du coup qui me complique la mienne. C'est énergivore, épuisant.

Estelle l'a compris, devançant même la conclusion.

Alors, je ne compte plus m’épuiser et perdre mon temps, je vais franchir le seuil de cette nouvelle année, comme un nouveau cap . . . et ce, dans tous les domaines. J'opte pour une vie normale, avec des relations normales, etc

Au revoir 2022.

Sam 

 

Le monde est si petit . . .

 Même en vacances, même loin du lycée . . . On en apprend toujours. 

Même sans demander quoi que ce soit . . . Les gens parlent, et parlent encore, et racontent sur untel ou tel autre  . . . sans savoir qu'ils révèlent des choses. 😂😂😂 Le monde est vraiment petit.

Chez le coiffeur, en se promenant en ville,  en croisant des personnes qui connaissent, sans savoir que tu connais aussi, alors tu ne dis rien et tu écoutes et tu te marres intérieurement. 

On entend, on voit sans être vu, (l'inverse est forcément possible).

Il y a l'impensable, il y a la confirmation de ce qu'on sait déjà, il y a la déception.

Albi, trou du cul du monde. Rascol, on parle de toi partout.

Sam

Coton tige fait dans la pédale

 Faire 4 courses et tomber sur le coton tige, en tenue de cycliste . . .  😱😱😱.

Mais qu'est ce qu'il est vilain le pauvre homme, il n'a vraiment rien pour lui . . .  et cette tenue vient accentuer son apparente maigreur.

Je file à la caisse, et hop, le voilà encore non loin. Je tourne le dos . . .  on ne sait jamais, s'il a la mémoire des visages et qu'il me reconnait, je n'ai aucune envie d'être contrainte de le saluer. Il est a quelques mètres de moi, je l'observe . . .  il est au milieu du passage, en tenue, le casque sur la tête, à l’arrêt, l'air hébété, il a visiblement bugué. En plus d'être moche, il a l'air con.  

Je n'apprécie pas ce pleutre, et même si nombreux sont les hypocrites qui lui cirent les pompes, je ne joue pas dans cette catégorie.

Je n'ai ni envie de le saluer, ni envie d'aller manger les croissants ou autres viennoiseries qu'il offre lors d'un petit déj de permanence. 

Ce sont nos choix assumés qui déterminent qui nous sommes. Alors à vos miroirs ! ! et si vous n'avez pas honte de ce que vous êtes, je vous félicite ! ! !

Sam.

                                                   

Ce jour à l'émotion partagée

 Il y a 5 ans, le 27 décembre, à 2h15, chez mon fils, elle venait me réveiller pour me dire au revoir. L'infirmière l'a trouvé vers 9h, dans son lit. Elle s'était endormie définitivement, mon père ne s'en était pas rendu compte.

Ce même jour, 27 décembre, 31 ans plus tôt, à 2h10 naissait mon fils . . . 

Depuis 5 ans, ce jour est un jour à l'émotion très partagée.

Elle me manque tellement ! !

Sam

Pensée du jour

Joyeux Noël

Je vous souhaite à toutes et tous un Joyeux Noël,

que vous soyez entourés de ceux que vous aimez ou seul-e.

Je vous souhaite de mettre beaucoup d'amour dans chaque mot que vous prononcerez, dans chaque attention que vous offrirez à votre entourage, à vos proches, à votre famille...à ceux que vous aimez.

Dites leur combien vous les aimez et combien ces moments de partage comptent pour vous.

Ayez une pensée pour celles et ceux pour qui Noël n'aura plus jamais la même douceur, ni la même couleur, pour qui Noël signifiera douloureusement l'absence d'un être chéri.

Il n'existe pas de Noël parfait, mais ce que vous en ferez de magique, créera les souvenirs qui  porteront  l'année. 

 

                                                 Bonnes Fêtes de Noël.

 

Sam

Un repos bien mérité ! !

 60/40 . . . 

60 % de faignasses, et 40% de vaillants c'est ainsi que je définirais les stats au boulot. Et je pense que je dois vraiment calculer ça car je suis sure que je me plante.

Évidemment, il y a les arnaqueurs, ceux  qui arrivent de bonne heure mais qui tardent plus que quiconque a se mettre à la tâche, (de la poudre aux yeux) et la hiérarchie n'y voit que du feu. Ce matin, certaines sont sorties du vestiaire à 6h15 . . . On peut imaginer a quelle heure elles ont commencé à bosser . .  .  sachant qu'il faut le temps de rejoindre le service et le temps de préparer le carrosse, et ça, malgré la récurrence, les chefs ne le voient pas  ! ! ! , et  abdiquent lorsque ces mêmes personnes se plaignent d'avoir trop de travail .  .  . C'est quotidien, et ça me fait marrer de constater autant d’incompétences, je les plains, ils n'ont pas vraiment de quoi frimer.

Je vais devoir me taper un jour supplémentaire de boulot,( avant la rentrée, et comble de bonheur, pour terminer un boulot qui ne m'incombe pas ( si j'en crois la fiche de poste). Premier jour de permanence, j'ai effectué, avec ma collègue, une tache qui n'avait pas été réalisée par des collègues ( des faignasses couvertes par la hiérarchie. . .  elles flattent "le gros cul", et l'autre ne se sent plus pi . . . ). Résultat je n'ai pas réussi a finir, le deuxième jour, un travail qui doit être terminée la veille de la rentrée.  Si j'avais voulu partir fêter  le nouvel an ailleurs c'est mort, à moins d'arriver pour mettre les pieds sous la table mais ce n'est pas mon genre.( bah après c'est encore possible, tout dépend du nombre de kilomètres à faire)

Bref, je vais profiter de ces quelques jours pour me reposer, me recentrer sur l'essentiel, mettre un mouchoir sur mes déceptions, et réfléchir à comment mettre mes projets 2023 en route.

Sam

Les bleus . . .

Steph et son pendule : ils perdent

Angels : ils perdent

Môa et mon pendule : ils perdent . . . 

S'ils gagnent . . . J'arrête 

Sam

Touchée . . .

 "Cc ma chérie, petite pensée pour toi en cette journée spéciale et qui t'appartient 😅

je te souhaite un bon et joyeux anniversaire, merci beaucoup d'être mon amie, profite bien et tâche de fêter ça comme il se doit avec les tiens..

je pense à toi et je t'aime...

gros bisous à toi et à très vite au téléphone 😘😘🌹😍"

Le bonheur de recevoir CE message au réveil, de recevoir un bouquet de fleurs de mes 4 loulous, puis de les voir en visio, de me réveiller avec les jeunes à la maison et en musique, de recevoir l'appel de mes amis bretons, de recevoir aussi l'appel d'une personne qui disait n'avoir aucune mémoire des dates  .  .  . Et un très joli message avec un bouquet de fleur virtuel qui m'a beaucoup touchée.

Sam.

Liberté de parler . . . sérénité retrouvée.

 Quoi de plus rassurant et d'apaisant que de pouvoir discuter sans avoir a surveiller ses propos . . . ? 

"Attention, il ne faut pas dire ça, ne  pas parler de ça, ne pas divulguer ça , pas à elles, à eux, à lui, à elle .  .  . "  Je retrouve auprès d'elle la liberté de ne pas me censurer, de ne pas être sur le qui vive ( source de tension et d'ultra vigilance épuisante).

Les gens veulent du simple et se compliquent la vie à loisir, c'est usant et fatiguant. Et moi qui suis justement,  dans le questionnement perpétuel, je ne comprends pas que l'on puisse autant compliqué les situations lorsqu'elles ont tout pour être très simple,  et qu'ils   se rajoutent un fardeau dont ils pourraient se passer.

Marcher sur des œufs en permanence, c'est éreintant. On finit par se lasser, et par tourner  les talons. C'est ce que j'ai fait avec ma fille ainée  .  .  . J'ai coupé court,  et ne souhaite pas son retour. Et sans équivoque, mon amie est d'accord avec moi. On ne retourne pas vers ce qui blesse,  à moins d'être maso.

Alors je me préserve, je  fais semblant, et je laisse paraître  .  .  . Je prends de la distance, et surtout je ne communique plus rien, malgré tout ce que je vois, que j'entends, par moi même ou que l'on me confie. Je suis  redevenue fataliste pour éviter une trop lourde charge mentale. J'ai fait des choix, et  finalement décidé de me résigner, de renoncer à l'espoir d'un changement quelconque, question de survie en milieu hostile 😀. 

Les critiques sont parfois ignobles et ordurières,  voire sans concessions et dans le jugement de valeurs mais  je ne prends plus la défense de . . . 🙊 Chacun sa 💩.   

La construction de la confiance est comme la construction d'une maison, il faut plusieurs matériaux pour qu'elle évolue et soit solide, mais il suffit d'une fissure pour que tout  s'effondre.

La liberté de parler dépend de ce que l'autre est capable d'entendre, mais aussi de sa capacité au discernement et de la confiance que je lui accorde.

Sam 

Petite brève

 Ragoteur en chef est passé lorsque j'étais dans le bureau de mon supérieur hiérarchique . . . 

Le regard vif de la curiosité insatiable a vu . . . la langue, muscle le plus dynamique chez ce cloporte, fera le reste. 

Ça va "tchaper" même si ça n'a aucun intérêt   .  .  .  n'est ce pas le propos récurrent chez ce genre de personne . . . Discours stérile et sans consistance, parler pour ne rien dire  ?  ? Pauvre France  !  ! 

Sam

Un peu d'humour !

 Sam

Une douce après midi

Recharger les batteries, apaiser sa colère,  renouer avec la franchise et la sincérité,  balancer sa déception aux orties,  redevenir fataliste ( je te vois rire d'ici, mon Lou) se dire qu'on ne peut rien changer, ni les  personnes, ni les choses et ainsi retrouver de l'apaisement.

Elle me connaît et sans même devoir lui expliquer  .  .  .  Elle sait. Elle anticipe mes propos, mes pensées. Elle tombe sur les mêmes conclusions que moi. Alors, finalement non, je ne suis pas subjective.

Elle comprend que ma méfiance est montée d'un cran  .  .  .  a chaque claque, un cran supplémentaire. ( Et dire qu'auparavant je devais en prendre au moins 10 pour réagir, trouvant des excuses à tout le monde de me iech dessus .  .  . ) Une époque révolue.

Elle sait que si j'ai pu envoyer bouler ma famille, je ne ferais plus aucun quartier dorénavant. Ma qualité de vie et ma tranquillité en dépend. J'en ai assez bavé dans la vie  pour m'octroyer le droit de crever en paix.

Comme elle me disait, hier, certains-es ne se rendent pas compte de la vie qui est la leur. J'en ai convenu. 

Nous avons ri, nous avons fait des projets pour les mois à venir, ce fameux voyage au Portugal que nous devions faire ensemble, il y a 45 ans, des soirées pizzas/ mojitos entre autre. 

Ouiiii douce après midi.

Sam

Pleine lune

 Pleine lune : Aïe aïe aïe Ça secoue.

La colère qui bouillonne, des choses qui remontent en surface.  

C'est exactement ça.

Sam

Allo la terre, ici la lune

 Une demande de sortie a faire à Biboul.

Il est au téléphone en train de bavasser avec un OP (Déduction : quelques indices en fin de conversation)

Bref, j'attends au fond du couloir, et flûte la cave coopérative de Mazenay m'appelle,, et Biboul 2 mns en suivant, je m'excuse auprès de la dame et lui dit que je la rappelle.  

Je m'excuse auprès de Biboul, en lui disant sans réfléchir : un appel d'une cave coopérative bourguignonne. Son regard s'illumine ( pffff quel poivrot) : ahhhhh me dit il, vous y allez cette année ? Vous deviez me ramener du vin, une fois !  ! 

Je réponds : "oui, je devais  .  .  .  Et non je n'y vais pas" " - Lorsque vous irez, vous me le direz pour m'en ramener !  ! " 

Non mais je rêve😨😱😖, il croit sérieusement que je vais lui dire où je vais et quand ? ?  Et en plus, lui ramener du vin  .  .  .  "Tu sais quoi Biboul, va chercher bonheur au C.leclerc, rayon Pinard". Je n'ai plus ce genre de privilèges en rayon.

Peu importe mes prochaines destinations, Bourgogne, Bretagne, Montpellier, Perpignan, Portugal .  .  . Etc

 MOTUS ET BOUCHE COUSUE.

Je suis là .  .   .  . Eéééééé  .  .  .  .  je ne suis plus là 😎

Sam

Discussion passionnante

 😏😕 Ça met en condition de bon matin.

On parle de toi, devant toi, mais on ne te parle pas a toi .

J'ai du louper un truc .  .  .  ?  !  ?

Elles discutent de mes traits de fatigue, et se "concurrence" a savoir qui l'a remarqué avant l'autre . . .   

C'est bientôt Noël . . .  On prépare le réveillon, gros arrivage de bulots  !  !  ! 

Sam

Des décisions à prendre

 Je cogite, et cogite et recogite. J'assemble, je rassemble les différents éléments.  Je prends note de souvenirs lointains, qui finalement viennent confirmer une mauvaise foi avérée.

Est il si difficile d'admettre son imperfection, de reconnaître ses tords ? Oui, pour certains c'est même impossible. Il y a beaucoup d'immaturité dans cette attitude enfantine ou de fierté mal placée . . .  Un égo surdimensionné, peut être : on ne se croit pas capable de ça !  !  Et pourtant ce sont ces mêmes personnes qui pointeront la paille dans l'oeil de leur voisin, sans voir la poutre qu'il y a dans le leur.

Pourquoi ai je tant de mal a me faire confiance ? Mes premières intuitions sont toujours les bonnes et je ne les écoutent pas. 

Pourtant, elles se vérifient à chaque fois.

Des choses à repenser, totalement.

Sam

Et Hop hop.

 1 ière journée d'échappée  .   .   .  Les filles sont ravies de me voir revenir faire les pauses avec elles.

 Et j'ai déjà, sous cape des arguments pour le cas où les chefs viendraient a ne pas être d'accord.

Moralement, je ne suis pas au meilleur de ma forme, je me mets des pieds au cul pour ne pas cogiter, physiquement je me sens chamallow, forcement, vu que je ne m'alimente pas, je n'ai aucune envie de manger, et comble de bonheur, je n'ai même pas faim. Je suis passé du 1 Yaourt 2 mandarines, vendredi, a plus rien du tout. J'ai de toute façon une boule dans la gorge.

Bizarrement, tous les blocages sont là, pas de colère, pas de larmes,  pas d'envie. C'est comme si j'avais pris un bain de glaçons, et que je sois encore tétanisée par le froid.

La seule chose dont je suis sûre, c'est de devoir mettre de la distance entre Rascol et moi.  Je n'ai pas d'autre choix que de rester présente, pour le moment pour payer les factures. Mais ça devient compliqué de sacrifier son bien être mental pour un job alimentaire. 

Ça passera. 

Je rends les 10 mns de Vendredi, je l'ai informé.( Le mâle alfa).C'est ni de la lèche, ni du zèle . . . Je veux juste avoir la liberté de lui dire " merde, je ne vous dois rien"  il souhaite que je le tienne informé de mon état et des avis médicaux le cas échéant . . . 😜 Il croit au père noël, lui. On nest pas pote ! ! Je lui ai dit, ne vous inquiétez pas, si je décéde, pour serez informé.

Sam

" Tes maux sont les mots que tu tais."

 J'ai pris mon anti dépresseur, un anxiolytique, et un somnifère, si avec ça je ne dors pas, je ne sais pas ce que je pourrais faire d'autre. 

Je ne mange pas non plus, ça ne passe pas. 

Alice, mon Alice me dirait : Tu n'avales pas, tu ne digères pas, donc tu n'arrives pas à manger, et si tu manges un peu, tu souffres des intestins, normal, ton corps parle : tes maux sont les mots que tu tais. Elle nous expliquait toujours qu'on ne parle jamais par hasard, j'en ai plein le dos et on souffre du dos, ça je ne peux pas l'avaler et on se retrouve avec un mal de gorge . . . etc.

Je me reproche d'avoir parlé et même si je ne m'attendais pas à cette réaction, je suis en tord. A l'avenir, je sais dorénavant que je resterais muette, tant sur ma vie perso, que sur le boulot. 

Qui dort dine alors je vais tenter de dormir.

Sam

Je disais donc . . .

 Vendredi, je suis partie plus tôt, j'étais plié en deux de douleurs, le chef  a vu que je n'étais vraiment pas bien durant la matinée, me l'a dit en faisant une grimace il m'a donc autorisé a partir 10 mns plus tôt, sans avoir à les lui rendre (Je suis assez conne pour demander l'autorisation, alors que la majorité le font sans autorisation, Le mâle Alfa s'étant barré, certains ont profité. Perso, j'en ai rien à foutre, et j'irais même jusqu'à dire "bien fait pour sa pomme" et lorsqu'il se rendra compte qu'il s'est fait bananer par ses taupes,  j'applaudirais des 2 mains en affichant un grand sourire face à lui.

J'ai mis à jour  mon CV, et je compte consacrer une partie de mes vacances à prospecter puis envoyer des demandes, au même titre que je persiste à chercher une maison pour déménager.

La remise en question implique le JE mais certainement pas le TU. Je ME reproche de l'avoir mise en garde, je pensais qu'elle se le tiendrait pour dit, pas qu'elle allait réagir ainsi.( ce n'est pas comme si je ne l'avais pas déjà prévenu)

 J'ai eu du mal à m'entendre dire : "tu n'aurais pas du me le dire" . . .  C'est du même acabit que " docteur ce n'est pas ma faute si je grossis et si j'ai du cholestérol, c'est la faute de ma femme qui cuisine bien"( Phil au médecin du travail) "Mais bien sur . . .  qui t'oblige a te servir plusieurs fois et a BOUFFE comme un goret affamé ? " Conclusion, comme tu ne sais pas te gérer et te comporter comme un adulte responsable, c'est a moi de réduire la quantité à servir et à cuisiner de la merde . . . 

Bah donc, sur ce principe, il ne me reste plus qu'à ne rien dire du tout, et a personne de surcroit. J'ai la possibilité de m'écarter, j'irais prendre ma pause au CDI avec les filles,( Nelly et Charlène seront ravies) comme il n'y a pas si longtemps. Je ne voyais personne, n'était au courant de rien, et ça m'allait très bien. J'ai besoin de prendre du recul, de rentrer dans ma bulle, et de me recentrer sur l'essentiel. Et ça m'évitera d'être désagréable avec les gens

 Sam

Des changements à venir

 J'ai longuement discuté avec ma chérinette, hier soir.

N'ayant pas pu lui expliquer par message ce qu'il s'était passé , nous avions convenu de nous appeler. Je lui ai donc raconté l'événement dans son intégralité, tout en lui disant la peine que je ressentais de payer les pots cassés de cette histoire. Je n'ai pas caché ( c'est inutile) que j'avais des insomnies, et que j'avais du mal a m'alimenter. Elle comprend et ne juge pas. 

 Forcément, ça remet les choses à leur juste place," ne viens plus en aide à quiconque, et ne préviens plus, laisse les gens se vautrer, personne ne prend ta défense, et pour 10 fois que tu viens au secours de quelqu'un, on te rend la pareille 1 seule fois, pense à toi en priorité"

José, mon Lou, idem ce matin.  Lui, a mis des barrières d'entrée, a son boulot. Un collègue qui venait pour critiquer d'autres collègues, recadrage direct. "Je ne suis pas là pour écouter des critiques, mais pour bosser" "je ne veux rien entendre sur ces gens là"  Il était, cependant, navré pour moi, que je me retrouve au cœur de cette histoire juste pour avoir voulu mettre en garde." Je sais que ton empathie joue un rôle la dedans, ferme tes écoutilles, et détourne ton regard. Personne n'a pris ta défense lorsqu'on t'a critiqué. A ce que j'ai cru comprendre, on t'a bien taillé des costumes pendant un temps, sans que personne ne s'en soucie

 Nous en avons profité pour parler de  notre amitié, de ce qui l'animait depuis tout ce temps. Il m'a dit," je suis là pour toi, tu le sais, je serais toujours là pour toi, n'oublie pas que tu as un ami" 

Non je n'oublie pas ! !

Quelqu'un m'a dit que j'étais sympa, empathique, généreuse, que j'avais généralement bon cœur, mais que  si on me la faisait  à l'envers, alors je fermais mes stores. C'est tellement vrai.

Alors j'ai beaucoup réfléchi aujourd'hui, des changements sont à venir, et tant pis pour les dommages collatéraux. 

On ne m’épargne pas, je n'épargne plus.

Sam.

Silence on y retourne, question con 2eme

 Elle rentre dans la salle de repos, pendant la pause repas Line. A :

Elle n'est pas là, Cha .  .  .  ?

Excédée, je regarde autour de moi, derrière moi( le mur) et je réponds : ça ne se voit pas ? et je rajoute tu en as d'autres des questions débiles ?

Évidemment  une fois partie : - tu vas te faire des ennemis.

-pas grave, je n'en ai plus rien à foutre. Je ne suis pas ici pour me faire des amis. Et je suis fatiguée de ces gens là.

NB : j'en ai marre de prendre des gants et d'être dans une dynamique de ne pas être blessante. On ne regarde pas, si on me blesse. Alors j'ai fini de prendre sur moi. Je vais être cinglante, et tant pis pour vous.

Sam. 

Question Con

 Elles rentrent dans mon espace Zohra.B, Hasnia B :

- T'es seule?

- bulle de pensée ( non connasses, avec mes amis imaginaires) réponse ferme et sèche : oui ! ! 

La prochaine fois, je regarde autour de moi  et:  tu en as d'autres des questions cons ?

Sam

Fatiguée d'être sympa

 

Quelques explications . . . ! ! !

 Je racontais, hier, à mon amie, le déroulement de l'événement qui était responsable de mon état.

Je lui ai expliqué, les attitudes de chacun, de l'avant et de l'après. Nous avons décortiqué, analysé d'un oeil extérieur le comportement puis les réactions en finalité.

J'ai été déçue de constater qu'une fois encore, on ne s'applique pas à soi même, les conseils que l'on donne aux autres. Bizarre ? Non ? Pas du tout,  les personnes sont moins tolérantes lorsqu'ils sont au centre des histoires, et beaucoup plus cool lorsqu'ils n'en sont pas la victime. C'est tellement plus facile d'etre détaché lorsqu'on n'est pas la cible. Iels sont auto centrées. Combien de fois  m'a t on demandé de m'écraser ? De ne pas me prendre la tête  !  A coup de phrases comparatives, et moralisatrices  .  .  . donc  les autres auraient  des droits . . 👎et moi des devoirs ? ? 😡

Je n'étais pas surprise, MALHEUREUSEMENT, du résultat de l'opération, et des réactions qui s'en suivent mais mon amie est compréhensive .   .  .  

"Je comprends ta fatigue/lassitude  avec de telles attitudes ! ! !  c'est pareil pour moi, et à nos âges, on n'a plus envie de ça."

Hypocrisie, mensonges, injustices  .  .  .  j'en ai soupé.

Bien obligées d'en conclure que certains se nourrissent de conflits, c'est leur moteur,  et remplis leur vie.

Nous nous sommes mises d'accord aussi, sur le fait que comme des gamins, il faut leur taper sur les doigts lorsqu'ils font une bêtise,  et leur répéter sans arrêt que ce n'est pas bien. S'ils s'étaient fait "gronder"  a chaque fois, il n'en serait pas là a leur âge. Le problème c'est qu'ils se pensaient a l'abri d'être pris en flag de médisances, ce dont d'ailleurs, Ils accusent les autres. Mais ils sont tellement ignares, qu'une poufiasse au QI de bulot parvient à leur retourner la verrue qu'ils ont entre les 2 épaules.

Ils critiquent chez les autres ce qu'ils font eux mêmes et se trouvent des excuses en disant" tout le monde le fait" :  c'est loin d'être un argument défendable  .  .  .  " Puisque l'autre est un connard, je peux être plus connard que lui " : incroyablement immature. Mon père m'aurait retourner la tête avec ses battoirs, si a la maison un seul de nous avait tenu cet argument,  il n'a jamais supporté la nullité. 

 Ça m'a rappelé, une petite tension, pour laquelle on m'a dit qu'il fallait balayé sous son paillasson, c'était un euphémisme lorsqu'on sait que la merde qu'il y a sous le leur se chiffre en tonne.

J'expliquais aussi a mon amie, que récemment,  un évènement c'était déroulé en quatimini un matin. Le témoin de la scène me la raconte. Dans l'après-midi je confie à mon tour la péripétie, a quelqu'un en qui j'avais confiance, et pour cause ( mais bon) et le lendemain matin, Bingo, retour au point de départ. Le cafardage n'a pas traîné . . .  Pour certains, la langue est le muscle le plus vaillant, le dynamisme est moins flagrant pour bosser. Bref, le retour .  .  .  c'est moi qui l'ai eu. La témoin a su que j'avais parlé et a qui j'avais parlé, résultat RIP le secret. Évidemment, je ne m'attendais pas à ce que ce soit rapporté. ( Ma confiance est retombée comme un soufflé raté) et comble de bonheur ( ironie) au reproche de cafardage, j'ai eu droit au mensonge éhonté  .  .  .  Tellement énorme que j'ai compris qu'à travers ça, on me prenait vraiment pour une conne. ( Elle va tout gober la vieille, et NON) NON, personne ne savait, au contraire de ce qu'on a prétexté pour se dédouaner de la faute. Et que dire, ai je fait la gueule ? Au pire ai je pris une décision radicale. J'ai juste pris note et me le suis tenu pour dit. Depuis, d'ailleurs, je n'ai rien dit de confidentiel, et j'ai écouté, silencieuse, les "anecdotes" du boulot, sans les divulguer a qui que ce soit le lendemain.

Comment sauvegarder le secret d'une relation ? Il y a des attitudes qui éveillent les soupçons  .  .  . pas vis a vis des cons  .  .  .  Nonnnnn mais vis a vis des autres. 

C'est avec des épisodes comme cela qu'on découvre le véritable personnalité des gens, a condition d'avoir su développer un esprit critique, ainsi que des compétences en discernement.

J'ai expliqué a mon amie que je n'avais fait que  mettre en garde la personne, sans rentrer dans les details, juste dit : "Attention danger, ils disent que tu parles trop, que tu fouines pour aller tout dire au chef" " je t'ai déjà prevenu de ne strictement rien leur dire."Je comprends qu'elle ait péter les plombs, mais je ne suis pas responsable des propos qu'ELLE et ELLE SEULE a tenu ensuite,  à aucun moment je n'ai parlé de quand, comment, avec qui  .  .  . J'ai l'habitude il  aura  tôt fait de me coller l'entièreté des propos. 

Et j'essuie encore les plâtres . . . Alors tchao ! ! 

Sam 

Ma cousine, ma soeur, mon amie

"Tu es mon autre" c'est a cette chanson que je pense lorsque je pense à notre amitié. Nos délires, nos rires, notre complicité .  .  . Les années qui nous ont parfois éloignées n'ont jamais  entachée  notre relation. 

Nous nous sommes toujours retrouvées comme si nous nous étions quitté la veille, avec juste une mise a jour de nos vies respectives a remettre a niveau.

Aujourd'hui, une fois encore ça a fait mouche .  .  . Rires, délires au coin d'un bon feu de cheminée, et devant un match que nous avons commenté avec délectation .  .  . Que c'était marrant ! !  

Une fois encore, tu as eu les mots qu'il faut pour me réconforter  .  .  .  Mes confidences, mes ressentis que je peux exprimer sans risque d'etre juger .  .  .  Ta compréhension et ta bienveillance sont réconfortantes car je sais pouvoir faire confiance en ta franchise, et a ton esprit d'analyse. 

Tout est limpide et fluide avec toi  .  .  . Si seulement ça pouvait être comme ça avec tout le monde. 

J'avais tellement besoin de cette fraîcheur relationnelle aujourd'hui. 

Avec toi, je peux être enfin moi, et ça, ça n'a pas de prix. Je t'aime ma chérie.

Sam

On prend les mêmes et on recommence . . .

 

Avis aux amateurs ! ! !  On m'a critiqué et habiller pour l'hiver, parce que je suis  franche .  .  .  Mais là, t'as le bonjour des hypocrites  !  !  Un bon vivier.

Méfie toi, ton tour viendra.

Sam

Pensée

" Ce n'est pas toujours la vie qui sépare les gens,

C'est la méchanceté, l'hypocrisie, la trahison l'égoïsme et le manque de respect.

Ne fais pas confiance à  tout ce que tu vois, 

Même le sel ressemble a du sucre."

Intouchable

 C'est marrant de constater à quel point certains se croient intouchables  .  .  .  je me suis souvent demandé comment on pouvait  être aussi naïf et crédule, et  convaincu qu'on peut tout se permettre sans que le boomerang ne revienne en pleine tête 😱

Comme on dit, tout vient à point à qui sait attendre, et là, boomerang le retour !  !  ! Je sais  .  .  .  Ce n'est pas bien de se réjouir du malheur d'autrui, mais constater que ceux qui se croient intouchables, inattaquables, insoupçonnables revoient à la baisse leur invulnerabilite me procure un vrai kiff.

Culbuto frisottis s'est fait descendre de son piédestal  par son supérieur hiérarchique  .  .  .  Et ouiiiii lorsqu'on s'autorise à être hors limite, il faut s'attendre à ce que tôt ou tard, le vent tourne .  .  .

A mes yeux, c'est un juste retour des choses. On finit toujours par récolter ce qu'on a semé .  .  . Le karma 

Culbuto n'a pas supporté de prendre un abattage et d'être humilié ( au moins, il aura peut être compris ce qu'il fait aux autres ) et les larmes aux yeux, il s'est mis en arrêt. ( La rumeur raconte qu'il fait un burn out et si j'en crois la définition s'est impossible. 😂😂😂 ) (Pour faire un burn out professionnel, il faut travailler et lui tout ce qu'il fait, c'est surveiller, grignoter, et grossir .  .  . )

"T'es con, mec, ou bien?" Tu navigues dans l'abus de pouvoir parce que tu es chef, mais toi aussi tu es le sous fifre de quelqu'un, et toi aussi, tu peux être traité de la même manière dont tu traites les personnes sous tes ordres  .  .  .  Ahhhhh pauvre petit garçon qui se croyait intouchable  !  !  ! 

Sam

Histoire drôle

Lorque les vacances furent venues, liboubou,  lèches boules et  piques assiettes firent ripaille de spaghetti bolo pour fêter l'arrivée des congés. 

Au retour, maître Culbuto lui tint ce langage :

Alors liboubou, en d'autres temps tu as su festoyer et faire ripaille,  sans te préoccuper du foutoir que tu laisses derrière toi et bien,   amène donc tes  16 ecornifleurs a la panse bien pleine et viens nettoyer ta pagaille...

Si j'en crois les ouï-dires,  Bébé Liboude a trop vouloir le pouvoir, s'est fait descendre de son perchoir.

Sam

Visite d'essai

 Euhhhhh j'ai essayé une séance de  chiropraxie aujourd'hui . . .

Sam

Petit échange marrant.

 Mon nouveau voisin bosse sans relâche.

Je le vois monter, puis redescendre, puis remonter . . .  Quelle énergie, c'est top et c'est loin d'être le cas de tout le monde ici.

Il est roux . . . Est ce la raison ?

Et sa queue . . . Quel panache ! !

Biboul 23 passe la porte en roumegant ( ici . . . on ne dit pas râler mais rouméguer) m'expliquant que "les plus gros soucis arrivent le vendredi, alors que nous sommes fatigués, énervés, qui ne nous tardent qu'une chose c'est se barrer et pourquoi pas le lundi, lorsque nous sommes en forme"?

Il faut positiver Mr F, regardez mon nouveau voisin  🐿️ qui construit sa hotte  . . .  ? que n'ai je dit . . . ?  Il s'empresse d'embrayer sur des propos chelou en riant, et finit par me dire, " ne me prêtez pas des pensées que je n'ai pas, je pense en linéaire, MOI, Mme P." ( il ne savait pas que la "chalet" que fabrique tic et tac se nomme une hotte)

"Désolée, Mr F de penser en arborescence". ( Incroyable  .  .  . 😱 quelqu'un qui comprend la différence entre la pensée linéaire et celle en arborescence .  .  .  c'est tellement rare )

Il reçoit un coup de fil,  répond en s'éloignant dans le couloir, puis revient enchanté, en disant : " ça fait du bien lorsque la personne comprend de suite ce qu'on lui dit " je réplique : " c'est sur, c'est plus reposant, vous me comprenez . . .  c'est usant à force " et lui de dire : " oui,  ici,  il n'y en a pas beaucoup qui comprennent de suite ".

Sam

Navrant ? Nonnnn Consternant.

 Le 29 sept, j'écrivais un post inspiré d'un événement survenu au boulot, et qui révèle bien des comportements récurrents chez certains.

Et aujourd'hui, c'est confirmé . . . Ce n'est pas accidentel, mais bel et bien un trait de caractère, et du coup, ça me pousse à engager des marches arrières.

 . . . j'avais déjà constaté, à plusieurs reprises, la curiosité effrénée de B,  un collègue de travail, ainsi que sa dextérité à colporter les nouvelles ( déformées, c'est mieux, ça devient un ragot)

Cela faisait quelques temps déjà, que je ne disais plus rien en sa présence, répondais à ses questions brièvement, et gardais mes distances . . . Les gouailleurs me chatouillent les nerfs.  A contrario, ce genre de gars est bien utile lorsque tu veux qu'un truc fasse le tour . . .  En tout cas, c'est ainsi que l'on découvre la véritable nature des gens.

Le 29, donc,  E  se retrouve coincer dans l'ascenseur avec L.  Évidemment les bouches de vieilles ont tôt fait de se délier, et les bouches à merde de sauter sur l'occasion de le crier sur tous les toits, bille en tête : le médailler d'or de la curiosité malsaine et du commérage, qui s'empresse de prendre le téléphone . . .  le ridicule ne tue pas, heureusement pour lui, car plus ça va plus je le trouve très con . . . pas méchant, Nonnnnn juste très con, pipelette, curieux, un bon petit cul terreux comme l'était son père d'ailleurs.

C est restée silencieuse sur l'évènement, à raison. C'est E, lui-même qui a anticipé les ragots, en me confiant le "scoop" du jour, comme il a dit. Franchement, j'ai compatis sachant le grand nombre de langues de vipères qui trainent dans ce bahut. 

Avec C, on s'amuse parfois de voir par qui les infos, ou intox transitent . . . on sait, et on se tait . . .  on s'avoue avoir su, une fois que les dealers de commérages, les commentateurs de la vie d'autrui ont fait la seule chose qu'ils savent faire avec brio  . . .  alors, on se marre . . .  car c'est sans compter sur leur déresponsabilisation, leur mauvaise foi, leur facilité à accuser les autres de leur propre travers.

 On avait décidé de tester ( et du coup  piéger), ceux qui se permettaient de dire d'elle qu'elle parlait trop . . .  Ça a marché( il suffit de balancé de l'intox à une seule personne et d'attendre) 

Bref, tout ceci est bien consternant . . . L'histoire de l'ascenseur, la reinterpretation des propos de l'intendant pour se faire mousser et jouer "grand prince", le cafardage du moindre propos . . .

Et après ce sont les premiers à dire que C répète tout 😂😂  ahhhh trop fort, il n'y a pas pire blablateur, a croire que leurs miroirs sont en bois. Accuser les autres de ses propres travers est le signe même de l'immaturité . . .

J'avais même entendu à ce propos, " qu'il fallait balayer sous son paillasson"   et je suis certaine que la personne en question s'etait faite enfumée( enfin, c'est l'excuse que j'ai donné , en espérant que ce ne soit pas de la mauvaise foi et du foutage de gueule, ou encore l'inexpérience du terrain, ou pire encore un manque de caractère et de personnalité .)

Voilà voilà comme dirait mon Lou . . .  lui seul comprend mes crises de misandrie.

Allez . . . ! ! ! le côté positif, c'est la leçon que l'on tire de ça . . .  On sait à qui l'on peut parler et avec qui on doit  ne parler que de banalités. C'est fatiguant, et usant mais pas le choix.

Sam

La lithotherapie

 Certains savent mes connaissances/ competences/ intérêts spécifiques pour la psycho, la morpho psycho, l'aromatherapie . . . Etc, et  la lithotherapie, le pouvoir des pierres en fait partie. 

J'ai découvert la pierre idéale pour éloigner les connards . . .

Rien de mieux que le parpaing.

Il libère votre énergie,  et éloigne la colère ( elle s'agglutine au parpaing et s'envole avec) 

Il permet  de retrouver la sérénité.

 Il permet aussi un développement musculaire du bras droit ou gauche, selon que vous êtes droitier ou gaucher ( évidemment)  ou des deux (chanceux que vous êtes) si vous êtes ambidextre. ( dans ce cas, pour plus d'efficacité, jeter 2 parpaings en même temps)

Elle  contribuera ( la pierre) à améliorer votre adresse, si votre connard "se mouve" en zigzag . . . 

Pas besoin de purifier la pierre avant l'envoi. 

Sam

Navrant

Navrant, mais surtout épuisant de constater la rapidité avec laquelle certains se hatent de colporter ce qui pourrait faire jaser. Ils sont plus prompts à faire circuler des rumeurs qu'à bosser ces faignasses. 

Le pire, c'est que ce sont ceux qui ont la langue qui traîne par terre, qui accusent les autres de baver . . .

Mêêê ! ! !  Comment font ils pour être à ce point dans le déni vis à vis d'eux mêmes ? Aucune remise en question et quelle immaturité ! ! ! C'en est effrayant.

J'attends avec impatience le jour où ils seront au centre des rumeurs dont ils se délectent tant . . . 

On dit que les rumeurs cessent lorsqu'elles arrivent aux oreilles d'une personne intelligente . . .  Ben au moins on sait où sont planqués les cons. 😂 😂

Sam

Je me suis fait une promesse

 "Je me suis fait une promesse ... 

Celle de prendre désormais soin de moi avec bienveillance, douceur et tendresse ... 

 Il m'a fallu bien des années ... 

Pour comprendre que si je ne travaillais pas sur moi, ma vie n’allait jamais changer ... 

J'ai commencé par arrêter de lire en boucle les anciens chapitres de ma vie ... 

Pour en démarrer un nouveau plus calme et plus léger dans mon esprit ... 

Je suis sortie de ma zone de confort ... 

J’avoue, cela m’a demandé beaucoup d’efforts ... 

J'ai cassé ma carapace construite comme barrière de protection ... 

Me protégeant de tout ce qui impactait trop mes émotions ... 

Je me suis libérée de chacune de mes blessures émotionnelles ... 

J’ai enfin pu déployer mes ailes ... 

Je me suis rapprochée des personnes qui me font sourire ... 

Oui j'ai eu la force de quitter celles qui me faisaient souffrir ... 

J'ai réussi à lâcher-prise dans certaines situations ... 

En écoutant attentivement mon intuition ... 

J'ai osé croire en mes choix ... 

En mes rêves, et en moi ... 

J’ai écouté les messages de mon cœur, la signification de mes douleurs ... 

En les soignant, j’ai découvert le véritable sens du mot bonheur ... 

Je me suis fait une promesse ... 

Celle de prendre désormais soin de moi avec bienveillance, douceur et tendresse ... 

Pour qu’enfin je puisse moi aussi ... 

Être heureuse dans ma vie ... "

Stéphanie Leloir

Un texte qui me parle

Sam

Misandrique ? . . . Moi . . .?

 La misandrie (du grec ancien μῖσος / mîsos (« haine ») et ἀνήρ / anếr (« homme ») est un terme désignant un sentiment de mépris ou d'hostilité à l'égard des hommes.

Comment ne pas le devenir ?

 Le lieu même de mon travail est un terrain propice à la culture et l'entretien  de ce sentiment.

Déjà, J'étais facilement dans  une  propension à cette appréciation vis à vis du mâle et seuls mon fils, mon Lou, et mon père sortaient du lot.

Mon père tombé en disgrâce pour avoir pratiquer la mauvaise foi, le mensonge, l'hypocrisie et j'en passe . . . Je me retrouvais avec seulement 2 personnes masculines qui ne m'ont jamais donné de  grains à moudre.

Alors, c'est vrai . . . Selon la définition, j'ai très souvent, trop souvent du mépris pour les hommes en général. Il faut dire qu'ils s'arrangent toujours pour m'offrir de quoi les sous-estimer.

Avec l'explosion de la libération féminine,  la suprématie patriarcale a pris du plomb dans l'aile.  Auparavant  l'homme se sentait tout puissant, et la société était formatée dans ce sens. Bobonne n'était utile qu'à s'occuper des enfants et des servitudes domestiques. Même sexuellement, Môssieur prenait son pied, et profitait de la besogne pour distribuer sa semence afin d' assurer sa descendance. Il  Mémère avait juste le devoir d'enfanter, et d'écarter les cuisses pas celui de jouir . . .

Avec l'évolution, la femme s'est mise à travailler, mais  aussi continue à s'occuper des enfants et des tâches domestiques quotidiennes ( seulement 27 % d'hommes français participent aux  tâches ménagères, ça rame) 

La femme a obtenu le droit au plaisir et à la jouissance . . . Mettant ainsi un terme à l'exclusivité masculine, oui mais . . . parce qu'il y a un mais . . .  Ça redistribue les cartes du jeu. De la toute puissance, l'homme en devient impuissant, pour d'autres, l'incapacité à donner du plaisir à leur partenaire . . . Et ouiii, on fait moins les fiers, hein ? Et du coup de " Rooooo celle là, elle est bonne" du mâle paonesque, on passe à " Rooooo celui là, il ne sait vraiment pas s'en servir, prévois ta grille de mots croisés, tu vas te faire iech ! ! ! " 😂😂, après tout, chacun son tour, hein, c'est tellement facile.

Parce qu' il faut reconnaitre quelque chose : on est bonne lorsqu'on vous fait du bien, et vous êtes des mauvais coups, parce que soit vous  ne pensez qu'à vous, soit vous  ne savez pas comment faire, et l'un dans l'autre, nous sommes les perdantes. Alors rassurez vous les gars . . .  On peut très bien se débrouiller sans vous.

En somme, nous n'avons eu qu'à intégrer le monde du travail, mais pour vous, la tâche était beaucoup plus ardue pour atteindre une certaine égalité, comme s'occuper des enfants, s'occuper de la logistique domestique, etc.

Forcément, nous . . . nous avons découvert nos nombreuses compétences, nos forces, notre pouvoir d'adaptation, quant à vous . . . Pour une grande majorité . . . Ça patauge, ça patauge, entre des décennies de patriarcat bien enraciné, et le cocooning de  môman, trop souvent formater inconsciemment dans l'éducation  patriarcale, il y a du boulot.

Il y a toujours eu, autour de moi, dans le cadre familial, où Professionnel des hommes pour nourrir ce sentiment de méfiance et de mépris . . .

Peut être, un jour, une longue liste des personnes qui ont croisé ma route pour détruire l'estime que j'aurais pu avoir. 

Sam

Mais quel pied ! !

 Il y a mille façons de découvrir ce que valent les gens,  et entre autre, leurs travers . . . mille façons de les piéger pour que sans qu'ils ne puissent s'en rendre compte, on en apprenne sur leur personnalité.

C'est ainsi que j'ai jeté un pavé dans la mare du cireur de botte . . . Aussitôt le flagorneur court, vole , s'envole colporter la nouvelle : "Allo, Allo la tour de contrôle ? ! ?  la dadame elle a dit que vous étiez mysogyne  ! ! ! "

Le jouvenceau est un cafardeur et lorsque j'étais enfant, on jouait cruellement à faire pleurer les cafardeurs, en leur disant fièrement " nous, les cafards, on les écrasent avec le pied"  😂 😂 et ça chialait.

Il faudra donc rajouter à la liste des tares de "Fashion victim" le cafardage . . .

Bouhhhh ! ! ! bébé Liboude . . . c'est vilain pas beau  ! ! !  😂 😂

Conclusion: Bébé Liboude est un menteur, un cireur de botte ( hey, on reste poli, j'aurais pu écrire un lecheur de . . .  Nonnnn 😱😱 berkkkk 🤮🤮 et un CAFARDEUR.

Sam

Youpiiiiiiii

 

Avec le temps

 " Avec le temps, j'ai arrêté de dialoguer avec ceux qui ne m'écoutaient pas et avec ceux qui voulaient toujours avoir raison.

J'ai aussi arrêté de chercher les gens qui ne me cherchaient jamais, de penser à ceux qui ne pensaient jamais à moi.

J 'ai commencé à faire ce qui me fait du bien, sans excès mais avec passion.

J 'ai commencé à faire confiance à mon intuition pour tout, pour chaque choix, pour chaque personne.

J'ai commencé à éviter les gens négatifs et j'ai commencé à fréquenter les rares personnes positives.

Parce que j'ai appris à me respecter et j'ai commencé à me mettre en premier.

Parce que je pense que je le mérite. "

- Meryl Streep-

Sam

Question existentielle ! !

Comme indiqué sur l'illustration de mon post précédent, j'ai la conviction que l'on ne peut être heureux à deux que lorsqu'on sait être heureux seul-e. En effet, selon moi, l'autre n'est pas là pour combler un vide, un manque, un ennui car iel devient, alors, une nécessité vitale comme manger, boire,  dormir et non un choix de partager sa vie, par amour et dans le désir de donner à l'autre le bien-être de sa présence.

C'est ce que j'ai tenté de faire comprendre à I et E, deux personnes qui viennent de subir une rupture relationnelle, et qui souffre de la solitude. E est persuadé que cette solitude avérée est plus facilement acceptable par une femme . . . I subit depuis 2 mois cette absence et le manque qui l'accompagne . . .  Je pense plutôt que c'est une question de caractère, d'expérience de vie et de capacité à l'indépendance. 

Pour exemple: mon ex, Philippe, lorsque je partais seule en vacances, se plaignait que je lui manquais, mais force m' était de constater que ma présence ne changeait rien à son comportement à mon retour. . . je n'ai  eu aucun mal à comprendre que ce n'était pas moi, en tant que personne qui lui manquait, mais bel et bien le confort quotidien et domestique que je lui apportais. Il ne faut pas tout confondre

J'ai été seule, même en étant entourée, alors pourquoi s’embarrasser à supporter l'autre ? parce que c'est bien de cela dont il s'agit. Lorsqu'il n'existe pas de véritable partage, lorsque le quotidien est fait de routine et de "servitude" vis à vis de l'autre, lorsqu'il devient un déplaisir, le sentiment s'étouffe jusqu'à disparaitre, alors  autant rester seul-e.   Ne dit-on pas : mieux vaut être seul que mal accompagné ! !  La solitude devient un choix, une préférence  . . . Quitte à être seule, autant l'être vraiment.

J'avais choisi, par amour, par tradition, parce que c'était dans les us et coutumes de partager mon quotidien avec  deux des  hommes qui ont été mes maris . . .  Mais je n'avais pas choisi d'être la domestique et de ne partager que les murs, une place à table, et un lit. 

Somme toute, même en colocation ça se passe mieux, car chacun a des obligations vis à vis de ses colocataires, et le  bonus, pas obligée de coucher . . . 😂😅.

 Je n'avais pas cette vision de la vie commune. Je gardais, imprégner en moi, l'exemple parental, ou le partage était bien présent dans tous les domaines,  ou les gestes de tendresse et d'amour perduraient au fil des années ( même s'il y avait parfois des couacs comme dans tous les couples) ou les concessions étaient mutuelles.

J'avais surement une vision idyllique de la vie à deux, alliant a la fois partage et indépendance. Pas de règles établies dans le partage des taches qu'imposent la quotidienneté mais une conception davantage altruiste, et de connaissance des obligations que requiert l'entretien d'une maison, la préparation des repas, l'ensemble des tâches domestiques, etc. Je pensais qu'il était possible que chacun puisse avoir une part d'indépendance dans le respect, et la confiance, tout comme l'envie de partager des activités communes. Je pensais qu'il était important de se réinventer sans cesse, pour que quotidien et couple ne signifient pas routine, et que la flamme ne s'éteigne pas. Je pensais qu'il était possible de dialoguer . . .  comme des êtres dotés d'intelligence, pour éviter les écueils, mais respecter aussi les silences  et la solitude dont chacun a besoin, parfois. J'ai cru que c'était possible,  mais j'ai du rêver, j'étais seule à l'appliquer.

Avec Pascal, les congés étaient, pour moi, des périodes de tests, d'essais car  il avait aborder indirectement la possibilité de vie commune dés le début ( premier week-end de retrouvailles, voulant peut-être  rattrapé les années perdues -35 ans) Je ne m'étais pas prononcé . . .  j'attendais que le temps passé ensemble quotidiennement fasse son boulot que toutes les cases soient cochées,  1 an a suffit : exclusivité, vie sociale et loisirs très limités, une routine installée trop rapidement . . . pas de liberté individuelle, jalousie extrême et zéro confiance, famille et  amis rejetés, contraintes même a distance . . . le bonheur ? c'est lorsque ça prend fin ! !

 A partir de là (2016), rester seule est devenu une préférence, un choix, et j'ai adoré goûter à cette liberté et cette indépendance totale, et être débarrassée des contraintes et obligations d'une vie à deux (impossible d'y trouver mon bonheur) j'ai trouvé mon bonheur seule. Il ne sert à rien d'insister lorsqu'on sait pertinemment que ce n'est pas fait pour nous. Mon Lou se plaisait à dire que c'était parce que je n'avais pas trouvé la bonne personne, parce que ce que "j'exigeais" n'était pas utopique . . .  c'est possible, mais c'est trop tard. Je lui ai très souvent dit que je préférais rester seule que me "ramasser" une fois de plus. 

J'ai tout pour être heureuse, une famille certes restreinte mais de qualité, un homme a qui je peux offrir mon amour, des amis-es qui sont ma famille d'adoption, une vie sociale dense, des activités élargies et nombreuses grâce auxquelles je ne peux pas m'ennuyer, un job, un toit . . .  Ce serait irresponsable de confier la responsabilité de mon bonheur à un homme, ce serait se soumettre à son désir, vivre dans l'attente, être dépendant . . .  Et si je franchis le pas un jour (avant de mourir . . .  c'est mieux quand même de le faire de son vivant 😂😂) ce sera un choix commun et non une nécessité ! ! !

Sam

I'm happy . . . be happy

 J'adore l'aplomb de certains  .  .  .

Samedi,13h33 mon téléphone fait "youpiiiii"  c'est le son des notifications (ça me fait rire ) . . .   et ouiiiii même la mauvaise nouvelle fait youpi 😂😂👍

Malgré la notification, je termine ce que je fais, après tout  !  ! N'oublions pas que j'ai eu un énième déclic cet été . . .  prendre des gants pour parler,  donner de nouvelles chances, trouver des excuses, croire aux promesses, faire en fonction des autres, être prompte pour autrui . . .  C' EST TERMINE  ! ! ! J'ai assez prouvé, donc après moi le déluge. Et pour le téléphone, je réponds quand je veux ET si je le  veux. 

Bref, revenons à mes moutons. Je regarde  la raison du "youpi" et je constate qu'un appel a été rejeté mais qu'il y a un message sur le répondeur . . . pays de l'appel : La suisse. Ma première pensée : encore du démarchage, mais j'écoute tout de même le répondeur . . . 

La surprise me laisse ébahie, la voix que j'entends me salue et me demande de lui communiquer ma disponibilité pour un appel car ce dernier veut me parler . . . 😮 ça fait presque  3 ans de silence. 

Passer le moment de stupéfaction, première idée : appeler mon Lou. "Devine qui vient de me laisser un message sur le répondeur après un appel infructueux ?". . . Il est aussi surpris que moi, et me dit : tu me raconteras.

Donc, je résume . . .  je l'avais rejoint 3 jours au Portugal, dépassant ma phobie de l'avion, pour répondre positivement à son envie qu'on se voit. (au passage, il m'avait fait poireauter 3 ans mais je voulais savoir ! ! ! ) Après ces 3 jours, agréables mais pas idylliques, il m'avait déposé  à l'aéroport de Porto, vite fait, en me disant que ça ne le ferait pas entre nous, et le pire, me faisant l'aumône de 20 euros pour m'acheter une bricole à manger ( On devait manger ensemble mais il a opté pour le largage sauvage 😂😂) . . . c'était en Novembre 2019. 

Depuis  . . .   silence total. Je ne m'étais pas posée plus de question, je n'attendais rien de plus, j'avais rangé cette histoire dans un tiroir, section passé, en ayant admis, qu'effectivement il ne correspondait pas du tout a ce que j'attendais d'une homme dans une relation . . . Et malgré toute son énergie à me montrer son argent et tous ses biens, c'était mort, je ne mange pas de ce pain là. Donc, aucun regret et aucune chance.

Je lui envoie un SMS lui indiquant qu'il peut m'appeler. Ce qu'il fait presque immédiatement . . .  Et alors la, je vais de surprise en surprise . . . Il me raconte qu'il s'est fait trahir par la personne chez qui il vivait depuis 7 ans ( a ce que j'avais appris c'était juste une amie, et pas SA petite amie, mais il se cachait d'elle pour me contacter et échanger avec moi 😂😉🤔)

Il pleure . . . elle le met à la porte de chez elle. Le lendemain de leur retour du Portugal le couperet tombe (il m'appelle le lendemain). Il pleure qu'il s'est fait plumer, qu'il a vendu le terrain ou il m'a amené cueillir les citrons, pour le fils de cette amie, et qu'il est "licencié" sitôt l'opération terminé. Il doit chercher un logement et pleure.  Puis il enchaîne, en me disant :

-  "tu le sais, tu as toujours été dans mon cœur, je ne t'ai jamais oublié, chaque fois que je venais, je parlais de toi avec B . . . "  

- "Certes T, on s'est loupé il y a 40 ans, on ne peut revenir en arrière,  et peut être que nos vies auraient été différentes, mais c'est ainsi, on ne refait pas le passé."

Puis il me demande s'il peut venir chez moi lorsqu'il viendra en France . . .  et enchaîne en  me disant." tu as rencontré quelqu'un ? "  ma réponse fuse," oui, je suis avec quelqu'un ", "J'irais chez B, alors ! !"  

Je lui souhaite bon courage, et l'autorise à me telephoner s'il a besoin de parler. Et je raccroche.

Autant dire que ce coup de téléphone m'a a la fois scotché et fait rire. Je n'aurais pas imaginé tant de culot, ou de stupidité.

 Est ce propre aux hommes ?  De s'imaginer qu'on les attend comme des cruches ? qu'on ne sait pas vivre sans eux ? Qu' il suffit qu'on soit amoureuse pour qu'on devienne des serpillières bourrées d'envies et de désirs ? Qu'on tombe amoureuse d'un claquement de doigts ?

Bah, je ne sais pas les autres, mais moi NON. Je suis heureuse, et je ne laisserais personne perturber cet état.

 Je ne suis pas dans l'intention de m'em... avec un gars qui n'a pas les mêmes conceptions de la vie à deux, j'ai déjà assez sacrifié ma vie à ces conneries :  être la seule à donner. 

Je suis heureuse,  et soyez heureux, je vous le souhaite. 

Sam

Bébé Libou boude

 Bébé Libou boude . . . il n'a visiblement pas apprécié que je lui explique qu'il ne comprend rien au boulot. 

A cette "attaque", il n'a rien répondu, forcément ! !  qu'aurait-il  pu répondre ? soit il est sous influence, soit il ne connait rien au travail d'entretien des locaux. Et j'opte pour les deux. 

Perso, je m'en fous royalement, il ramassera ce qu'il a semé, tôt ou tard !! par contre, que Bébé Libou n'espère pas me voir fermer ma bouche, si j'ai raison, j'ai raison ! ! ! 

Roooooo Bébé Libou après avoir boudé, risque de pleurer 😂😂.

Question : est ce que celles qui lui ont ciré les pompes au pot de fin d'année, en juillet, le soutiendront ? ?  

Quel manque de caractère et de personnalité, c'est bien fadasse tout ça !!

Sam

Une semaine de reprise . . .

 Hop hop hop, me voici repartie pour une année scolaire de travail, et très motivée à tenir les promesses que je me suis faite avant les congés d'été. 

- Me tenir à distance de toutes les histoires créer par les trafiquants de critiques et de ragots, fermer mes écoutilles pour ne rien entendre du genre, puis tourner la tête lorsque les cossards sont en action, après tout, plus question de bousiller mon foie pour des personnes sans fierté ni dignité. 

La semaine était somme toute assez intense, exécutant des tâches qui ne m'étaient pas destinées jusqu'à présent, (ni même à la collègue précédemment titulaire du poste, d'ailleurs), en plus de mes propres taches, évidemment. Mais loin d'être mécontente, je n'ai pas vu la semaine passée, et je suis fière des taches accomplies. ( Nous n'avons pas tous  fierté et dignité, hein !!😂😂)

 Je me sens épanouie . . . Car j'avance selon mes prises de décisions, pour mon bien-être et sans me préoccuper de celles ou ceux qui resteront sur le bord de la route. Et pour cause, je n'ai jamais, mais vraiment jamais, obligé qui que ce soit . . . J'affirme même que ça a toujours été plutôt l'inverse : je me suis obligée, soumise, privée . . .  pour faire plaisir . . . Parce que le bien être des autres passait avant le mien, parce que j'imaginais naïvement que la notion de partage était naturelle chez tout un chacun, d'autant lorsqu'il y a des sentiments d'affection, d'amour, ou d'estime . . . je n'imaginais pas tous les crevards qui sévissent, ou tous les menteurs-ses qui profitent. 

J'ai déposé "mon petit tonneau de Saint Bernard", comme disait ma psy . . .  et j'ai cessé d'être la quiche de service. 

Je ne m'empêche plus, ni de dire, ni de faire ! ! !

Youpiiiiiiiiii

Sam

Lorsqu'on veut faire style

Bébé Libou-boude veut faire style, en faisant des phrases.

C'est bien de vouloir faire comme si, encore faut il connaître le sens des mots et les employer à bon escient.

Auquel cas, au lieu d'en jeter plein la vue, on se torpille et se ridiculise.

Ahhhhh Bébé Libou-boude, "a vouloir péter plus haut que ton cul, tu vas te iech dessus"

Bébé Libou-boude fanfaronne . . .  Il veut mettre tout le monde au pli, pour se faire bien voir par la hiérarchie . . . Un peu d'humilité lui ferait du bien, car à se croire au dessus de tout, la chute sera douloureuse.

Sam

 

Lorsque la confiance change de mains ! !

 

Il y a sans doute des actions qui détruisent la confiance, et de simples tests qui confirment le retrait de cette confiance à certaines personnes. Parfois, elle n' à même pas réussi à s'installer . . . Alors, de là à se confier sur les événements douloureux du passé . . . 🤔🙄

Sam

Retour à la normale . . . ou pas.

 Retour de vacances, retour à la maison . . . Retour à la normale ? ? ?   Non,  pas encore,  et puis qu'est ce que "la normale" ?

 métro, boulot, dodo? Il n'en est plus question pour moi. J'ai assez attendu ! ! 

Cet été, est l'été du déclic, et ce d'autant que regardant dans le rétroviseur et  le comparant à l'été dernier . . .  il n'y a pas photo : -j'avais passé mes 15 premiers jours de congés à pleurer, y consacrant mes jours et mes nuits, fermée comme une huitre. Puis il y avait eu le baptême de mon Mini Loulou d'Amour et le séjour en Bourgogne qui l'accompagnait  . . . Les retrouvailles avec la famille de ma belle fille Chérie . . . un séjour d'apaisement mais aussi de réflexion au sujet des évènements qui viennent bousculer notre chemin de vie, et nous mettre à terre, puis un retour destiné a faire des démarches, bref . . .

Je m'étais promis que ce serait la dernière fois, que je ne me laisserais plus prendre aux pièges . . .  qu'il soit sentimental, confiance naturelle, espoir nourri, "sacrifice",  etc. et qu'il était temps de penser à moi, sans regarder autour,  me faire plaisir et dire "non" sans aucun scrupule, après tout ! ! !  je comptais m'appliquer à faire comme tout le monde, faire selon moi, et pour moi . . . J'avais donc décidé de passer le moins de temps possible ici, chez moi . . .  et c'est exactement ce que j'ai fait. J'ai trop kiffé ! !

"La normale" je lui tourne le dos. Dans le vortex, je mettrais des œillères,  peu m'importe les cossards, les langues de p . . . les jaloux . . . les bras cassés . . .  les cas soc'  . . . les crédules et les naïfs  . . . et peu m'importe aussi, leurs vies et leurs embrouilles, et leurs bobos que ce soit au boulot ou ailleurs, en plus de mettre des œillères, je fermerais les écoutilles,  le silence radio total sitôt passer le portail,  l'important pour moi, c'est que je sois bien avec moi-même et en toute  conscience. 

Le fait d'avoir passer du temps avec des personnes "normales, qui ont  une vie "normale", qui ont des valeurs " normales" . . .  me rend le retour difficile, d'autant  avec  la proximité de retrouver des personnes insupportables et leurs lamentations. 

Il y a toujours une raison aux choses, et cet été, j'en ai compris de nouvelles. D'où les changements à venir.

Sam