Qui suis-je ? ?

"Tu peux m'insulter, me rabaisser, me critiquer, me salir, rien à foutre ! ! ! 

Tant que je ne te ressemble pas, 

moi ça me va très bien ." 

Sam

Juste un peu de volonté

 Juste un peu de volonté, et faire les bons choix, c'est la seule méthode pour retrouver ma sérénité et mon bien-être passé.

Je refuse de laisser certaines caractéristiques de mon profil continuer à polluer mon quotidien. Parce que c'est bien de cela dont il s'agit . . . 

L'agacement du favoritisme parce qu'il n'a aucune justification si ce n'est qu'il est dicté par un sentiment de préférence inexplicable, mais surtout parce qu'il représente une injustice face à autrui. . .  cette injustice qui a jalonné ma vie depuis l'enfance, qui m'a toujours insupporté, esquinter, qui a nourri une colère grandissante intérieure . . . et  dont  je ne comprends pas l'intérêt.  A l'inverse, j'aime ce qui est juste, carré, équitable. 

Avec la même volonté que celle que j'ai eu pour arrêter de fumer, ou celle qu'il m'a fallu pour rompre avec les personnes toxiques qui m'entouraient et m'entrainer vers le fond . . .

Je jette l'éponge au niveau du boulot entre autre. Je resterais silencieuse, juste polie parce que c'est ainsi que j'ai été élevée "soit polie, ma fille, même avec les gens qui t'emmerdent". Évidemment je n'appliquerais pas ce précepte jusqu'au bout, y préférant une politesse graduelle. Je n'irais pas jusqu'à ce que je qualifierais d'hypocrisie ou bien  en baissant mon pantalon vis à vis de certaines personnes. Le silence et le mépris sont une meilleure attitude. Comme on dit "ne parle pas aux cons, ça les instruit"

Iels pourront dire ce qu'iels veulent en bons hypocrites, à mon sujet , m'insulter, me rabaisser, m'inventer une vie, me critiquer, du moment que je ne leur ressemble pas, ça me suffit et me ravit. Ce n'est pas ce qu'iels racontent qui fait ce que je suis.  Je sais ce que je suis et ce que je vaux.

Je ne veux plus rien savoir, non plus. Hormis quelques personnes, tous les autres peuvent tomber d'un toit, s'ouvrir les veines, se couper un bras, s'exploser la tête . . .  etc, je n'en ai strictement rien à faire, ni compassion, ni empathie. On ne peut franchement pas  s'apitoyer du malheur de personnes qui n'en n'ont aucune, même si je ne leur souhaite pas de mal ( mais même en épluchant des oignons je ne verserais pas une larme le cas échéant)

On ne me connait pas. Je peux basculer dans une indifférence, un mépris et une froideur totale pour assurer ma tranquillité.

Sam

Pensée du soir

 

Les confidences ne s'offrent pas aux trafiquant-e-s de ragots

 Il n'y a pas de hasard . . .  tomber sur cet article, maintenant

"La trafiquant-e-s de ragots se trouvent partout. Iels s’alimentent des rumeurs avec leur langue pendue, comme s’il en allait de leur vie. Ils ont aussi cette mentalité de troupeau, capable de trouver du plaisir en se délectant des maux d’autrui, abîmant des confiances et tissant des conspirations derrière notre dos.

Aussi pitoyables que nous paraissent ces attitudes, il faut savoir qu’il s’agit d’un type de comportement psychologique qui existent depuis la nuit des temps. Les rumeurs font partie de notre essence biologique en tant qu’être sociaux que nous sommes. C’est ce que nous explique, par exemple, une étude publiée en 2008 dans la revue “Scientific American”

“Ce que tes yeux n’ont pas vu ne doit pas être inventé par ta bouche.”

De son côté, Robin Dunbar, célèbre anthropologue, psychologue et biologiste britannique, a développé une théorie dans laquelle il parle des ragots comme du bouillon de culture sur lequel on a commencé à développer notre langage. Selon lui, alors que nos ancêtres se nettoyaient les une-s les autres dans leurs petits groupes sociaux, iels ont commencé à échanger des informations de type confidentiel dans le but de tisser des liens.

Il existe de nombreux types de ragots, et une bonne partie d’entre eux ne sont pas malveillants. Souvent, avec ces échanges, nous ne cherchons qu’à récolter des informations pour éliminer l’incertitude de nos environnements les plus proches. Notre cerveau est conçu pour récolter des données dans le but de rétablir notre équilibre cognitif, d’où le fait que nous ayons besoin que les autres nous les expliquent pour vaincre ces dissonances et ces vides d’informations.

Caractéristiques des trafiquants de ragots

Épicure a défini le ragot comme un plaisir naturel, mais pas nécessaire. Nous pourrions vivre toute notre vie sans propager ni une seule rumeur ou sans nous y intéresser et ce ne serait pas grave. Nous n’en mourions pas.

Mais les authentiques trafiquant-e-s de ragots en ont besoin d’une manière ou d’une autre, car les commérages ont un effet compensatoire face aux déceptions, aux vides émotionnels et aux mal êtres personnels. Nous pourrions dire que ce sont des “épices” dans leur vie. Sans eux, iels ont l’impression qu’elle n’a pas de goût, qu’elle est ennuyeuse.

Le mécanisme biologique que déclenche l’acte de se serrer les un-e-s contre les autres pour partager des informations privilégiées avec d’une personne absente donne lieu à une réaction chimique très intense : cela libère de la sérotonine, l’hormone du bonheur. C’est ce qui explique pourquoi certaines personnes sont dépendantes à la diffusion de rumeurs.

Voyons quelques caractéristiques supplémentaires.

Cela renforce le sentiment d’appartenance à un groupe

Pour les trafiquant-e-s de ragots, partager une rumeur suppose de consolider un “nous” pour exclure un “elleux”. Ainsi, on construit le sentiment d’appartenance à un groupe déterminé, un comportement commun dans de nombreux contextes professionnels, scolaires ou même familiaux.

Cela apporte la sensation d’avoir un statut

Quiconque obtient une confidence obtient immédiatement une arme de pouvoir contre quelqu’un, et un instrument qui bien dirigé à un moment déterminé peut être un gros avantage. Comme le dirait Nietzsche, il y a des personnes qui ont besoin d’avoir une situation, un statut, et qui n’hésitent pas l’obtenir via des mécanismes à la réputation morale douteuse.

“On a besoin de deux ans pour apprendre à parler, et de 70 pour apprendre à se taire.” Ernest Hemingway

Le ragot crée une “mentalité de troupeau”

Nous en parlions au début de cet article. Le fait de participer à un commérage pour ensuite le propager aux quatre vents sans savoir si c’est vrai, sans appliquer aucun filtre d’analyse ou sans évaluer l’acte, configure cet esprit unitaire et rigide qui en dit peu sur notre propre évolution humaine.

D’une certaine manière, cela confirme que tout près de nous, il y a un-e envieux-se qui invente une rumeur, une commère qui la diffuse et un-e ingénieux-se qui l’accepte sans opposer de résistance. 

 Il est nécessaire de freiner ce type de comportements. Les trafiquant-e-s de ragots, il faut les arrêter tout simplement, en freinant la propagation des rumeurs. La question est : comment y parvenir ? Eh bien, en appliquant les filtres de protection dont nous allons vous parler à présent. 

La psychologie du ragot et comment le gérer

Le ragot est juteux et coloré mais il a rarement une visée constructive. À tel point que selon un travail du London Business School, les ragots occupent 70% des conversations dans une entreprise, et on utilise cette variable pour mesurer la productivité d’une société.

 “Tout le monde ne répète pas les ragots qu’il entend, certains les améliorent.”

Les fournisseur-se-s de ragots erronés et les trafiquant-e-s de rumeurs nocives affectent les dynamiques de n’importe quel environnement. Ce sont les germes du harcèlement au travail et ils créent des distances insurmontables dans l’organisation d’un environnement professionnel, où les employé-e-s se méfient de la direction et la direction de son propre capital humain.

 Voyons à présent quelles sont les réponses à mettre en place pour éviter ces dynamiques.

Comment freiner un ragot nocif ?

Sachez, tout d’abord que tout commérage est susceptible d’entraîner avec lui des informations erronées ou un dommage moral envers une autre personne ou un groupe de personnes qui se retrouvent concernées par ce ragot. Choisir d’y participer est une décision qui peut nous transformer en trafiquant-e de ragots ou en bouclier sage qui considère qu’iel se doit de freiner cette dynamique.

• Les commérages peuvent être une manière de se socialiser, mais nous devons être capables de faire la différence entre le ragot qui cherche à nous apporter des informations nouvelles, honnêtes, utiles et significatives et celui qui a des propos nuisibles.
• Apprenez à distinguer aussi les informations fiables des simples suppositions.
• Montrez que vous ne voulez pas participer aux groupes où l’on diffuse des ragots mal intentionné-e-s.
• Soyez prudent-e, intuitif-ve et faites attention lorsque vous voulez confier quelque chose et que vous faites confiance à quelqu’un de votre entourage. Il est toujours préférable de pratiquer la prudence sage et le silence discret, au lieu de tomber dans les filets des trafiquants de ragots.

Pour conclure, il est clair que ces ragots sont plutôt des discussions d’école maternelle plutôt que de travail, de voisins ou d’amitié. Pourtant, il faut nous faire à l’idée que ces conversations seront toujours autour de nous. Pensez que le simple fait de faire la sourde oreille aux langues pendues vous évitera de nombreux problèmes."   nos pensées

 Sam

 

 

 

 

 

 

Dernier Post sur le Vortex, long mais ultime

Je ne peux que constater que c'est utopiste d'espérer que quoi que ce soit ne change, parce qu'on ne peut pas changer la nature humaine. Dans le domaine potinier, le vortex est un vivier.

 Comme je le déduisais depuis longtemps, il y a quand même une poignée de personnes ( toujours les mêmes, sans nul doute,) qui entretiennent cette ambiance pourrie "qui adorent écouter aux portes", pour avoir matière à  répéter, et à parler,  à jouer a ceux qui savent (comme si c'était valorisant, drôle d'idée, non ? ! ? ), à lancer elles-mêmes des rumeurs, à ré-interpréter à leur façon, histoire de bien remuer la m  . . . dans laquelle iels se prélassent.  Pas de doute, iels aiment les embrouilles . . .  y participer, les entretenir , les créer ! ! ! Et leurs jugements à l'emporte pièce mériteraient une bonne humiliation publique . . .  leur crétinisme fait pitié. Après, il faut aimer cancaner, pour s'entendre avec ces personnes là.

C'est quoi l'idée ?  s'ennuient-iels  tant que ça ?

Qui sont ces personnes à la  curiosité malsaine, à l'affut de la moindre histoire, du moindre ragot ou friandes de la moindre rumeur, qui sont dans le besoin de savoir, puis qui ne  regardent  qu'un seul coté de la pente sans prendre de recul,  sans rien ne remettre en question, sans imaginer une seule seconde qu'elles peuvent juger une situation un peu hâtivement  ? ?   et puis, juger . . .  mais de quel droit ? Qui sont ces personnes qui se nourrissent avec délectation de cette merde ? en prêtant foi, en écoutant, en transmettant, en prenant parti sans savoir ? 

Celui ou celle qui participe d'une manière ou d'une autre, favorise les histoires et entretient les commérages. On peut écouter et que cela reste seulement UNE ÉCOUTE ATTENTIVE . Ce que l'oreille reçoit  doit rester dans l'oreille. Cela devient du commérage, dés lors que ce qui entre dans l'oreille, ressort par la bouche. 👎👎 Recevoir une confidence ou entendre ce qui se raconte ne doit pas faire ensuite l'objet d'un débat , et d'un colportage systématique.

 Je constate qu'après mon accrochage virulent avec Biboul, la dispute a fuité ( possiblement) jusqu'aux ateliers, sachant que pour l'essentiel nous n'étions que tous les deux . . .  qui aurait bavé ? et quel est l’intérêt ? ( je revis des moments de cour de récréation de primaire)  une personne m'a vu gesticulé, a-t -il répété ? a-t-il vraiment  entendu ? a t-il  composé une histoire autour de ce qu'il a vu ? une deuxième  a été surprise planquée dans les escaliers, écoutant ( ça bosse dur)  . . .  Donc, est ce que c'est celle qui m'a vu gesticulé qui a raconté aux OP ? est ce celle dans les escaliers qui a parlé ? ou bien encore, Paul qui répète à Pierre, qui répète à Jacques ? ? Mais une chose est sure, l’ouïe est attentive, et j'adore ( j'ironise bien sur) (quel euphémisme), les personnes qui laissent entendre que ça les saoule, qui prône le  laisser couler  mais qui ont toujours l'oreille tendue, la langue pendante prête à se mettre en marche ( celles-là  mêmes qui ne supporteraient pas être l'objet de rumeurs) . . . Bien évidemment je suis la seule à connaitre la véritable version de cette dispute et ce qui a été dit exactement,  toute autre version qui pourrait être colporter n'est que mensonges ou ragots ( Je pourrais devenir beaucoup moins sympa, le cas échéant) Je ne pense pas que Biboul se soit vanter de l'abattage que je lui ai mis, son égo a été mis à mal ( a moins qu'il ait arrangé la version à son avantage, comme Mytho faignasse)  . . .  Une autre possibilité serait qu'on se  paye ma tête, car à la base, il y a une personne à qui je l'avais signifié auparavant, sans donner aucun détail ( croit-on que je n'ai pas de mémoire ? n'a-t-on pas encore compris mes capacités en clairvoyance ?)

"ON" me dit aussi,  qu'il y aurait eu des fuites à propos de la réunion entre les techniciens et l'intendant . . . Qui avait la possibilité de fuiter, si tant est que ce ne soit pas un mytho de plus (difficile de savoir combien d'affabulateurs trainent dans le vortex) si ce n'est qu'une des personnes présentes ? Il faut parfois arrêter de mettre la tête dans le sable lorsque les évidences sont criantes. Des micros espions ? 😂des caméras planquées ?😂😂 Les secrétaires dans le bureau à coté ?  Je crois qu'il faut songer à stopper la fumette, la picole, ou d'arrêter de s'écrire des scénarios et de se les jouer. Franchement, que d'enfantillages paranoïaques, ou d'affabulation pour attirer l’attention, sur soi.

Déjà, il aurait fallu  savoir qu'ils avaient une réunion,  désolée si toute la vie du vortex ne tourne pas autour d'eux,  😂😂 . . . et même, au pire . . .  qu'est ce qu'on en aurait eu a faire ?   Ils n'ont pas l'air de savoir qu'il y en a que ça intéresse peut-être mais  d'autres s'en foutent royalement, (dont moi) et je mettrais ma main à couper que ceux que ça intéresse sont les mêmes qui passent leur temps à faire des histoires et à blablater.( ceci explique cela) Perso, je ne sais pas ou ils sont, ce qu'ils ont à faire, et ce qu'ils font, je ne veux même pas le savoir d'ailleurs, car moins on en sait sur eux, mieux on se porte. Ils représentent pour moi tout ce qui se fait de mieux pour s'attirer des emmerdes, alors 🙈🙉🙊.

J'ai aussi constaté une grosse part de naïveté, ou de mauvaise foi . . .  Sérieusement, on ne me fera pas croire  que ceux qui se retrouvent incriminés par des abus en tout genre font l'objet de cafardage ? ?  c'est totalement immature de ne pas assumer ses responsabilités et pire de s'en persuader  ? ! ?   Tout fini par se voir, tôt ou tard, surtout lorsque ça se reproduit tous les jours, à la vue de toutes et tous et Il faudrait aussi, cesser de se contredire (pas de bol, j'ai de la mémoire)

Ensuite, tout comme je n'ai pas hésité a demander à Biboul, la véracité des propos de Mytho faignasse à propos de leur droit a faire davantage de pauses vu la pénibilité de leur travail ( ce qui au passage l'a bien fait rire, venant de la personne la plus faignante que le lycée ait engendré . . . ) j'irais peut-être, m'enquérir  auprès de l'intendant, de la demande faite aux OP de moucharder les agents  . . .  ça tombe bien, j'ai solliciter un entretien au sujet de ma fonction.

J'ai du mal à croire, qu'aucun n'aie eu la faculté d'analyser le comportement  de Biboul ( et  pas que le sien, d'ailleurs) et du coup, de ne pas prêter foi à ses propos, aucun esprit critique à l'horizon, de bons petits moutons obéissants qui ne se rebellent pas, mais surtout qui avalent bien toutes les couleuvres qu'on leur demande de gober, de bons petits soldats.

* Biboul réagit toujours en dépit du bon sens, quant à son pouvoir d'autorité en tant que supérieur hiérarchique. Il voit, ça l’énerve, mais il ne dit rien. Il cumule puis explose, il n'est pas dans une autorité assumée et juste.

* Il ne s'adresse pas directement à la personne, il s'adresse au groupe, et s'il n'y a pas de groupe, il s'adresse à l'autre personne que celle qui est directement concernée.( vécu)

* Lorsqu'il a pris lui même un "remontage de bretelle", il se venge en  faisant passer sa mauvaise humeur  sur qui croise son chemin.  (enfantillage . . . " bouhhh😭 c'est votre faute si je me suis fait gronder" )

* Biboul  ment pour camoufler ses défaillances, et ses erreurs, entre autres ( c'est plus fin que ça psychologiquement, mais en résumé c'est ça ! !

* Par manque de courage ou pour préserver son image, il "refuse" d'endosser un rôle de "méchant" qui sanctionne, il fait donc en sorte que cela soit sa propre autorité ( l'intendant) qui s'en charge. il cafarde , et obtient satisfaction, sans s'être mouillé.( help, la psycho pour les nuls)

* Il louvoie, il cafarde, il se déresponsabilise, et il noie le poisson. Il jette l'appât et il attend. Et comme il a un public de dupe, il finit par avoir gain de cause et ce fameux public n'y voient que du feu ! ! ! 

* Lorsqu'il est mis face à son irresponsabilité, et faute d'avoir un bon argumentaire face à quelqu'un qui ne le craint pas et qu'il sait avoir raison,  il se trouve des excuses, comme un gamin pris en faute. S'il y a du public, par fierté, il tente l'autorité, monte le ton, et menace façon autorité abusive ( le propre des personnes qui n'ont aucun argument valable), et une fois seul à seul, se dégonfle comme un ballon de baudruche, et chouine ( encore une fois comme un gamin pris en faute).

Une phrase m'a mis sur la route d'une réponse : c'est Biboul qui a bavé sur la convocation d'une collègue chez l'intendant, cette même phrase m'a fait comprendre le parti pris et m'a profondément déçu, je les croyais plus intelligents que ça, mais lorsqu'on ne réfléchit pas par soi même  . . .   bon, je ne m'attendais pas à autre chose, comme on dit : "qui se ressemble, s'assemble" . Afin de régner en maître et de passer pour intelligent, l'idiot-e s'entoure de plus creux qu'iel,  . . .  ça a le mérite de fixer les limites du possible ! !

Et il y a plein d'autres phrases prononcées qui ont été révélatrices. Il y aurait tant à dire, mais je stopperais là, de toute façon mon opinion est faite. J'ai horreur de la  manipulation, du  mensonge, de l'hypocrisie et qu'on se paye ma tête.  C'est sans doute la fois de trop.

Je suis déçue mais aussi dégoutée, j'avais rêvé d'un peu plus de bon sens, d'esprit critique, de franchise, de sens de la déduction, et d'un peu d'intelligence . . .  c'est mort  . . .  Chacun son miroir. 

Sam

Vortex . . . Quand tu nous tiens

 Obligée d'aller au bureau pour le boulot, récupérer des documents envoyés par l'intendant,  on m'a parlé de la réunion avec ce dernier . . . Mais qui va encore baver au bureau ?

Il y en a., franchement, c'est plus fort qu'eux. Mais le comble dans cette attitude de bouche de commère ( Bouche à 💩 dirait lati) ( et mon intuition me dit que c'est un homme, et même, un OP. De toute façon, ils y sont très souvent) c'est que ce qui est ressorti de cette réunion, c'est qu'il ne faut pas dire de gros mots 😂😂 c'est sur, le sujet des pauses a rallonge, genre: je rends 1/2 h alors que je prends . . . En moyenne plus de 2 heures / jour, le sujet de ceux où celles qui s'affalent sur les chaises ( ou les lits dans les dortoirs) celles ou ceux qui partent bien avant l'heure et parallèlement qui arrivent en retard, le respect du travail à effectuer et le respect du travail effectuer par les collègues,  l'entraide . . . Tout ça on en a pas entendu parler, hein ? ?  Et alors la marmotte, elle plie le chocolat dans . . . Mais bien sur  ! !  😂 En définitive, certains ne racontent que ce qui va en leur faveur. 

Alors effectivement, même si c'était un one man show bien rigolo, il n'empêche que tout ce qui a été retenu et transmis, c'est les gros mots 😂😂😂 

Il n'y a pas plus sourd que quelqu'un qui ne veut pas entendre . . . lorsque je le dis.

Sam

 28/04   PS: re- reconfirmer hier (le hasard fait bien les choses) que certains n'ont retenu que ce qui les arrangeaient, t'as le bonjour de la mauvaise foi ! !  on ne fait pas les fiers. lol

Et si je vous disais la loi de l'attraction . . .

 

Sam

En parlant du regard . . . .

Aujourd'hui, c'était  marrant, j'ai croisé Mytho faignasse . . .  même pas capable de me regarder droit dans les yeux, se pourrait-il qu'il n'est pas la conscience tranquille ? ?  

En tout cas, je n'ai baissé ni la tête, ni les yeux. 

Lui, il s'est hâté de rentrer dans une classe tête baissée, et évitement du regard, Pauvre petite chose  ! ! !  Toute son attitude est très parlante en morphopsychologie. 

Et en plus il va "chouiner" si jamais il touche moins de prime rifseep que ses copains parce qu'il est logé. Lui, qui ne supporte pas que quiconque est un avantage de plus que lui.  Il les plombera par derrière comme il l'a toujours fait. Avec en option favorable l'assentiment de sa copine, la moule. (l'un étant la version identique de l'autre dans le sexe opposé) 

Sam

Et si je vous disais la loi de l'attraction . . .

 

Sam. 

Le regard des autres

Selon moi, agir en fonction du regard des autres, surtout si l'on reste dans le respect, c'est ne pas s'autoriser à vivre tout simplement.

Si Max avait fait cas du regard des autres, il ne serait pas avec Logan, qui est noir et si Logan avait fait cas du regard des autres, son histoire n'aurait pas vu le jour, car Max est trans. S'ils s'étaient fier au regard des autres, leur amour n'existerait pas . . . 

Si j'avais pris en compte le regard ou  l'opinion des autres, je n'aurais pas donné naissance à mes 3 enfants, parce que les 2 pères étaient loin de faire l'unanimité de l'ensemble de mon entourage amical et familial. Je me suis vautrée,(quoi que 9 ans 1/2 et 16 ans, il y a pire comme gamelle") mais au moins  j'ai essayé.  

Mes fréquentations . . .  pas à mon niveau. Mes amis-es . . .  pas assez bien, ou pas recommendables . . .  mes choix professionnels pas assez digne . . .  toujours quelques uns pour porter un regard négatif, un jugement sur ma vie, mes choix, mes tenues vestimentaires. Je me maquillais: tu es tombé dans une embuscade ? Je m'habillais pour sortir : on t'a embauché au cirque ? 

Je me souviens d'une réflexion ( et donc du regard qui avait amené ce propos )  qui m'avait gravement secoué à l'époque :" Quoi ? Tu as couché avec ce nabot ?" le regard porté sur ma relation avec mon copain d'alors( plus petit que moi, et moins . . .  ), m'avait plongé dans la honte, je ne voulais plus me montrer avec lui. C'est grave, l'emprise du regard, et donc du jugement.

et puis hop hop hop, un jour . . .  j'ai compris  ! !  ça apporte le bonheur d'être sincère avec soi-même ! ! On lâche prise, et on dit : je vous emmerde tous,

Alors qui que vous soyez, assumez ce que vous êtes et aimez vous. Ne laissez pas les regards dicter vos pas, votre façon d'être, de penser ou de vivre. Respectez vous, on vous respectera. 

Sam

La fumette 😜

"La fumette" c'est un propos d'Eddy Murphy  dans le flic de Beverly Hills, ça m'a toujours fait rire . . .  Bah là, c'était exactement pareil ! ! 

Écouter un discours récurrent et toujours aussi stérile, par lequel une hiérarchie se gargarise : "c'est qui l'patron"  Ils nous serinent tous, avec un blablabla de circonstance mais qui ne sert strictement à rien. 

Les deux chefs, Culbuto frisotis et Biboul tiraient une "tronche de 10 kms" et pour cause ! ! c'est ce qui arrive lorsqu'on se croit intouchable et protégé. J'ai pu observé, et je ne suis pas la seule . . .  Culbuto se tourner vers Biboul, et un regard s'échanger entre eux à la suite d'une des énumérations de la hiérarchie  . . .  Le visage de Culbuto s'est coloré, pas par  colère contenue, mais je dirais plutôt de la  gène ou de la  honte. La morphopsychologie permet de faire la différence ( c'est pour cette raison d'ailleurs, que je voulais impérativement discuter en face à face avec Mytho faignasse, et non par téléphone comme il le souhaitait, j'ai pu constater en visuel tous les mensonges qu'il m'a servi).

 Il y a une partie qui  ne se sent jamais concernée par ce qui est dit, et une autre partie qui voit très bien qui est visé. Alors comme j'ai toujours dit: il n'y a pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre. 

Dans ce qui a été dit, j'ai compris que Bip Bip avait  du informé l'intendant des défaillances de cette hiérarchie directe5 Biboul et Culbuto) ainsi que des abus qu'elle a constaté d'elle-même et qui n'ont pas été sanctionnés  . . . il y a des phrases qui ne trompent pas. Être mis  face à son incompétence, ça  doit mettre l'ego a mal, surtout lorsqu'il est surdimensionné. ( Je sais, mais tout le monde le sait que quelques collègues ont été pris en flagrant délit de flemmingite aiguë, dans les dortoirs, et n'ont pas été sanctionnés par Biboul, bip bip n'était vraiment pas contente)

Je me suis bien amusée . . .  comme d'hab. J'adore ! !  Pendant que j'écoute ce qui est dit, je regarde les "ganaches" et les attitudes corporelles, ça dit tellement de choses ! ! ! ( merci Alice, Paquita, et Mireille pour leurs enseignements qui me sert au quotidien)

On n'a pas fini d'en parler.

Enfin, en ce qui me concerne le sujet est clos. Cela ne mérite pas de  disserter.

Sam

Je dis ça, je dis rien !!

 Je ne demande rien, et on se justifie.

Parfois, il vaut mieux se taire que de se mettre dedans en voulant se justifier par un mensonge. 

X arrive en disant " je n'ai pas eu le temps de monter avec tout le boulot que j'ai " .Tiens tiens tiens, X était en train de tailler la bavette sous mes fenêtres, un certain temps. X n'a pas de compte à me rendre, alors pourquoi se justifier ? ?  c'est quoi l'idée ? ?

Lorsqu'on pense que je suis une conne qui gobe tout,  ça blesse mon orgueil, et ça retire des points. Et lorsqu'on perd tous ses points . . . Avec moi, on ne les récupère pas 👎, plus la peine de repasser 😂😂

Sam

 

Brève mais intense

Il va lui pousser une 3 ème kaka . . . huète 😱😱😱 mytho faignasse a été vu portant une échelle  ! ! 😂 😂

Sam

 Euhhhhh il l'a juste porté . . .  Déjà bien  ! ! !  Lui, il pose le pied sur la première marche pour tenir l'échelle, manière de dire qu'il participe.  Bouhhhh le vilain glandu. 

Petite brève

 Biboul a eu droit à un abattage, de nouveau.

Le vent tourne . . .  Les "ayant droits" au passe droit risquent de voir leurs petits  privilèges passer à la trappe.

Mais le plus excitant, finalement, c'est que certains tombent de haut  ou vont tomber de haut en découvrant la vraie nature des gens . . .  Rooooo "rigolation, jubilation" 😂 😂 😂

Parce que s'il y en a qui savent, d'autres refusent de voir, même ce qu'il y a de plus évident.

Il n'y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir, ni pire sourd que celui qui refuse d'entendre.

Lorsqu'ils verront qu'ils sont pris pour des cons, et de l'autre côté (avec ceux qui savent déjà) qu'ils passent pour des cons . . .  Ça va être bien marrant. 

Sam

Des nouvelles du front

Le vortex n'a pas changé de place 😂😂

Biboul a fait l'école du rire comme tous les week-end.  Il se pointe avec l'agent de maîtrise, qui lui comme moi, nous rappelons avoir déjà été  présentés. En flagrant délit de manque total de personnalité, Biboul surjoue son personnage, il me fait rire.

Biboul annonce qu'il a informé qu'il fallait appliquer, de nouveau les gestes barrières, comme entre autre, le port du masque . . . Étant donné le nombre de collègues positif au covid ! !

Je constate que l'on s'est compris avec le nouveau chef, car nos regards se croisent à ce moment précis . . . Biboul annonce une consigne qu'il ne s'applique pas à lui même  ! ! Roooooo la blague, question crédibilité, ça craint. Bon ! ! Nous, on sait depuis longtemps qu'il n'en a aucune, mais le nouveau . . . 😂

Ce matin, comble de chance pour moi, (comme quoi, il n'y a jamais de hasard) 2 techniciens en électricité sortent du bâtiment en face, alors que je sors de la buanderie, en direction de la lingerie. Un des 2 porte sur son épaule quelque chose de lourd en apparence et long, encartonné. Et comme d'habitude, arrive genre balou derrière le bosseur, mytho faignasse le glandu. Par quelle magie se rend il compte que son collègue, en plus d'être seul à porter la charge, se retrouve obligé d'ouvrir la porte du fourgon  ? ? aucune idée, toujours est il que pris d'une frénésie d'action, Mytho se met à trottiner 1 m avant le fourgon pour aider son collègue à ouvrir.

Et moi, j'assiste à ça,  hypnotisée par le déroulement de l'opération, tout en me disant : il n'a vraiment aucune honte celui là.

Sam

Pâques . . . les cloches reviennent

"Les cloches reviennent pour déposer les œufs dans les jardins" selon l'église catholique.

Pour moi, la cloche sonne pour tenter un rapprochement. Euhhhh la cloche sonne creux, et n'a rien compris . . . Ce n'est pas parce que c'est le week-end Pascal, qu'il doit se croire tout permis.

 Une lettre bien  acide n'y a pas suffit ! ! !  s'il débarque de son patelin je verse de l'huile bouillante par la meurtrière.

Sam

3 jours loin du vortex

 Je suis en mode guerrière, tu me marches sur les pieds, je te marche sur la g . . .

Heureusement, 3 jours loin du vortex et de tout ce qui s'en rapproche permet de se désintoxiquer, pour ne pas faire overdose. Je ne sais pas si  c'est l'énergie puissante de cette nouvelle pleine lune qui influe sur mon état, mais waouhhhh, je suis épuisée nerveusement. Besoin de me ressourcer . . .

La semaine a été difficile.

Rien de mieux que de commencer ce long week-end de détente par un resto. C'est vendredi, et c'est youpiiiiiiiiii

Sam

Un manque de personnalité ?

 Jusqu’où peut aller l'influence, inconsciente ou pas, d'un groupe vis à vis d'une personne ? et jusqu’où est-on capable d'aller soi même pour éviter la marginalisation ?

Le groupe, dans sa puissance de persuasion  de rejet, est capable de dépersonnaliser  quiconque s'opposerait à son mode de fonctionnement ou de pensée. Le groupe détient le pouvoir, le pouvoir d'exclure la non-conformité aux règles établies. Celui ou celle qui souhaite s'en libérer sera évincé ou écarté . Cette option crée, en conséquence, une forme de soumission d'actes et de pensées.

la vidéo ici montre clairement la grande influence que peut détenir un groupe sur une personne. Elle peut prêter à sourire, cependant elle est révélatrice de la nature humaine dans sa globalité, ainsi que du mode de fonctionnement de la société et c'est effrayant ! ! 

Qu'est vraiment la personne qui se soumet au groupe ? faible ? sans caractère ? influençable ? suiveuse ?  Qu'est ce qui fait qu'elle soit dans l'incapacité d'affirmer sa liberté d'être.

Est ce si compliqué de s'autoriser à être soi-même, à  affirmer sa différence ,  à ne pas vouloir rentrer dans le moule ?  Je pense que oui . . .  pour bon nombre de personnes qui ont  un manque de personnalité,  et qui sont prêtes à s'oublier ou  à se renier pour être en conformité. 

Personnellement, je préfère être détestée pour ce que je suis, qu'aimée pour ce que je ne suis pas. Être soi-même ne veut pas dire "se dévoiler ou se mettre à nu", ça ne signifie pas "tout dire de soi". Ça veut dire se respecter, et se faire respecter dans ce que l'on est, dans nos choix, et dans nos valeurs. Ça veut dire ne pas vouloir imperativement être aimer, estimer ou apprécier au sacrifice de notre dignité. Mais ça veut aussi dire accepter la qualité plutôt que la quantité. 

Je plains ces personnes qui n'ont pas de force de caractère pour s'affirmer, qui baissent leur pantalon au péril de leur estime personnelle.

Ne passez pas à côté de votre vie, elle passe si vite

Sam

Quand par peur du conflit on laisse prévaloir l'injustice

"La vie quotidienne est pleine de situations qui peuvent mener à des conflits. Vous faites la queue et soudain quelqu'un se faufile subrepticement trois personnes devant vous, ou le commerçant essaie de vous faire payer plus pour quelque chose que vous savez moins cher. Ou votre patron vous donne un ordre impossible à exécuter, car il s'est réveillé de mauvaise humeur.

Nous avons tous la liberté de choisir de répondre à un conflit ou non. Parfois, nous “achetons le combat” parce qu’il semble juste ou raisonnable. D’autres fois, nous laissons tomber parce que cela ne vaut pas la peine de dépenser de l’énergie pour quelque chose sans importance.

 Cependant, il y a des gens qui n’arrivent pas à faire ce choix. Ou plutôt, ils choisissent par avance de renoncer à toute situation qui implique d’en affronter une autre. Non seulement ils échappent aux débats, mais ils revendiquent, exigent ou exécutent tout comportement impliquant un conflit direct. Ce qu’il y a en eux est plus que de la peur. Ce qu’ils éprouvent est un sentiment d’impuissance qui dépasse la raison.

Parfois, ils ne sont même pas conscients de leur peur. Ils disent simplement qu’ils préfèrent être en paix et ne pas se disputer avec qui que ce soit. S’ils travaillent en groupe, par exemple, et que l’un des membres de l’équipe échoue de manière flagrante à faire sa part, ces personnes prendront en charge la tâche que l’autre a laissée inachevée juste pour éviter un différend. Ils feront le travail qui n’est pas le leur, tout cela pour ne pas entrer en conflit avec l’autre.

 La stratégie d’évitement des conflits

Éviter les conflits est une  stratégie valable, tant qu’elle évite un mal plus grand. Si vous savez que quelqu’un d’autre est absolument intransigeant sur une question, il est inutile que vous le contestiez. Ou si une norme en vigueur ne vous plait pas, mais qu’on vous a prévenu qu’elle est immuable, vous ne gagnez pas grand-chose à engager une confrontation.

Cependant, il existe de nombreux autres cas dans lesquels quelque chose de beaucoup plus pertinent est en jeu. Vos droits, par exemple. Ni votre dignité, ni le respect que vous méritez. Dans ces cas, vous perdez beaucoup plus en ne déclenchant pas un conflit qu’en l’évitant. Consciencieusement, vous savez qu’une injustice est en train d’être commise, qu’il se passe quelque chose d’illégal ou qu’un acte dénigrant est permis. Même ainsi, certaines personnes restent silencieuses et font semblant de continuer comme si de rien n’était.

Les conséquences sont graves, non seulement parce qu’un acte offensant est admis, mais aussi parce qu’il a des effets sur l’équilibre émotionnel. Autant quelqu’un fait semblant de suivre son chemin, sans accorder d’importance à l’injustice commise à son encontre, autant quelque chose en lui va réclamer. Cela entraînera de la frustration, de l’inconfort, de l’intolérance, de l’angoisse ou peut-être une maladie physique.

D’autre part, ces types d’attitudes alimentent et entretiennent des relations sociales perverses. Aujourd’hui vous lâchez prise, mais demain ça ne s’arrête pas. L’agresseur ne s’arrêtera pas parce que l’autre n’offre pas de résistance. Bien au contraire : vous sentirez que vous avez un champ libre pour faire avancer votre logique. Éviter les conflits ne veut pas dire les résoudre. Ne les contournez même pas.

Évitement appris

Éviter, esquiver, passer à côté… Ce sont des comportements la plupart du temps appris et inculqués. On fait croire à tort que la retenue, la répression ou le silence sont des réponses valables et même souhaitables. L’enfant ne naît pas refoulé. Le bébé fait tout sauf se retenir. C’est son environnement qui lui apprend à le faire car, en fin de compte, de cette façon, plus de contrôle est exercé sur lui.

Ceux qui évitent les conflits n’obtiennent pas plus de paix ou de tranquillité en retour. Ce qu’ils font, c’est “s’accrocher” et “accumuler”. Ce qui se passe généralement, c’est que le navire se remplit jusqu’à ce que, pour une raison minime, il déborde. C’est quand celui qui était toujours silencieux explose et laisse son entourage terrifié. Parfois ces explosions, après un long confinement, peuvent avoir des conséquences très graves.

En gardant le silence face à l’injustice, vous parvenez d’abord à détruire votre estime de vous-même. Sans vous en rendre compte, vous nourrissez l’idée que vous êtes impuissant face à toutes les circonstances. Et à chaque fois on se sent moins capable de tout. Vous causez également des dommages à votre corps. Ceux qui se contiennent de manière excessive sont très susceptibles de développer des gastrites, des ulcères, des problèmes musculaires et des maladies auto-immunes.

 Le conflit en question ne doit jamais être évité. Il n’est pas non plus sain d’aller à l’autre extrême et de réagir de manière conflictuelle au moindre problème. Il existe des moyens de trier, de traiter et de résoudre les conflits. Tout comme vous apprenez à les éviter, vous pouvez également apprendre à les gérer. De fait, le conflit est positif car il permet de grandir, de mûrir et de gagner en indépendance. De plus, ceux qui regardent le conflit de front sont généralement des gens plus satisfaits et plus heureux.

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Sam

 

Ce qu'on me dit . . . aujourd'hui

Prenez, si . . . Et seulement si, cela fait résonance chez vous, les filles.

Il est certain que parfois, on ne choisit pas de tomber amoureux-se, on le découvre tout d'un coup, au détour d'un matin, alors qu'on ne s'y attendait pas, qu'on ne le souhaitait pas, qu'on vivait au jour le jour profitant du bien être quotidien sans se poser de question  . . .  Du coup, il est trop tard pour s'en préserver.

Il ne reste plus qu'à évaluer si ce que nous vivons est à la hauteur de ce que nous estimons mériter, puis, le cas échéant, pointer les défaillances, les insatisfactions, mettre en exergue ce qui n'est pas acceptable, et finalement recouvrir les sentiments d'un drap, jusqu'à étouffement.

Sam

Pensée du soir

 

Attention ! ! là, mais alors là, il y a du level

Loin d'être une féministe pur et dure, comme peuvent l'être certaines, il n'en demeure pas moins que je suis attachée à l'image que nous, les femmes, nous pouvons renvoyer aux hommes, ou à la société.  Je pars du principe que si chacune de nous faisait valoir ses compétences dans de nombreux domaines, si notre comportement en société ne donne pas matière a étayé les aprioris de ces messieurs machistes, nous avancerions plus vite sur  leur évolution et notre "révolution"

A savoir qu'une majorité d'hommes de la génération 45/50ans - 60/65 ans sont encore très imprégnés d'idées préconçues au sujet des femmes. 

Malheureusement, c'est sans compter sur ces femmes sans dignité aucune,  et très limitées, et qui donnent du grain à moudre à ces hommes archaïques sans considération pour la femme . . .  se faisant, elles entretiennent leurs idées reçues, leur donnant  la facilité ensuite, de nous mettre toutes dans le même panier.

Alors, certes, je me souviens de ma grand-mère ( méchante et vulgaire mais pourtant pas idiote) qui disait : "un homme on le retient par le ventre et par la queue". Cependant, à mes yeux un homme qui se fait mettre à "quatre pattes" pour un" gâteau" et "une chatte qui miaule" ne mérite pas plus de considération qu'une femme dont le seul argument pour attirer est la facilité à s'allonger. Après, il est certain que ce genre de femme fait beaucoup moins peur qu'une autre qui  mêle compétence et  intelligence, car ils ne se retrouvent pas en compétition. Forcément, leur égo ne risque  pas d'être vrillé par une femme légère et creuse.

Je ne suis pas jalouse, au contraire,  ce genre de femme retient autour d'elle des hommes à l'instinct basique, des pauvres bougres qui s'enflamment pour un cul qui roule . . . c'est dire le niveau des deux cotés, mais  tant mieux ! !  pendant qu'elles captivent les creux, ces derniers ne nous emmerdent pas.

Il est certain, et il ne peut pas en être autrement, qu'une femme légère et creuse est obligatoirement en relation ( peut importe la relation) avec un homme limité,  et vice et versa, auquel cas, que resterait-il après avoir satisfait le sexe et le besoin alimentaire . . . un abysse de crétinisme 😒.

Ce genre de femmes portent tord au féminisme ! 

Autant de niaiserie entreposer dans un même lieu, ça donne le frisson. Nestlé a du souci à se faire, car en matière de concentré, nous battons des records à Rascol.

Courage fuyons ! !  

Sam

 

Des nouvelles du front

 Lorsque j'explique qu'on n'a pas besoin de poser de questions, que le monde est petit et que tout fini par se savoir . . . Ça se vérifie encore !

Biboul est passé, et j'en ai appris de belles.

Certains, ici, pensent toujours être les seuls détenteurs des petits secrets d'alcoves . . . Bah c'est raté ! !  Quelle immaturité ! Mais, par contre qu'est ce qu'ils sont drôles, je n'ai pas fini de rire . . . Parce que Oui, franchement c'est vraiment trop marrant.

Ils me font rire comme me fait rire mon ex, sauf que lui, il boit, eux . . . Ils sont à jeun, c'est plus grave. 

J'adoooooore le " je te le dis, mais tu ne le répètes pas" alors que tout le monde sait déjà . . .  ou alors encore plus puéril, " je sais mais je ne dis rien" comme des gosses qui jouent aux agents secrets " Je suis détenteur du secret" 😂😂🤭🤭🤭

Honnêtement, je me pose des questions sur ma raisonnabilité à laisser perdurer certains non sens.

Ouiiiii mon José, comme tu l'as si bien dit tout à l'heure . . . Pas question de consacrer son temps  aux cas désespérés. 😂😅

Dorénavant, je préfère en rire et laisser filer. 

Sam

Un article très interessant qui me parle

Les personnes qui rompent des promesses : de fausses illusionnistes

Les personnes qui rompent fréquemment des promesses sont de fausses illusionnistes. Ce sont des profils qui minent peu à peu le lien de la confiance pour nous alimenter de déceptions, de fausses joies, de mots qui restent pour toujours dans le coin de la désillusion. Car en fin de compte, ce ne sont pas les promesses qui comptent dans une relation mais les passages à l'acte

Beaucoup de spécialistes dans le champ des relations affirment une chose qui peut faire réfléchir: moins nous faisons de promesses, mieux c’est. Certaines personnes sont on ne peut plus d’accord avec cette affirmation mais il faut quand même prendre un autre aspect en compte.

L’être humain a besoin de sécurité au moment de créer des liens avec ses pairs. Par conséquent, les promesses sont des déclarations d’intention qui permettent d’assurer une confiance face à une large gamme d’événements interpersonnels

Les enfants, par exemple, ont besoin d’entendre ce type d’affirmations de leurs progéniteurs pour ressentir une sensation de sécurité à court et long terme. “Papa te promet qu’il ira te chercher et t’emmènera au parc quand tu sortiras de l’école”.

Au niveau du couple, c’est presque la même chose qui se produit. Les promesses sont extrêmement précieuses parce qu’elles ajoutent ce composant qui permet aux attentes de se vêtir d’illusions et de certitudes. Nous nous sentons aimés et unis par un engagement ferme. 

Rompre une promesse est, par conséquent, la façon la plus rapide de détériorer une relation. Surtout si cette personne n’en est pas à sa première fois et n’est qu’une fausse illusionniste habituée à nourrir son entourage de déceptions constantes.

Les personnes qui rompent des promesses: pourquoi le font-elles ?

Nous négligeons souvent un aspect lorsque nous n’hésitons pas à critiquer ce que les autres font ou ne font pas. À savoir que l’être humain est formidablement complexe: nous pouvons parfois nous montrer ambivalents sans même nous en rendre compte. Certaines personnes rompent ouvertement des promesses, et avec de mauvaises intentions, cela n’en fait aucun doute. Cependant, d’autres profils adoptent ce même comportement à cause de réalités internes dont ils ne sont pas pleinement conscients.

Cela naît parfois d’une insécurité. Nous ne savons pas dire non quand notre enfant nous demande de lui promettre telle ou telle chose. D’autres fois (la majorité du temps), nous nous laissons porter par ces instants ponctuels d’intimité, de bien-être et d’illusions, au cours desquels des promesses émergent toutes seules. Ces mêmes promesses qui, plus tard, finiront par s’évaporer comment l’eau qui s’écoule par les canalisations d’une baignoire.

 

Ainsi, nous devrions garder à l’esprit que lorsque nous brisons des promesses, nous ne faisons pas que décevoir ceux que nous aimons: une partie de notre estime de soi disparaît aussi. Les dommages effectués ont des effets directs mais aussi collatéraux. Des conflits émotionnels se créent. Nous perdons notre honnêteté. Nous créons des environnements familiaux habités par cette ennemie vorace qui génère de véritables dégâts: la méfiance.

Voyons maintenant ce qui peut se cacher derrière les personnes qui rompent des promesses:La personnalité passive-agressive

 

La personnalité passive-agressive a une caractéristique récurrente. À certains moments, ces figures se montrent prévenantes, aimables et sont d’accord avec toutes nos opinions et demandes. Elles nous feront aussi envisager mille et uns rêves et propositions à réaliser en commun. Cependant, peu de temps après, elles n’hésiteront pas à briser chaque promesse faite il y a seulement quelques jours.

 

Elles nous contrediront, affirmeront qu’elles n’en sont jamais arrivées à un tel accord, une telle promesse, une telle proposition. La personnalité passive-agressive aime rompre des promesses, au point d’en devenir accro. 

L’auto-tromperie: Nous disions auparavant que les personnes qui rompent des promesses ne sont pas toutes similaires. Certaines n’en sont pas conscientes ou n’ont pas la mauvaise foi d’une personnalité passive-agressive.

• D’autres se laissent porter par l’auto-tromperie et pensent qu’elles pourront faire telle ou telle chose. Ce sont des profils qui ne considèrent pas la réalité de manière objective. Ils se laissent emporter par l’émotion du moment en faisant des promesses qu’ils ne peuvent tout simplement pas respecter.
• Ces personnes sont souvent immatures et ne sont pas conscientes de leurs limitations. Cependant, leurs promesses viennent souvent du fond du cœur. Elles projettent des choses avec les personnes qu’elles aiment le plus en s’enveloppant aussi de cette même illusion.

Il faut aussi signaler que dans ce cas, l’impact de ces accords rompus affecte aussi celle qui les a énoncés en premier lieu. Ces dynamiques poussent la personne à se consumer dans ses propres échecs et dans les déceptions générées par les autres. Or, cela conduit à une véritable usure psychologique

 Donner des espoirs pour obtenir quelque chose en échange

Il existe des promesses à double face. Des accords qui sont faits pour obtenir quelque chose en échange. Nous le voyons souvent dans nos relations de couple et dans nos familles. Quelqu’un fait une promesse à condition que l’autre fasse quelque chose en retour.

“Nous irons à la plage ce week-end si tu m’aides avec ce projet de travail” ou “Maman te promet qu’elle t’emmènera à l’anniversaire de Marco si tu as une bonne note à ton devoir de maths”.

Lorsque l’une des personnes remplit les conditions, elle se rend compte que celle qui les a émises ne va pas tenir sa promesse. Cela peut avoir lieu ponctuellement (nous rompons parfois des promesses parce que des choses que nous ne pouvons pas éviter se produisent entre-temps). Cependant, certains profils réalisent souvent ce type de manipulation, qui ne sont rien d’autre que du chantage.

La peur de dire “non”

Il existe des personnes qui rompent des promesses par manque d’assertivité. Des profils qui agissent comme de faux illusionnistes parce qu’ils ne savent pas dire “non” quand quelqu’un leur demande quelque chose, quand leur conjoint-e, leurs enfants ou cet ami leur font une proposition qui nécessite un engagement. Que ce soit parce qu’ils ne savent pas se fixer de limites ou parce qu’ils ressentent une forte insécurité, ils finissent par se responsabiliser de quelque chose qu’ils ne pourront pas réaliser. Et ils le savent pertinemment.

Petit à petit, la sensation d’incompétence, de gêne et de mal-être vis-à-vis d’eux-mêmes va devenir plus lourde. Surtout lorsqu’ils voudront s’excuser et feront face au rejet et à la déception des autres.

 

Pour conclure, les personnes qui rompent des promesses ne le font pas toujours avec mauvaise foi ou en ayant l’intention de faire du mal. Bien souvent, derrière ces comportements, nous retrouvons des profils qui ont besoin de travailler certains points de leur personnalité. Il s’agit de personnes qui livrent des batailles internes complexes et qui sont obligées de développer des dimensions comme l’assertivité, la confiance en soi, la responsabilité. Elles doivent aussi comprendre le véritable sens contenu dans les promesses.

Une promesse est un acte de responsabilité qui naît de la foi intérieure. Si celle-ci est absente, nous tiendrons difficilement nos engagements vis-à-vis des autres.

 nospensees.fr 

Sam

Des nouvelles du front

Hier, alors que je constatais la lecture du panneau au sujet de l'article 9 du code civil sur le respect de la vie privé, par une de mes collègues, j'ai  compris que cette lecture était un possible moyen d'entamer la conversation sur le sujet.

Forcément, depuis quelques temps, elle fait les frais des rumeurs de coucheries entre collègues. Bienvenue au club

Il faut dire qu'il y a une brochette de creux et de creuses, qui se complaisent à réécrire la vie de leurs collègues, sans même avoir conscience qu'ils-elles pourraient nuire à la victime, à moins que ce  soit  intentionnel, auquel cas, ce serait vicieux et  méchant. J'opterais davantage pour de la bêtise, vu que les personnes qui pratiquent le lancement  de rumeurs ont un QI qui rase les pâquerettes,  et une vie aussi vide que l'intérieur de leur crane. La bêtise n'empêche pas la méchanceté

De l'autre coté, il faut être soit  naïf,  soit aussi débile qu'eux pour prêter fois à leurs mensonges, ou encore être friand de ce genre de passe-temps  et curieux comme une fouine, mais le problème c'est que ça peut détruire des couples,  en cas de jalousie maladive, ou autre possessivité, si jamais la rumeur se répand.

J'ai écouté, j'ai aidé, j'ai conseillé, j'ai prévenu . . .  lorsque on ne veut rien entendre malgré tout, inutile de revenir ensuite "chouiner sur mon épaule" pour me dire que j'avais raison, il est trop tard. Je ne m'autorise pas à être blessante, mais j'avoue que maintenant, je n'en pense pas moins, et je pense souvent "bien fait pour ta g. . .  !!" 

C'est comme dire à un enfant " attention, ne touche pas, c'est chaud" . . .  "attention le four est chaud, tu vas te bruler" . . .  "attention  une brulure ça fait mal" . . .  et ensuite lorsqu'il se brule "tant pis pour toi, je t'avais prévenu"  sauf que le mal est fait. 

L'an passé, j'avais prévenu mon copain du mode de fonctionnement de certains, lui expliquant par la même occasion que c'était le motif pour lequel je ne participais plus à toutes ces festivités entre collègues " le bal des hypocrites" comme j'aime à appeler ces évènements . . .   Il a testé, et je me souviens encore du jour ou sur le pas de ma porte, il a confirmé mes dires sans pour autant reconnaitre que je ne m'étais pas trompée, et que je n'avais pas menti. Je comprends . . .  certains ont  besoin de se bruler pour s'apercevoir que c'est chaud. 

J'ai été un dommage collatéral, ce qui m'a profondément brisé, et m'a fait amorcé au bout du compte, une marche arrière. J'ai perdu confiance et suis devenue méfiante. Mais je ne pardonnerai pas à ceux qui ont été les déclencheurs.

 Personnellement, aujourd'hui, et depuis cet épisode, je n'en ai plus rien à faire des rumeurs qui pourraient circuler sur mes fesses . . .  Je me répète que si une personne croit, ce qu'on lui dit sur moi, ça signifie que cette personne n'a pas chercher à me connaitre, qu'elle ne sait rien de moi, et donc qu'elle ne vaut pas la peine que je lui porte le moindre intérêt. Je n'ai pas de temps a perdre,  avec ces personnes  là . . .  autant les médisants que les crédules, ni d'énergie à dépenser. 

Je les laisse pour ce qu'ils sont.

Coco est la  seule personne qui me connait et connait mon histoire, la seule ! ! ! (la seule, au niveau du boulot, bien sur)

 

Sam

Une soirée rires et détente

Comment passer une bonne soirée . . .  ? ? ?  Faire le bon choix des personnes avec qui on souhaite partager ce moment là, et pour samedi, c'était franchement une réussite. 

Je mettrais 3 étoiles pour le lieu  . . .  Joli cadre, et repas correct : plat principal  plutôt bon, mais  le dessert , un café gourmand a chier, une cuillère à café de mousse au citron ( vraiment UNE CUILLERE A CAFÉ) 10 cm d'un gâteau chocolat caramel, je ne sais trop quoi, qui te plombe les dents et dont une bouchée te fait grimper la glycémie au plafond, une boule de glace à la vanille, et une autre bouchée de douceur quelconque, pas d'orgasme culinaire sur le dessert.

Première bourde, une réservation faite par téléphone le 21 mars, qui ne semblait pas avoir été prise en compte, du coup  . . .  on nous a installé sur des mange-debouts avec tabourets de bar, dont Isa glissait sans cesse.

Nous avons eu droit au service gruyère, oubli du pain, des carafes d'eau, des verres, d'un couteau, les cuillères à dessert qui arrivent bien après les desserts, un thé commandé, une infusion servie . . . 

Donc ce resto . . .  on oublie, même si les bourdes du serveur nous ont offert l'opportunité de déconner ! ! ! sinon, on s'est bien marré, mais vraiment ! ! !  et ça fait du bien par ou ça passe. Tout le monde a apprécié, et j'ai même reçu avec un grand plaisir, la réflexion positive suivante : que cette soirée n'était pas comparable a une autre vécu précédemment avec d'autres collègues . . .  comme quoi, certains-es préfèrent passer la soirée a critiquer et parler du boulot, nous on avait envie de rire et de s'amuser, là, toute la différence ! ! ! Et c'est bien pour ça que nous sommes sélectives quand aux invitations

Les présents sont tous d'accord pour remettre ça  ! ! !  . . .  preuve que l'équipe est bonne. Nous regrettons juste de ne pas avoir réussi a trouver un "crunch" 😂😂 pour Isa . . .  pourtant, j'ai maté tous les gars qui passaient et comme elle glissait sans arrêt de son siège, elle aurait eu vite fait de  le plaquer au sol.( crunch . . .  plaqué . . .  vous suivez ? ?  on se demandait s'ils avaient les plaques de chocolat et mangeaient du riz soufflé, aussi)  on a aussi découvert LA porte secrète, elle nous a fait la soirée. Je n'épiloguerais pas davantage sur la demande du serveur de me mettre à quatre pattes, lorsque j'ai demandé, pour plaisanter, un menu enfant (crise de manque de frites), j'ai roulé des yeux et le reste à suivi (il ne faut jamais me tendre de telles perches . . . hi hi hi ! ! ! ).

Bref, même le retour en voiture c'est fait dans les rires, fou-rires, et délires. 

Merci à l'équipe :  Antoine, Sully et Séverine, Val, Isa, Christel et Coco. Latif il ne manquait que toi !!

Prochain rendez-vous en mai. 

Sam

Je n'ai pas cessé . . .

"Je n’ai pas cessé de t’aimer, j’ai seulement cessé d'insister...

Parfois, ce qui se termine, ce n’est pas l’amour, c’est la patience.

Les envies de continuer à raviver un feu qui n’apporte aucune chaleur, de fixer un regard qui n’embrasse pas, de faire des câlins qui ne nous touchent pas s’épuisent. 

On finit par se fatiguer d’insister, la motivation fond, les illusions se diluent et ne restent alors que les braises de cette dignité que nous ramassons en morceaux, consciente que ce n’est pas sa place."

Sam