mardi 31 août 2021

Un petit bonheur quotidien ! ! !

 Comment ne pas rire, lorsque je vois la tête de bébé Patrick . . .  bébé boude ? bébé est vexé ? bébé n'a pas l'habitude qu'on lui tienne tête, et qu'on lui fasse baisser  d'un ton. Sans doute que bébé n'a pas apprécié de se faire rappeler à l'ordre et d'être pris en faute de blablatage.

Bébé pensait m'impressionner ou me faire peur, en me disant que je l'avais mis en colère.  Bébé ne sait pas que lorsqu'on est passé entre les mains de Philippe 1m87 , 70/80 kg, ancien sapeur pompier de Paris, videur en boite de nuit, propension à devenir rapidement violent, insensible à la douleur et ce pendant plusieurs années, un gros bébé comme lui n'intimide pas.

Nous étions réunis pour le pot de départ de "ch'tit cœur Jean-Yves". Je suis venue parce qu'il y tenait, parce qu'en plus de l'avoir demandé oralement, il m'avait téléphoné pour insister. Je l'ai fait pour lui, vraiment, car comme je l'avais dit, il n'est plus question que je participe à quoi que ce soit en compagnie de collègues. 

Les  motifs de ma  décision persistante de rester à l'écart  s'est vérifié, une fois encore. Le jeu de certains-es est loin d'être discret, des messes basses, des regards échangés . . . et bien d'autres signes.

Heureusement, j'ai évité en partant au bout d'1/4h, les clans et les ragots, j'expliquerais à Jean-Yves pourquoi, je préfère l'inviter lui et sa famille . . .  (il savait déjà pour la rumeur de Bébé Patrick et son toutou Didier, ce qui les avaient navré, lui mais aussi Willy).

Bébé Patrick, était présent bien avant tout le monde . . .  pendant  que ses collègues bossent, lui il faignante. Il faisait les cent pas, téléphone coller à l'oreille devant le rèf ( bizarre non ? ! ?) Ça a le don de me gaver, pour la bonne et simple raison que le jour de l’arrêt cardiaque de Nico, il lui cassait du sucre sur le dos pendant le déjeuner avec son p'tit toutou, en regardant Nico qui descendait du fourgon, téléphone à la main, juste en face de nous. Il m'a dit qu'il s'en voulait encore . . . pffff serait ce pareil si Nico n'était pas décédé ? ? Un autre point ou je lui en veux, c'est qu'il fait un amalgame, en entrainant ses collègues dans sa chute. Finalement c'est en découvrant son comportement que je comprends mieux certaines amitiés, c'est l'évidence ! !

Je me souviens avoir regardé bébé Patrick, en particulier, à l'église, lors des obsèques de Nicolas et je pensais : "putain d'hypocrite tu me dégoûtes. 

En attendant, je continue sur le chemin du silence, concernant ma vie perso. Sur les conseils de Zabou, j'ai encore expliqué aujourd'hui, le pourquoi de ma décision de ne répondre à aucune question personnelle, et que par la même occasion, je souhaitais donc, ne rien savoir des autres . . .  sans doute très impoli selon eux, mais je m'en fous, il en va de ma tranquillité, et de ma sérénité mentale.

Sam





 


Chers-es lecteurs-rices

 J'ai été dans l'obligation, cette semaine, de supprimer certains commentaires. Ils apparaissaient un peu trop virulents, un peu trop dans le jugement.  Chacun est libre de penser ce qu'il veut, cependant, comme sur nombre de sites sur la toile, je vous demande de veiller à ne pas être injurieux, irrespectueux et grossiers. 

En tant que modérateur, j'aurais loisir, dorénavant, d'accepter ou non, les commentaires. Je serais donc vigilante à l'avenir.

Merci de votre compréhension.

Sam


Pensée du jour

 Je vous souhaite une belle journée pleine de

 "je m'en fous, je fais ce que je veux"

Sam

dimanche 29 août 2021

Humour du soir

 


Suite de la mise au point

 Je dissertais sur un précédent article, de ma mise au point avec Patrick . . .  Et, bien entendu, il ressort toujours des vérités cachées de cette sorte de discussion. 

Au sujet, de la diffamation ( Art R621-2 du code pénal) dont j'ai été victime, je lui faisais part du risque encouru si je venais à déposer plainte, au même titre que j'avais prévenu Yvette, au sujet de la dénonciation calomnieuse ( art  226.10 du code pénal), il s'est empressé de jouer la carte du gars qui ne risquait rien . . . non pas parce qu'il se disait "innocent" mais parce que, selon lui, ce genre de plainte n'aboutit pas. 

C'est mal me connaître. En premier lieu, j'ai, avec Jean-Louis, sorti Philippe d'une situation bien plus grave lorsque il a rencontré des problèmes judiciaires contre le ministère public ( A Albi, c'était l'échec avec une avocate vénale,  en appel à Toulouse, jackpot) et ensuite, il n'a pas l'air de se rendre compte, que dans le cadre du travail, une diffamation concernant une atteinte sexuelle peut faire l'objet d'un licenciement pour faute grave, et depuis l'explosion des cas de harcèlements, du mouvement "Me too", et donc au même titre de la mise en place d'un formulaire de signalement à la région, ces situations sont davantage prise en compte, j'aurais tout loisir de le planter aux portes de sa retraite ( au passage, j'ai fait mettre au placard et retirée de son poste, une chef de service de la mairie d'Albi . . . )  

Comme il cherchait à se dédouaner de ce dont je l'accusais, il s'est décrit: " si tu me connaissais . . .  tu saurais que . . .  etc,  à contrario, je lui ai fait remarquer que les personnes qui bavent dans le dos, n'assument jamais leur blablatage. A force, nous avons donc rebondi sur le mensonge, sur la mauvaise foi, forcement.  Et là . . .  alors là . . .  je crois que c'était le pompon ! ! !  Je n'aurais jamais penser entendre un tel argumentaire, un jour. Et c'est ce qui fait que je n'ai aucune confiance en lui, entre autre.

"Les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnait" Audiard.

 Parce que nous parlions mauvaise foi, je l'ai mis en défaut, par rapport aux pauses qu'ils effectuaient ( avec ses collègues) Qu'il fallait cesser de prendre les autres pour des cons, que l'abus dont ils profitaient, était secret de polichinelle ! ! !  Arguant la pause de 8h, celle de 10h, qu'il s'est empressé de nier . . . Oui mais," lorsque Nicolas a fait son arrêt cardiaque, vous étiez en pause café" puis on s'arrête à  11h15 pour aller prendre son repas au réfectoire, jusqu'à 12h ( 1/2h pour les autres) puis qu'ensuite ce petit monde reprend un café aux ateliers, et trainent souvent jusqu'à 13 h  . . .  Il n'y a eu, dans mon monologue, aucune place pour le doute, et du coup, il n'a pas nier, mais plutôt argumenter, en disant que leur boulot étant plus dur, ils avaient besoin de davantage de temps de pause pour récupérer . . . Celle là, on ne me l'avait jamais faite. Voyant cela, je ne me suis pas gênée pour lui dire, que j'avais de l'estime pour Benoit qui assume totalement ! ! !  Lui, au moins, il ne fait pas croire le contraire. J'apprécie son honnêteté, lorsqu'il "glande"  ( presque tous les jours, 1 h de glandage/ papotage aux ateliers en attendant l'arrivée de son collègue de 7 h), il assume même face à la hiérarchie, mais aussi, que je n'en avais rien à faire qu'ils fassent autant de pauses, qu'ils pouvaient en faire 6 sur 8 h de travail, que ça ne regardait qu'eux et leur conscience, perso, je m'en cogne, à condition qu'ils ne pointent pas les autres et c'est loin d'être le cas, et à condition aussi, qu'on ne vienne pas me faire iech, lorsque je commets un écart pendant que les autres en font 50, je hais l'injustice !

Monsieur "l'innocent" se targue de ne pas parler dans le dos des gens, que ce n'est pas son style, mais par contre il avoue être curieux, et moqueur. Je lui explique qu' on "chahute AVEC les gens, par SUR les gens". Il n'a pas réfuté se moquer des gens dans leur dos, mais soi-disant que si une personne venait lui dire qu'il était blessant, il s'en excuserait ?!? ( mais si j'ai bien tout lu Freud, pour qu'une personne vienne lui dire qu'il a été blessant, ça sous-entend qu'il a bien bavé en hypocrite . . . )

Je lui ai expliqué, comme on explique à un enfant, qu'on ne se dédouane pas  d'une erreur ou d'une faute, en accusant les autres, ou en sélectionnant un moment ou il n'y a pas eu faute, pas plus qu'en la diminuant. C'est la base. Non ? ! ?  Je crois qu'il manque sérieusement de consistance, ce gars là.

Pour l'exemple, je lui ai raconté les pauses abusives de Nathalie. Pour la disculper, il a pris exemple sur les jours ou  la pause correspond à la pause légale, sauf que j'ai du lui expliquer qu'il y a eu des années d'abus, au vu de toutes et tous, et comme eux, pensant s'excuser d'abuser, elle disait "je fais comme tout le monde", sauf que NON, tout le monde ne prend pas des heures de pause. Il faut cesser les amalgames, la mauvaise foi, et les mensonges.

Il a fini par convenir, qu'ils étaient loin d'être au bagne . . . Non sans avoir auparavant parler des autres bahuts, et moi de lui dire (il bottait en touche, une fois encore) que ce qu'il se passait ailleurs, j'en avais rien a faire, que c'était d'ici dont nous parlions.

Bref, pour finir, bien qu'il y en ai encore a dire ( de ce qu'il a révélé sur eux) je pense qu'il a compris le message, d'autant lorsque je lui ai dit qu'il avait échappé à une descente de mon fils accompagné de ses copains pour lui apprendre à respecter sa mère. 

Sam

NB: J'adore ce gars qui entrainent les copains dans leur chute, genre : " je suis pourri mais je ne suis pas le seul !!, un point négatif de plus qui vient se rajouter à mon 3 D


 Ndlr ( 😂)A toute fin utile, malgré qu'un de ses collègues l'ait défendu en disant qu'il bossait, je l'ai encore vu, marché à la suite de Benoit, alors que Benoît, se tapait le job. Je crois que notre discussion n'a rien éveillé chez lui, et ce d'autant qu'il a faignanté amplement. Il n'est pas déranger de laisser ses collègues faire tout le boulot.




samedi 28 août 2021

Jour J - 3

 Trop excitée à l'approche  du rendez vous pour le tatouage. J'ai hâte ! ! ! mon petit cadeau perso et caché.


Sam


Brève de comptoir


 Le sexe pour se réconcilier . . .  on est obligé de le faire avec celui avec qui on est fâché, ou pas ? ? ?

UNE PASSERELLE VERS L'AMOUR

 



"Quand vous vous sentez triste, sentez-vous juste triste.

N'essayez pas de ne pas être triste,

vous n'arriverez qu'à vous briser en deux.

Ne pensez pas à la tristesse qui vous étreint.

Soyez simplement triste.

Restez tout près. Éprouvez les sensations brutes dans le ventre, le cœur, la gorge, la tête. Laissez les sensations picoter, pulser, vibrer, chatoyer, vous meurtrir. Autorisez-les à vivre leur vie. Respirez en elles, honorez-les de votre attention, détendez l'espace où elles se produisent.

Ce n'est que de l'énergie qui cherche à se déplacer dans le corps.

Maintenant, laissez tomber le mot "triste". Ce que vous ressentez est bien plus grand qu'un mot. Contactez simplement ce qui est là sans juger, sans aller nulle part. Soyez l'espace qui embrasse ces sensations vivantes, étreignez-les amoureusement. Sachez que ces sensations ne sont pas une erreur ;vous ne faites rien de mal.

Vous êtes vivant et sensible et pas insensible aux mystères du corps.

Vous avez le droit d'être triste aujourd'hui ! D'accueillir la tristesse au lieu de la repousser. Être son parent aimant, non sa victime. Son protecteur, pas son ennemi.

Il n'y a pas de honte à être triste. Pas d'échec. Pas de souffrance, quand on peut juste l'accompagner.La souffrance est toujours dans la fuite.

En allant au contact de votre tristesse, vous contactez la tristesse de tous les êtres vivants. Contactez tous les êtres vivants, et votre solitude disparaît.

Alors, l'ami, sens-toi simplement triste ;

laisse ta tristesse embrasser ce monde fragile.


Jeff Foster

vendredi 27 août 2021

Une très belle journée

 Une très belle journée qui précède un week-end bien mérité.

Belle journée, parce que comme je m'y attendais, on me demande si mes vacances se sont bien passées, et comme je l'ai dit, je ne réponds rien.  Et là, en plus, et au vu de la ganache que j'avais en face, en l’occurrence Maryline . . . j'ai précisé que nos échanges se limiteraient au professionnel et rien d'autre. Je ne répondrais à aucune question personnelle, je ne divulguerais rien de ma vie perso, par contre que je ne voulais rien savoir des autres. J'ai rajouté : " je ne te demande pas pour les tiennes, car j'en ai rien à foutre..

Comme elle fait partie des pintades qui parlent à tord et à travers,  je ne doute pas qu'elle se chargera d'informer par le biais du cancannage . . .  peut-être qu'elle brodera sur ce que j'ai dit, mais ça aussi, je n'en ai rien à foutre. 

Dans tous les cas, je n'oublierais jamais sa tête, et la tête de tous ceux jusqu'à maintenant, a qui je refuse de répondre, et a qui j'explique  ce qui sera à l'avenir. Je trouve ça drôle, dans le sens marrant, mais au delà de ça,  je me sens super bien en écartant tout ces toxiques négatifs. 

Lorsque je parlais perso, aujourd'hui, avec Zabou, c'était silence immédiat sitôt le moindre passage dans le couloir . . .  une complicité qui fait du bien, mais essentiellement un respect de ma décision.

Je ne pensais que cette décision m'amènerait autant de satisfaction et de plaisir . . .  au même titre d'ailleurs que  tout l'accrochage avec Patrick ( il n'a même pas capter qu'il m'avait vendu des trucs, quel con !!) Je pense qu'il n'en dira rien à ses potes, et pour causes. Bref, une année qui s'annonce bien, et ce n'est que le début, je n'ai pas encore terminé, d'autres seront surpris, à suivre ! ! ! 

Sam


Pensée du jour

 J'ai promis d'être sincère, pas d'être sympa.

Sam

jeudi 26 août 2021

Juste une mise au point

 Aujourd'hui c'était le temps du règlement de compte avec Patrick, ce dernier étant de retour de congés.

A mes yeux, il fallait battre le fer tant qu'il est chaud, même si je me suis "coltinée" cette médisance une bonne partie de mes vacances.

Le ton est monté, rapidement, mais il n'a pas été question que je me taise  de mon coté.  Il a eu beau dire qu'il était en colère, qu'on lui prête des propos qu'il n'aurait pas tenu, je lui ai rétorqué que j'avais de quoi être  très en colère car c'était de mes fesses dont il s'agissait . . . J'ai le sentiment qu'il a tenté de m'impressioner à haussant le ton, mais c'est mal me connaître, il a baissé ses decibels. 

Il a nié, bien évidemment et je ne m'attendais pas à autre chose. Ceux qui finissent par avoir les mains pris dans le filet, sont généralement plutôt de mauvaise foi et hypocrite. Au bout d'1h, il a fini par dire : "ah ouiiii, j'ai  du dire que . . . mais enfin je n'ai pas dit que . . . 

Bref, une chose est sure j'ai balancé quelques trucs bien senti et bien flippant pour un gars comme lui.  Même s'il faisait le barbeau , je suis sure qu'il a  fait dans son pantalon. 

Je constate, qu'une fois de plus, ce n'est jamais  personne, et qu'en plus ils se renvoient la "balle",  la responsabilité du ragot, l'un l'autre. Personne n'assume, même si Patrick prétend le contraire. Je lui ai dit que je haïssais le mensonge, il est parti dans des explications à la con qui fera l'objet d'un autre post passionnant.

En conclusion, il s'est contredit sur certains points, ce qui lui enlève toute confiance à mes yeux. Il est clair que dorénavant, je sais a qui j'ai affaire. 

Je maintiens ma décision de ne plus rien dire, et de ne plus rien vouloir entendre. Ainsi, ils pourront continuer a m'inventer une vie, et à se divertir avec ce genre de loisirs, je n'en ai plus rien à foutre. et surtout je n'en saurais rien. Cela n'aura, donc, plus aucune prise.

Je maintiens également que je refuserais toute participation a quoi que ce soit qui associe un ou plusieurs collègues. 

Je ne souhaite pas perdre ou gaspiller mon temps pour ces gens là, j'ai mieux à faire. Je préfère consacrer mon temps à d'autres en dehors du job.

Sam





Parfois

 Pourquoi l'envie de crever est parfois si intense?

Je marche, la musique dans la tête, seule,  je pense et je pleure. 

Je ne sais pas toujours si j'ai vraiment envie de vivre, et j'oublie parfois ce qui m'a fait tenir

Dans ces moments là, tout m’écorche, j'aimerais m'être trompé de vie, je voudrais  tout recommencer de zéro.

Ou devenir amnésique . . .

Ne plus mettre les mains sur les oreilles afin de ne plus entendre  . . . 

Lorsque les souvenirs du passé t’égratignent et que tu n'as qu'une envie . . .

Sam



Pensée illustrée


 

Pensée

 La vie devient si facile quand tu n'en as plus rien à foutre 

 Sam

mercredi 25 août 2021

Humour du soir


 Tu peux me prendre pour une conne 1 fois . . .

Tu peux me prendre pour une conne 2 fois . . . 

Tu peux me prendre pour une  . . .

Non, je dé-conne ! ! 

Tu peux aller te faire foutre direct.

 

NDLR : Si jamais tu te sens visé-e par ce post : Consulte, ça aide 😅


Sam

Oser enfin

Première journée de reprise et ça me saoule déjà.

8h suffisent pour croiser les 3/4 des personnes (pour moi) insupportables, irritantes . . .

Évidemment comme je m'y attendais, lorsqu'on se retrouve après les congés, les questions tombent, du genre . . .  "Salut les filles vous avez passé de bonnes vacances?" je ne réponds pas, je reste muette, mais je ne demande rien en retour non plus, j'avoue n'en avoir rien à foutre. 

Avec Even, j'ai choisi de lui expliquer mon attitude, et la motivation de ce comportement. J'ai préféré lui dire qu'il ne devait pas le prendre à titre personnel, que si j'avais des griefs contre lui, il l'aurait su aussitôt, et ma Zabou m'est témoin. 

Je lui ai dit que les échanges ne seraient dorénavant que professionnels, que je resterais totalement silencieuse sur l'ensemble de ma vie perso, qu'au delà de ça, je ne voulais rien savoir de la vie des autres, ni entendre parler de qui que ce soit, en bien ou en mal. Je lui ai donc assurer que le fait de ne pas lui demander comment s'était passer ces vacances n'était pas un manque de politesse (bien que si on se fie aux codes de bienséance en société . . . bref j'en ai plus rien à foutre) mais l' inintérêt de la vie des autres. En bon français, je lui ai dit que j'en avais rien à foutre de savoir pour ses vacances. A l'inverse, de certains qui ne veulent rien dire d'eux, mais on toujours l'oreille tendue pour se renseigner sur la vie des autres . . .  autant dire que je vomis ceux-là aussi. 

Je ne suis ni assistante sociale, ni  psy, et plus du tout déléguée syndicale, je ne suis pas  refuge des lamentations, ni  dévidoir des plaintes, quand au bureau des pleurs, il ferme également. J'ai, qui plus est, à la demande de mon supérieur hiérarchique, le devoir de "virer" les personnes qui stagneraient au delà des civilités d'usages. Et ça m'arrange  ! ! ! La solitude ne m'a jamais dérangé.

J'ai jeté le pavé dans la mare.

 

Sam




Le silence

 "Le silence est tranquillité mais jamais un vide; Il est clarté mais jamais absence de couleur; Il est rythme; Il est le fondement de toute pensée"



Yehudi Menuhin

Une porte s'ouvre

Aujourd'hui, je n'ai pas eu le temps d'écrire, ou peut-être pas eu de véritable envie. Des choses à faire avant le gong de la reprise demain matin.

L'ambiance est de plus en plus désagréable  et pesante dans ce lycée, au point que la reprise est devenue anxiogène. 

J'ai mis en place des choses pour me tenir éloigner de toute cette négativité, et de ne pas me laisser atteindre par elle, pour éviter ces personnes toxiques qui passent plus de temps a critiquer, a faire circuler des rumeurs qu'à travailler.

Je crois que mon dégout  de la majorité des personnes qui y bossent , de leurs comportements immatures et si dépourvu d'intelligence que s'en est effrayant, m'a vraiment décidé à mettre en marche ma reconversion.

Le projet a muri cet été... Une discussion entre filles, une conférence révélatrice, les bonnes rencontres au bon moment, des encouragements dans le même sens, et c'est le déclic.

Le projet est amorcé. Et c'est un soulagement.

Sam

lundi 23 août 2021

Back home

 



Tu sais . . .  il n'y a que toi pour me manquer autant,

je t'aime à tel point que m'éloigner de toi me rend anxieuse et triste, 

Loin . . . je pense à toi, sans cesse . . .

à nos retrouvailles  . . .

 Et je sais que tu es là, fidèle, tendre . . . tu m'attends.

Trop longtemps absente, tout mon corps te réclame. 

J'aime me lover contre toi,  coucher avec toi toute la nuit.

C'est contre toi que j'arrive enfin à me détendre, à lâcher prise 

sombrant  divinement . . .

je te retrouve enfin . . .

Mon lit ! ! ! ! ! !

 

Sam

A fleur d'émotions...

"On les appelle les émotifs, les penseurs. 

Je suis hypersensible.

Tout me touche, m'atteint, m'émeut, me submerge, me gonfle. 

J'ai mal pour moi, pour l'autre. Je ressens. Je sens les odeurs, les âmes, la tristesse. 

Je suis à fleur de mots, de peaux, de beaux.

Je suis une hypersensible. Remplie de poésie. Quelque chose danse en moi. 

Je suis une écorchée, une abîmée, une blessée de vie.

Je suis empathe.

Je décèle ce qu'on ne me dit pas, je respecte le silence, car je le parle couramment. 

Je suis ainsi tendre, et émotive.

 Je ressens plus fort, tout ce qui effleure l'autre.

Je peux perdre pied. Plus vite, plus violemment que quelqu'un d'une sensibilité normale. 

La mienne n'est jamais banale.

Je peux ressentir très fort, m'envoler très haut et redescendre brutalement.

C'est ma fragilité et ma force.

Cyrielle Soares

dimanche 22 août 2021

Pensée

Lorsqu'une femme prend la décision, de stopper la souffrance, le mensonge et la soumission. lorsqu'une femme dit avec le cœur, "Stop, je n'en peux plus", aucune armée ni aucune illusion, ne pourra l'arrêter dans la recherche, de sa propre vérité. alors les portes de son âme s'ouvrent, et le processus qui lui permettra, de se retrouver peu à peu, de retourner à sa véritable vie, peut commencer. ~


Clarissa Pinkola-Estès

Femmes qui courent avec les loups.

vendredi 20 août 2021

Selon ce principe...

Selon le principe de ce qui va suivre, j'ai compris que Patrick Mo li nier est un refoulé et qu'il  fantasme sur Jo. Alors ma recommandation pour lui c'est : vas y, tente ta chance, on ne sait jamais, sur un malentendu tu pourrais assouvir un fantasme... 😂 😂 😂 Parce qu'il ne faut pas oublié que ce bouseux de bas étage a colporté la rumeur  (Enfin surtout à son toutou, celui qui lui faisait les tartines le matin, et lui servait son petit bol)  que je m'envoyais en l'air avec Jo. (je remercie Jo de m'avoir informé , au moins je sais maintenant a qui j'ai affaire) El hombre sin cojones, porque hâbla detras de la  espalda.

 

Sam

dimanche 15 août 2021

Que feriez-vous . . . ?




Que feriez vous si on vous annonçait qu'aujourd'hui est LA dernière journée que vous allez vivre. Qu'allez vous en faire, de cette ultime journée ?

Vivre chaque jour comme si c'était le dernier, jour après jour comme si demain n'allait plus exister . . . 

Ce qui veut dire que je ne me prends plus la tête . . . et je vis sans contrainte parce que demain . . . 

Si je n'ai pas envie, je ne fais pas . . . Je ne vais pas... Etc 

Je ne m'oblige plus à supporter des gens qui me sont désagréables, à faire bonne figure, à aller là ou je n'ai pas envie d'aller, à parler à des personnes insupportables, à dire Bonjour a des cons ou des connes qui ne méritent pas que je gaspille  ma salive, à me plier aux convenances parce que ça fait parti des codes, à excuser les personnes qui me iech dessus et à tolérer sans mot dire, à accepter que l'on me prenne la tête pour des gamineries alors qu'il y a plus grave, à écouter les sempiternels bobos de la vie de chacun,  à sourire bêtement pour faire comme si, à être toujours à l’écoute des autres  et aux petits soins, a être diplomate avec les personnes qui se payent ma tête . . . d'écouter les personnes bouches de vieilles qui parlent à tord et à travers, et a les respecter . . .

Je m'autorise à dire ce que je pense, à dire à ceux que j'aime que je les aime, à donner des petits noms empreints d'affection ou d'amour si je le ressens ainsi et à ceux qui l’apprécie, de fréquenter qui je veux sans l'avis de quiconque, de choisir des personnes simples, natures, qui ne sont pas dans le paraître, à envoyer iech les gens qui pénètrent dans mon espace, sans y avoir été invité, je choisis les relations sincères, honnêtes et franches . . .

Qu'est ce que je ferais de cette ultime journée ?? Je vivrais tout simplement.

Sam

samedi 14 août 2021

Humour du jour

 


Faire de la place . . .

Pour accueillir la nouveauté, et avancer ,il faut faire de la place . . .  et pour se faire il y a 3 espaces : l'espace physique, mental et émotionnel.

Pour l'espace physique, j'ai déjà amorcé cette étape. J'étais dans ce besoin vital, cet été, de me délivrer d'objets du passé, qui m'apparaissaient n'ayant plus aucune utilité, et de jeter en même temps, le "au cas où". Aussi, nettoyé de toute culpabilité, me débarrasser de ces fameux "cadeaux" offerts par "Pierre, Paul, Jacques" et dont on a que faire, qui trainent et que l'on garde pour ne pas offenser. J'en ai fini avec ça.

L'espace mental : Faire du ménage dans ses pensées. Lorsque nous restons bloqués sur des pensées négatives et inutiles, il ne reste plus assez de place pour changer ces pensées pour d'autres. J'ai accordé trop longtemps du pouvoir à ces pensées. Je ne referais pas le passé, il est ce qu'il est, et je ne peux rien y changer, mais j'ai  compris qu'il me fallait, de nouveau, nettoyer mon esprit de ce fardeau. Tout à l'heure, une conférencière avec qui j'échangeais, m'a éclairé sur des points qui me bloquaient depuis le décès de ma mère. (J'ai pleuré, et je garde encore un nœud dans la gorge, et les yeux embués) Mais je sais maintenant qu'un verrou a sauté.

L'espace émotionnel: Il est certain que nous avons tous vécu des expériences qui nous ont laissé la marque de la peur, de la tristesse, de l'insécurité . . .  Rester bloquer sur cela signifie  que nous n'avons pas atteint la maturité émotionnelle. Nous restons, parfois coincé dans cette émotion, la revivant en boucle, inconsciemment.

J'ai  libéré cet espace en exprimant des émotions négatives encapsulées et en  les  laissant  partir pour m'offrir des émotions plus agréables.

 

Sam



vendredi 13 août 2021

Pour mémoire

Hier, deux échanges avec mon Lou, et j'avoue que ça fait du bien . . . pouvoir s'épancher, se confier en ayant la certitude qu'il n'y aura aucun jugement (j'avais tellement besoin de lui parler)

Alors que je lui racontais ma décision de rester dans un silence de circonstance, au boulot, à partir de la rentrée prochaine, et de lui expliquer les motifs de ce choix, une certitude m'est apparue . . .

Je lui ai fait part aussitôt de cette dernière, afin qu'il soit aussi le témoin preuve de mon intuition, en plus de ce post dont la date fera  foi.

Je suis convaincue qu'à la suite de ce nouveau comportement, les commères (hommes et femmes)  ne tarderont pas à dire que je me la pète parce que j'ai eu le poste de lingère et  que je passe en technicité.

C'est couru d'avance, comme  ils ne pourront  pas connaitre  le vrai motif de mon attitude, ils prendront les raccourcis qui les arrangent, comme d'habitude. Et ça ne me dérange pas, mais c'est certain que c'est ce qui va se passer. 

Je crois que j'ai  assez donné dans ce bahut, depuis des années. Je n'étais pas encore  arrivée, en 2002 qu'on m'avait déjà habillé pour l'hiver . . . c'est quand même incroyable ! ! !  ils battent tous les records.

Ce qui a motivé ma décision c'est ma rencontre avec un ancien collègue, à la retraite aujourd'hui, et tout ce qu'il m'a raconté. Je crois que c'était la cerise sur le gâteau, le déclic . . .  

donc voilà ! !  rendez vous dans quelques mois.

Je précise que mon Lou n'a pas été étonné que j'en déduise ça, il pense de même d'ailleurs, que la coïncidence est trop tentante pour qu'ils ne s'en servent pas.

Sam



jeudi 12 août 2021

Existentiel éphémère 8

- L : comment vas- tu? As tu bien reçu mon SMS du 5? 

- M : Oui, je l'ai reçu sans souci, je vais, et toi?

- L : Bien merci, je suis revenu à Calvi, vraiment très agréable de rentrer chez soi le soir. 

- M : et tes "amours" ? 

- L :  ça suit son cours, et toi ? du nouveau? 

- M : Statu quo ! !  Que veux-tu . . .  tu sais bien que je les attire , ceux qui se payent ma tête ? ! ? !

- L: Je ne pense pas qu'il se soit payer ta tête, il a peut-être eu peur et besoin de réfléchir.

- M : Il laisse le "qu'en dira-t-on " régenter sa vie, et visiblement il avait évoqué un décalage . . .je t'en avais parlé . . . ! ! ! 

- L : Oui mais c'est normal, c'est ce qui fait la richesse d'un couple, on aurait vite fait le tour de la relation si on était raccord sur tout. Tu sais comme moi, nous en avons souvent discuté, que le couple  se rejoint sur des points et goûts communs mais aussi évolue en allant vers les passions qui nous sont inconnues.

- L : Quant au " qu'en dira-t-on" malheureusement, la vie est  pleine de médisances . . .  la jalousie attise ces comportements. Nous l'avons vécu, au travers de ceux et celles qui ont voulu brisé notre amitié, rappelle toi   . . .S'il se laisse prendre a ce piège-là, c'est bien dommage surtout s'il apprécie votre relation car se faisant, et sans que personne ne sache, il permet aux autres de choisir qui il doit fréquenter.

- L : Moi, à sa place, j'aurais fini par affirmer ce que je suis, n'en déplaise a chacun. C'est ce que j'ai fait ici,  dans le calme et la sérénité et on me respecte pour ça. Pas besoin d'étaler sa vie, mais poser un cadre qu'ils savent ne pas devoir franchir.

- M :  Je sais mon Lou,  je sais , mais lui n'en ai pas capable, ou n'en avait-il pas envie. Au fond de moi, il y a toujours cette petite voix qui m'assure qu'il s'est payé ma tête,  car beaucoup trop d'incohérences et finalement, ça ferait sens, les pièces du puzzle se mettraient  à la bonne  place. En attendant, je déguste comme jamais.

- L : J'imagine, je ne t'ai jamais connu ainsi, en tout cas, bien heureux d'avoir que des amies femmes, l'homme est trop compliqué.

- M: Je crois que notre échange mérite un existentiel, non ? 

- L : Je l'attends avec impatience, tu n'es pas sans savoir que je suis un grand fan de ta plume.

- M : Ne me dis pas que tu les lis tous ? 

- L : Mais si, d'ailleurs, je te remercie de la référence à ton ami concernant la résilience, cela m'a beaucoup touché.

- M : Normal, c'est la vérité absolue, tu es cher à ma vie, mon Lou, ne l'oublie jamais.

- L : Tu n'as pas l’exclusivité, figures toi que toi aussi à la mienne, c'est ballot ça, non ?

- M : J'ai  tellement hâte de te revoir . . . 

- L : encore connectés, j'y pensais encore ce matin, vu qu' A. ne vient plus, et que je m'étais arrangé pour ne plus travailler a partir de 10h30, cela aurait été chouette que  tu viennes voir cette belle île . . . 

- M : Quand ?

- L: du 17 au 24

- M: Quel dommage, je pars Dimanche pour toute la semaine.  Mais promis, je viendrais pour les vacances de Toussaint, quitte à m'arranger pour ne pas faire de permanences.

- L : On se voit en septembre de toute façon, puisque je passe quelques jours chez toi pour mes congés, on aura le temps de discuter de tout ça, et de reprendre nos longues conversations nocturnes. 

- M : Oh ouiiiiiiiii Quel bonheur de retrouver cela

- L: Nos discussions sur tout sans aucun jugement . . .  tout a fait. Allez, le devoir m'appelle. Bisous


Sam

Extrait "Par un curieux hasard"

— Maître, je crois que je ne manque de rien dans ma vie, mais pourtant je suis insatisfait(e) . . .  J’en arrive à saboter mon bonheur, je me crée des problèmes là où il n’y en a pas . . .  j’ai tendance à angoisser et avoir peur, alors que tout va bien.
 
— La peur est l’outil principal de notre mental pour nous protéger. Le cerveau est cette machine ultra-sophistiquée, dont un des logiciels est dédié à la détection et la résolution de problèmes, afin de protéger l’individu à l’aide de son outil principal : la peur.
 
Nous devons notre survie en tant qu’espèce à ce programme extrêmement performant, de détection de problèmes.
Malgré son utilité, c'est une couche de plus qui nous sépare de ce dont le monde manque cruellement, l’amour, la reconnexion à la conscience, la présence, l’expérience directe de « ce qui est » par le corps. Ces considérations-là, ne se trouvent pas dans notre mental, que nous pourrions associer à l’ego, mais au niveau du cœur, que nous associons à l’existence de quelque chose d'infiniment plus grand, plus profond : l’âme.
 
Certaines personnes sur-mentalisées, ont un mental qui fonctionne extrêmement bien, d’une redoutable efficience, car leur programme a été renforcé par des blessures extrêmement vives et profondes. Quand à un moment il leur a été nécessaire de pouvoir continuer à avancer debout pour survivre à certains traumas, il est devenu la TOUR DE CONTRÔLE de notre individu. 
 
Ce formidable outil de protection et de détection de problèmes (le mental, l’ego) est alors en surchauffe permanente. Quand tout va bien, comme dans ta vie, il ne peut accepter le chômage technique, qui serait cessation de sa raison d’être : Survient alors la création de problèmes fictifs. C’est là que nait le sabotage du bonheur. 
 
Certaines personnes, victimes de cet état, deviennent incapables de ressentir, de vivre le moment présent, victimes de la dictature du mental, de l’ego, outil surperformant de protection des blessures.
Il s’agit, alors, avec une douceur infinie, de déplacer la tour de contrôle de quelques centimètre vers le bas, au niveau du plexus. Là où se joue la Vie, au delà des concepts ou les stratégies. Là, où se joue l’instant présent à travers le ressenti, à travers l’expérience directe de ce qui est, au delà des mots. Là, où la tour de contrôle devient une boussole, pointant vers L’INTELLIGENCE DU VIVANT.
 
- Stephan Schillinger ©/ extrait des livres « Par un Curieux Hasard »

 


mercredi 11 août 2021

Flash Info

 Pour les 3/4 des boulets du lycée, dans lequel je bosse,  qui s’occupe de ma vie . . .  je vous informe ( Roooo vous auriez pu passer à coté, "sait-on jamais ?" , d'une vraie information ) que je suis abonnée à :

- Chieuse temps complet

- Madame connasse off

- Phrases de pétasses 

et Talons aiguilles 

Voilà, voila  ! ! ! je suis vraiment trop sympa . . .  en vous donnant de quoi occuper vos longues soirées de merde, ou durant vos journées de boulot, ou vous allez  passer plus de temps à glander en pause et à baver, qu'à bosser. (comment se défaire d'une habitude ancrée depuis des années  ? ? ?. . . navrante routine )

 

Sam

Ô rage

2h du matin... Les éclairs illuminent ma chambre. Je ne dors pas.
 J'ai laissé le store entrouvert, me suis posée à plat ventre en travers du lit, le regard tendu en direction de la fenêtre, j'attends...
J'attends ces fils de lumière qui viennent dessiner les coteaux dans l'obscurité... J'attends que le  ciel exprime sa colère,  de l'entendre râler.
Les minutes s’égrènent et je ne dors toujours pas.
L'orage s'est éloigné, quel dommage !!!
 
Sam


mardi 10 août 2021

Garder le silence


 "Je garderais le silence, parce que beaucoup sont incapables de comprendre, et d'autres ne méritent pas de savoir"

 Et surtout parce que dans mon silence, je vais fermer des portes que je n'ouvrirai plus jamais, pas par fierté mais par respect pour moi-même. 

Pour autant, je sais que silencieuse ou pas, il y en aura toujours pour m'inventer une vie. 

Il faut vraiment faire preuve d'une grande naïveté ou d'immaturité pour s'imaginer que ne rien dire permet d’éviter les ragots, les rumeurs, mais me concernant mon silence sera l'expression de mon mépris total.

Je ne demanderais pas, comme tout ceux qui en ont l'habitude, si les vacances se sont bien passées parce que sérieusement, je n'en ai rien à foutre, mais qu'en plus, ça m’évitera quelques : " et toi?" auxquels je ne compte pas répondre. Ma vie ne les regarde pas, et je n'en livrerais plus rien.

Tous les changements a venir seront secrets. Mais je leur fais confiance, ils sauront se charger d'en inventés. 

ils font de la merde, ils disent de la merde . . .  que peuvent ils être d'autre ? ?

Sam

lundi 9 août 2021

Parler d'amour


 

 

 

 Le 9 Août  c'est la Saint Amour, alors pourquoi ne pas écrire sur le sujet, même si je le trouve très complexe.

Il y a des amours qui ne se déferont jamais, des CDI comme j'ai coutume de dire . . .  l'amour pour ses enfants , celui pour ses petits enfants.

Mais  la filiation ne fait pas systématiquement le sentiment. Il existe des situations familiales ou le lien d'attachement ne se construit pas, ou bien  se détruit petit à petit. La parenté ne sauve rien, et je peux en témoigner au vu de ce que je vis familialement. Les blessures  répétées balaient l'affection et finissent par faire place à l’indifférence.

Je me souviens de ma première psy soucieuse de m’éviter d'être envahie de culpabilité, me disait :" nous ne sommes pas obligés d'aimer nos parents". Il me semble que tout est dit.

Il existe ensuite l'amour, celui que l'on peut éprouver pour un homme (ou une femme) . . .  

j'ai connu la passion, celle qui dévore et  prend toute la place. Ce sentiment fulgurant qui surgit rapidement, sans crier gare, qui rend l'autre: objet de notre obsession. Il comble tous nos manques, et semble mettre du baume sur les plaies de la relation précédente. " Elle arrive dans nos vies quand on souffre d’un manque d’amour et que ça nous fait tellement mal à l’intérieur qu’on doit trouver quelqu’un qui viendra combler ce manque rapidement". La réalité n'a plus lieu d'être, les défauts n'existent pas, seul notre désir pour cet autre, compte. Le regard des autres, leurs avis n'ont aucune importance. Cette perte de contrôle peut faire prendre des décisions insensées parce que sous le couvert des pulsions. (Certains psy expliquent que ce n'est pas de l'amour)

 Selon moi,  la passion est comparable  à  l'ascension d'une montagne. Je  grimpe en regardant droit devant, sur le chemin, histoire de ne pas prendre le risque de chuter et durant ce temps-là, le sentiment augmente, mais arrivée au sommet, la vue est une découverte, je respire profondément et je renoue avec  la réalité . . .   cet autre "idéalisé" n'existe que dans mon imaginaire,  et c'est empli de cette nouvelle prise de conscience que je reprends la route. Cette descente signe la disparition de ce sentiment, et tout prend fin à l'arrivée.

Oui, la passion s'étiole rapidement.

Et puis vient, l'amour, le vrai . . . celui qui se construit tout doucement, celui qui prend son temps, qui prend des mois pour se construire, celui qui arrive lorsqu'on est dans aucune attente particulière.

Cet autre que l'on apprend à connaitre au fil du temps. celui qui est là pour faire entrer du bonheur dans la vie, celui que tu vois  tel qu'il est, avec ses défauts et ses qualités. Tu n'as pas envie qu'il change, car c'est ce qu'il est dans son entièreté qui t'a chaviré.

Dans cet amour là, tu ne perds pas la tête, tu peux rester toi-même, quoi qu'il arrive, dans un respect mutuel. Cet amour que l'on sait durable car il est basé sur la connaissance et non sur le fantasme ou l'idéalisation.

Aussi difficile soit-il d'avouer que l'on a pu se tromper, d'avouer que mon premier mariage était une erreur . . .  (on m'avait pourtant prévenu que Michel n'était pas un homme pour moi mais je me suis obstinée) Je dois l'admettre. Il est arrivé dans un moment ou je vivais une relation tourmentée, sur un fond de violence.

Philippe, (j'ai déjà publié un post) m'a manipulé. Mais sur le même principe, j'ai été passionné par ce gars qui représentait tout ce que je ne pouvais rêvée  de mieux pour moi. La prise de conscience et la désillusion ont fait retomber le soufflé de la passion. 

Pascal . . .  J'avais terriblement besoin d'amour, et en moins d'un mois, j'étais raide dingue de lui. J'avais tous les symptômes ressentis avec Michel et Philippe (au début de la relation) je pensais à lui, j'attendais ses messages avec  une fébrilité démesurée, je trépignais d'impatience à l'idée de le voir. Je vibrais littéralement. Il me comblait de message d'amour, me flattait en assurant qu'il n'avait jamais cessé de m'aimer en 38 ans.  Bien évidemment, tout ceci venait nourrir ma passion pour lui. J'avais des désirs secrets et insensés . . .  il ne m'a pas fallut beaucoup de temps pour redescendre de mon nuage ( 1 an de date à date, mais beaucoup moins en réalité, vu qu'on ne se voyait que pour les vacances). 

5 ans après, alors que je n'attendais rien, ni personne, que je naviguais paisiblement sur le fleuve de ma vie, la laissant s'écouler sans prise de tête, je l'ai rencontré . . .  Lui,  le véritable amour. Pas celui qui t'embrase dés les premiers jours . . .  celui qui se construit lentement, silencieusement, celui qui te fait te sentir bien même lorsque tu n'es pas avec lui, celui qui fait que tu t'endors apaisée même si tu es seule dans ton lit . . .  Je ne l'ai pas reconnu de suite, cet amour, j'ai mis des mois pour le ressentir, pour l'appréhender,   le bien-être n'appelant pas de questionnement à ce sujet.

Que vais je en faire maintenant ? ? 


Sam

 

9 Août . . . Bonne fête à ??


 

J'ai pensé à . . .


En trouvant cela sur "ma vie de garce" je n'ai pas pu faire autrement que de penser à Yvette, car c'est exactement son profil.

Avant elle, je n'avais jamais entendu une personne dire que son chirurgien lui avait laissé un peu de cancer. Je trouve ça d'ailleurs immoral vis à vis des gens qui souffrent d'un cancer, mais aussi irrespectueux.

Je connais plusieurs personnes qui ont eu, eux aussi, un cancer de la thyroïde, et qui n'en ont pas  fait autant.Elles restent pleines d'humilité et de discrétion.  Elle, au contraire, cherche tellement à ce qu'on s'apitoie sur son sort qu'elle sombre dans l'abus. ( même si je ne nie pas qu'elle en ait souffert)

La seule  chose qu'elle puisse me reprocher c'est d'avoir dit d'elle, qu'elle s'écoutait beaucoup trop.  je le lui ai même dit en face à face. Je me souviens lorsque j'ai subi en 2013 la thyroïdectomie totale m'être posé la question  . . . et Si  ? ?  mais je redoutais davantage l'opération en elle même, que le risque de cancer , après 12 ans d'attente, je n'étais plus dans le stress du cancer, et je l'avais même envisagé.

J'ai bien conscience que certaines personnes sont hypocondriaques, et je peux imaginer que ce trouble de la santé mental soit difficile a maitriser, mais tout de même . . . affabuler sur le comportement d'un oncologue  . . . pour se faire plaindre ? ? ? je trouve cela indécent.

C'est une personne bien particulière pour divers motifs  d'ordre psycho sur lesquels je ne m'attarderais pas ici, je passais dessus en l'évitant au maximum. Elle fait partie du type de personne que j’exècre. Cependant être mauvaise langue  par bêtise et envie, ça m'est insupportable. 

Au lieu d'être  constamment dans la critique et la jalousie, elle aurait gagné en se remettant en question.

 

Sam


NB: 10/8/2021 à 18h54

J'en ai terminé. A mes yeux, cette femme n'existe plus, c'est tout

samedi 7 août 2021

Remerciement




Que diront les autres . . .

Que diront les autres de notre décision qui semble saugrenue à quelqu’un qui ne connaît pas notre histoire ?

Que diront les autres à notre changement de cap qui paraît soudain si l’on ne connaît pas les tenants et aboutissants de ce qui l’ont précédé?

Bien trop souvent, nous nous préoccupons davantage de ce que les autres vont dire que de ce que nous ressentons en notre for intérieur. Le jugement des autres semble bien plus important que notre propre jugement.

Et pourtant, personne ne vit ce que nous vivons. Personne ne sait ce que nous traversons, personne ne se doute de la quantité de patience que nous investissons pour passer à travers une étape de vie qui nous semble difficile.

La seule chose vraiment importante dans toute cette situation, c’est comment nous NOUS sentons, nous. Qu’est-ce que notre cœur nous dit? Qu’est-ce que notre âme nous demande de faire.

Ce que les autres pensent, disent, ce qu’ils jugent et ce qu’ils condamnent n’ont rien à voir avec nous : ça leur appartient. Leur jugement parle bien plus d’eux que de nous.

 Alors cessons de nous en faire avec les "qu’en dira-t-on" et portons attention à ce que nous ressentons : le reste est sans importance. Nous sommes les seuls à vivre notre vie : autant la vivre pour être heureux que pour tenter de plaire aux autres!

 Sam

Extrait

 Une grande absence ne s'efface pas, mais elle cesse de saigner, elle cicatrise. Elle vous devient une présence endormie très fidèle, qu'on apprend à emporter avec soi à travers sa vie, à travers ses autres peines et même, à travers ses joies.

Fanny Deschamp,"La Bougainvillée"


jeudi 5 août 2021

Apprendre de ses erreurs . . .

Il y a des messages parfois, qui parle à beaucoup d'entre nous et  qui appellent une réflexion, une introspection. Si tant est que l'on en soit capable, évidemment.

Nous commettons tous des erreurs . . .  de parcours, des erreurs d'appréciations, de jugements sur soi-même,( ou bien sur les autres ) car l'erreur est humaine et l'humain n'est pas parfait mais perfectible.

Reconnaitre ses erreurs c'est  s'avouer imparfait, et ne pas s'en tenir rigueur, s'accepter faillible mais non moins aimable. 

J'ai rencontré nombre d'hommes qui en était incapable, comme si avouer ce manquement allaient leur faire perdre leur virilité . . .  sans doute  que pour certains cela touche l'ego,( les hommes n'aiment pas perdre la face) cependant  des femmes aussi  n'en sont pas plus aptes ( Nathalie M me disait que cela lui était impossible d'admettre ses tords et de s'excuser,  dixit : cela lui écorcherait la bouche . . .  drôle d'attitude vis à vis de la relation aux autres).

Pour certains avouer son erreur est avouer une faiblesse, et ne pas assumer c'est se dédouaner de toutes responsabilités . . .  Plus certainement, une preuve d'immaturité : les enfants ne sont-ils pas toujours des victimes de leurs bêtises ? ?

A mes yeux, reconnaitre ses tords ou  ses erreurs, vis à vis de l'autre, et s'en excuser s'est passé du baume sur la blessure que l'on a pu créer, s'est réparé  l'injustice que l'on a favorisé et remettre "la vérité" à sa juste place.   

Réparer  mais surtout avouer et prendre la responsabilité de ses actes. Sinon, on tombe dans le syndrome « je suis la victime de l’univers, tout est de la faute d’autre chose » ou ce qui paraît pire, on devient un menteur qui masque ses erreurs et qui n’a aucun remords.

Lorsqu'on assume  ses erreurs, on  commence à prendre conscience que l’on maîtrise sa vie. On admet que l’on a une prise sur les événements, et que l’on peut agir sur les victoires, comme sur les défaites. On peut  même transformer ces défaites en victoires. On grandit

Faire preuve de franchise et assumer ses erreurs n’est pas donné à tout le monde. Il faut un certain courage pour le faire. Et comme chacun sait, il est plus facile de fuir ses responsabilités que de les affronter dignement. Et surtout, lorsque les erreurs sont sans conséquences, les avouer permet de garder son honneur intact.

 Il est plus gratifiant de jouer la carte de l humour pour admettre son erreur plutôt que de chercher des excuses dont tout le monde sait qu’elles sont fausses, et passer – une fois de plus – pour quelqu'un de peu fiable. Car au-delà de l’erreur en elle-même (tout le monde peut se tromper !), c’est l' image d’honnêteté et d’intégrité qui est remis en cause. 

Assumer, avouer puis réparer permet d'apprendre de ses erreurs, pour ne pas les commettre à nouveau, pour s'abstenir de blesser gratuitement autrui.

Quant aux erreurs que l'on commet vis à vis de soi-même, les assumer, se les avouer permet de grandir, de ne plus se voiler la face sur des compétences, ou incapacités, sur des sentiments ou  sur une façon d'être  . . .  cela permet de lâcher prise  et d'être acteur de sa vie.

Il m'est arrivée de commettre des erreurs d'appréciations au sujet de certaines personnes, pensant qu'il y avait potentiellement un bon feeling, pour découvrir ensuite des incompatibilités rédhibitoires. j'ai accepté m'être trompé, m'être parfois emballé et ne pas être toujours dans le bon instinct relationnel mais je grandis de l'ensemble de ces erreurs.

Je n'ai rien perdu, juste appris ce que je peux accepter dans une relation amicale ou amoureuse et ne pas accepter. 

On s'enrichit indéfiniment lorsqu'on reconnait ses erreurs


Sam

 

 


Regarder avec le Coeur


"Et si on allait chercher en nous ce qui nous élève.
 
Et si on osait avoir un regard curieux sur nous-même.
 
De celui qui explore vraiment à l'intérieur, pas celui qui ne regarde qu'en surface, qui ne voit que les manques, les peurs, le besoin de pouvoir, les "il faut", les "j'aurais dû" ou l’apparence.
 
Non, pas ce regard là.
 
Mais celui qui nous mènera aux merveilles du monde, aux merveilles de notre monde intérieur. 
 
Sans ce regard curieux qui s'explore, on ne voit pas grand-chose de beau et de vrai.
 
On se critique, on s'humilie, on s'atrophie, on construit des murs entre l'autre et nous, une séparation entre nos différentes facettes.
 
Non, il nous faut un regard plus grand sur nous-même, plus intérieur, plus profond. 
 
Un regard qui n’utilise pas vraiment les yeux car celui-ci à tendance à juger et à se limiter aux apparences. A voir le détail, le caillou sur le parcours plutôt que la direction et les paysages.
 
Et si on osait nous élever au dessus de ça, et si on osait tout simplement regarder avec les yeux du cœur."
 
- Carine Lavigne

 


Ayez le courage


Ayez le courage d'essayer.
Ayez le courage d'être vous, qui vous êtes vraiment.
Ayez le courage de contredire les gens qui ne croient pas en vous, en faisant des choix qui s'alignent avec votre cœur.
Allez-y, ayez le courage de suivre votre cœur.
Ayez le courage d'aimer.
Pour espérer.
Pour croire à jamais.
Ayez le courage de laisser vos masques derrière vous
et de quitter les faux semblants, les fausses personnalités et tous les substituts qui cachent votre vrai visage.
Soyez réel, tel que vous êtes, qui que vous soyez
Ayez le courage de cesser de vouloir ressembler à tout le monde pour au final n'être personne...
Regardez au-delà des apparences, mais aussi au-delà de votre apparence....
Ayez le courage de vivre la vie que vous rêvez vraiment depuis toujours.
Vraiment.
Cesser de toujours vous excuser, vous justifier et de vous rabaisser pour faire plaisir....
Ayez le courage de laisser derrière vous tous les scénarios de la normalité et cessez de vous sentir coupable parce que les autres veulent vous le faire croire.
Ayez le courage de demander ce dont vous avez besoin et de vous éloigner de tous ceux qui ne peuvent pas vous le donner.
Ayez le courage de croire que l'Amour existe vraiment, et que ce n'est pas parce que vous avez souvent été déçu, trahi et abandonné que nous n'y avez plus droit....
Ayez le courage de continuer à y croire, à espérer, à rêver et à nourrir vos rêves et vos ambitions, tout le temps, sans jamais vous arrêter, sans jamais cesser d'y croire même si tout en ce moment vous laisse croire le contraire.
Ce n'est pas vrai, vous finirez par y arriver, continuez, continuez sans relâche.... faites des pauses, mais continuez toujours tant que vous avez des forces, tant que vous êtes en vie, tant que vous n'êtes pas mort....
Alors ayez le courage...
Le courage de vivre vraiment.
 
 Maud Albertini