mardi 23 juillet 2013

S'arreter un instant....pour mieux comprendre la rupture

Il arrive toujours un moment, ou il faut  prendre le temps de regarder en soi. Faire une introspection, pour savoir ou nous en sommes dans notre vie, dans nos désirs, et qui nous sommes devenus.
La vie peut s'arrêter brutalement, sans que l'on s'y attende, sans l'avoir prévu, ou attendu...
Certains évènements, comme la mort, poussent à la remise en question.
La vie est finalement tellement courte ! ! !

A-t-on pris le temps de réaliser nos désirs . . . de vivre une vie que l'on s'est choisie, et non pas une vie que l'on a décidé pour nous, ou que l'on nous a imposé insidieusement. . . .
Sommes-nous dans nos propres désirs . . . ou dans les désirs d'autrui ? ? ?

Nous faisons, parfois, de mauvais choix, et ne marchons pas vraiment, sur le chemin de notre vie.
Sans se rendre compte, nous parcourons, des années durant, une route parallèle sur laquelle nous trébuchons sans arrêt, sans en connaître la raison.
On sent bien, alors, qu'il y a quelque chose qui cloche . . .
Il faut, tôt ou tard, s'arrêter un instant . . . et jeter un œil en arrière. Observer le chemin parcouru, se poser des questions . . . suis-je sur le bon chemin ?  ne me suis-je pas perdue en route ?  A la croisée des chemins, ai-je pris la bonne direction ?
Parfois nos maux sont tels, que nous sommes contraints de constater la dure réalité, nous nous sommes plantés, nous nous mentons à nous-même, nous n'avons pas fait les bons choix . . . nous n'avons pas pris le bon chemin ! ! ! ! !

Il faut, alors, trouver le courage de s'avouer à soi-même, ses propres erreurs . . . ses mauvais choix. Il est toujours difficile d'admettre, que l'on s'est trompé ( alors que l'on y croyait ferme)  d'admettre ses échecs.
La sortie du tunnel est souvent effrayante, se demander pourquoi et comment on a pu, à ce point,  se tromper sur soi-même . . . réaliser les désirs d'autrui et oublier totalement les siens . . . en somme perdre de vue qui nous étions vraiment ! ! ! !

Comme le dit Henry FORD:" un échec est tout simplement la possibilité de recommencer plus intelligemment".
Se reprogrammer . . . dénouer l'écheveau d' années d'endormissement  sur lesquelles nous nous sommes reposés . . .la routine est tellement plus confortable, plus rassurante. Il faut avoir le courage de reprendre le cours de sa vie, là ou nous l'avons abandonné, à l'endroit même ou nous nous sommes égarés. Il faut tout redéfinir, se souvenir de ce que nous voulions, de ce que nous étions, de ce que nous savions être bon pour nous.

"La vie ne progresse qu'à travers le changement." Catherine Pownder.

Il faut oser redistribuer les cartes de sa vie, ne pas attendre le moment parfait . . . prendre le moment et le rendre parfait.
Oser prendre enfin l'option de la vie que l'on s'était choisi, au lieu d'une vie par procuration dans laquelle nous vivons sans exister
Ne laisser personne décider pour nous, de ce que nous devons être ou paraître, de ce que nous devons vivre et de quelle manière . . . car tôt ou tard, nous ne saurons  plus qui nous sommes . . .
Ne pas enterrer nos désirs au profit d'autrui . . . tôt ou tard, la frustration émergera douloureusement.


"Trop de gens traversent la vie en attendant que les choses arrivent au lieu de faire en sorte qu'elles se produisent." Sasha Azevedo
Alors, vivons notre vie, tant qu'il nous est permis de la vivre . . . , ne nous oublions pas nous-même au point de ne plus exister comme un être a part entière doué de ses désirs propres . . . , ne laissons pas définitivement aux oubliettes ce que nous sommes en réalité, cessons de nous façonner pour faire plaisir aux autres . . . et surtout cessons de culpabiliser . . . parce que nous décidons de redevenir nous-même, de penser à nous, et d'avoir envie d'être enfin dans nos désirs . . .

"Dès l'instant où vous aurez foi en vous-même, vous saurez comment vivre." Goethe.

Dés le départ, j'ai été dans tes désirs, et uniquement dans les tiens. D'abord parce que tu étais en souffrance, mon coté saint-bernard avait encore sévi . . . puis lorsque je me suis réveillée, il y a eu tes menaces . . . ton chantage, à chaque fois que je tentais de discuter et d'installer des compromis . . .

Tu as toujours fait en sorte de ne pas te sentir frustrer dans tes désirs, de ne surtout pas sacrifier une once de ton bien-être pour que moi je me sente mieux. Tu as rangé les miens au placard, comme s'ils n'avaient aucune valeur.

Je ne crois pas que tu comprendras un jour . . . 

Sam


lundi 15 juillet 2013

Attention...il donne des leçons de morale

Qui n'a pas dans son entourage, un donneur de leçons ?
Vous savez . . . ? ! ? ce genre de personne, dont le credo n'est autre que "fais ce que je dis, ne fais pas ce que je fais" . . .
cette personne qui donne des leçons mais qui n'applique pas les préceptes qu'il souhaite inculquer, sous des prétextes fallacieux : "l'autre, il est là pour apprendre, moi . . . ? ! ? je sais déjà"  . . . il sait peut-être . . . et dans ce cas, c'est pire . . . parce qu'il ne fait pas.

Le donneur de leçons parle comme un livre, il détient" du moins c'est ce qu'il pense" et clame les bons principes, la bonne théorie, il peut vous faire de GRANDES leçons de morale...mais n'en a aucune pratique, et surtout ne se les appliquent pas à lui-même.Il s'estime au dessus de ça ! ! ! et c'est bien là, la définition de "parler comme un livre"  parler avec prétention et suffisance.

Le donneur de leçons sait tout sur tout, il est capable de tout vous expliquer . . . y compris les sujets que vous maitrisez parfaitement et dont il ne connait pas grand chose . . . ou si peu. Il usera sans scrupule, des arguments glanés ailleurs, des arguments des autres.

Pour pallier à son manque de savoir, il a du "phrasé" et est capable de grandiloquence. Il monopolise la discussion, coupe souvent  la parole . . . en fait, il monologue ,et passe souvent pour un idiot sans s'en rendre vraiment compte.

La culture c'est comme la confiture, moins on en a, plus on l'étale.

Le donneur de leçons ne répondra  jamais franchement à une question, s'il se sent  en péril . . . il répondra par une autre question.Il usera d'ironie, d'autorité, multipliera les attaques, aussi faciles qu'erronées. Mais le donneur de leçons s'en moque il ne se rabaisse pas à se justifier.

Comme disait Coluche, les donneurs de leçons ont un avis sur tout, mais finalement leur avis n'intéresse personne.

Puisque lui sait ce qui est bien, le donneur de leçons est critique, vis à vis d'autrui . . . il pointe facilement du doigt les "erreurs" des autres, alors qu'il les commet lui-même, voire qu'il fait pire. Le donneur de leçons ne navigue pas dans l'humilité.
Il critique mais ne propose rien  lui-même, il critique mais ne fait pas  plus.

Tout ce que fait le donneur de leçons . . . c'est baver.

N'essayez même pas de lui faire comprendre son attitude désagréable, le donneur de leçon est sourd . . . .et il n'y a pas pire sourd que celui qui ne veut pas entendre.

Tu t'es trop souvent réfugiée derrière l'excuse que tu t'exprimais mal, que ce n'était pas ce que tu voulais dire . . . mais en vérité, tu n'as aucunement cherché à te remettre en question, a tenté de modifier cette habitude de faire un cours de 3 h pour dire quelque chose qui, réduit à son essentiel,  se résumerait en  2 phrases.

Cette manie t'a même amené, souvent, à te moquer des autres, à porter des jugements de valeurs, tant sur le plan physique que moral . . . Les miroirs dans lesquels tu te contemples sont obligatoirement en bois.

Chassez le naturel, il revient au galop . . . c'est tellement plus fort que toi ! ! ! ! !

Sam

jeudi 11 juillet 2013

Susceptibilité, lorsque tu le tiens

Lorsque j'intitule mon blog, avec une phrase en parallèle au titre du livre de Marc LEVY, j'essaie de faire comprendre qu'il y a des personnes avec qui dialoguer est difficile, voire impossible.

C'est vrai qu'il serait beaucoup plus simple de se mettre autour d'une table, de poser les cartes . . . et d'essayer de discuter de ce qui ne va pas, d'imaginer les possibilités de compromis . . . de colmater pour avancer . . . sauf que pour se faire, il faut accepter de se mettre en cause, et se remettre en question.

Mais nous ne sommes pas dans un roman de Marc Levy, ni dans  aucun autre d'ailleurs, même si parfois, j'hallucine tellement . . .  que je préfèrerais n'avoir qu'a fermer le livre, éteindre la lumière, me tourner et m'endormir, puis me réveiller dans une autre réalité. Et oui ! ! !  mais non, la réalité de la non communication, tu la prends dans la tête à tout moment.

Il y a d'abord la susceptibilité de Môssieur. Donc, avant le mariage ( encore) il ne montre pas ce trait de caractère qui lui  a surement déjà  valu, des déboires. ( auquel cas dulcinée va se barrer, en l'occurrence, moi à l'époque).

Depuis, expérience oblige, lorsqu'un problème surgit, puis resurgit, et re- resurgit  . . . qu'il devient donc ce que l'on appelle récurrent ( d'autres plus cash que moi, ma sœur pour n'en citer qu'une, diront carrément, non . . .  pas un problème ! ! !  un p . . . de défaut ) il me faut d'abord essayer de prendre du recul. Non, parce que faut bien avouer que le recul, c'est un mot sympa, mais lorsque l'on rentre de 8h de boulot, en étant debout depuis 4h45 du mat, et que l'on tombe sur les "défauts" que l'autre a eu la gentillesse de vous laisser à la cuisine ou ailleurs . . . le recul, on l'a parfois paumé en route.

Donc, je reprends . . . prendre du recul . . . et commencer à réfléchir: " je lui dis . . . ? ? ? ? ? je ne lui dis pas ? ? ? ? ?  parce qu'on sait très bien que le bonhomme . . . il va tomber les yeux, lorsqu'on va lui dire qu'il nous gonfle un peu, de ne pas être capable de trouver l'évier de la cuisine, puis une éponge, ceci afin de nettoyer les tâches de café sur le plan de travail, qu'il laisse lorsqu'il se sert ( parce qu'il n'a pas compris qu'une cafetière n'est pas une théière et qu'il n'est pas utile de la lever à un mètre de la tasse) Ceci étant un exemple parmi des . . . non, je ne le dirais pas . . . c'est vous qui allez tomber les yeux . . . mdr ! !

Sauf qu'au fil des années, la patience et la tolérance s'amenuisent , et  on finit par lui dire :"  on ne peut pas te parler parce que tu prends tout mal, tu te vexes, on ne peut rien te dire".


Tout a empiré et le silence s'est installé.

La susceptibilité a grandement empêché toute forme de communication. Du coup, les problèmes se sont enracinés. Tu as choisi l'option facilité : celle de bouder, plutôt que d'assumer, celle de fuir plutôt que d'affronter, celle de croire que tu as droit a un traitement de faveur , exempté de tout reproche, non pas parce que tu es devenu subitement parfait.

Tu sauras que ta susceptibilité m'a empêché de te dire, et t'as empêché d'entendre ! ! ! ! ! ! 

Sam





 

mercredi 10 juillet 2013

Plus j'y réflechis

Plus j'y réfléchis, et plus je me dis qu'il y a des femmes faites pour la vie de couple, faites pour choyer un mari . . . Moi non ! ! ! ! !

Ce n'est pas faute d'avoir essayer . . . mais la douloureuse conclusion est bien là . . . non, je ne peux pas, ou je ne peux plus, ou peut-être encore" j'ai fait semblant de pouvoir" et pour rester dans mon humour a deux balles euros: bah, j'm'a planté!!!!

J'ai toujours trouvé super sympa d'être maman, même si ce boulot, n'est pas de tout repos, "vachement" mal rémunéré, et pour ce qui est de la reconnaissance . . . .c'est super bof, mais devenir la mère de remplacement d'un homme dont j'ai cru tombé amoureuse, ça . . . ce n'est pas sympa du tout.

Et oui, malheureusement, oh  combien nombreux sont ces hommes qui pensent être capable d'assumer leur vie d'adulte, construire un foyer, et faire comme "papa" . . . devenir indépendant et autonome, en bref devenir GRAND. Mais c'est sans compter le marquage au fer laisser par le cocooning de l'enfance, et c'est tellement plus confortable ! ! ! !

En effet la citation de Lichtenberg dit: l'amour rend aveugle, le mariage rend la vue . . . .ça me l'a rendu , mais j'irais même au delà, concernant certains hommes dont le mien : le mariage rend amnésique, et j'ai pour preuve :

  • Avant le mariage, mon mari savait où retrouver ses affaires, depuis le mariage il ne sait plus et demande.
  • Avant le mariage, lorsque je manquais d'inspiration pour le repas, il me disait:" ne t'inquiète pas ma puce, je t'emmène au restaurant", depuis il me dit:"fais simple" ( comme si à la base, j' avais encore la motivation pour lui préparer un repas gastronomique)
    • Avant le mariage, il rangeait ses affaires de toilettes dans la trousse ( lorsqu'il venait passer une ou deux nuits) depuis non seulement il ne range rien, mais laisse toutes ses affaires sur le rebord du lavabo, blaireau, savon de rasage etc, et en prime . . . les petits poils de barbe que nous allons mettre des "plombes" à nettoyer ( parce que nous, nous savons que ça tient bien sur l'éponge). 
  • Avant le mariage, il te racontait ses exploits culinaires, et tu salivais d'avance à te dire que tu étais enfin tomber sur le clone de polo ! ! (Paul Bocuse) et que tu allais enfin pouvoir passer un peu le relais casserole, depuis en 1- l'intitulé des plats anciennement réalisés à changer, en 2- lorsque tu lui demandes de prendre le relais, il commande McDo
  • Avant le mariage il faisait l'amour toutes les nuits, depuis il sait le matin qu'il aura une migraine le soir.
  • Avant le mariage il disait être "superman" mais ça c'était avant
Certes,  Phil, tu es devenu amnésique mais moi, j'ai retrouvé la mémoire ET la vue, et je me souviens de toutes ces belles paroles, de tous ces moments de bonheur que tu promettais, de tous ces changements que tu disais vouloir m'apporter . . . oui, tu t'étais engagé à me faire vivre autre chose que les quelques années précédentes . . . je ne t'ai jamais  rien demandé

  • Avant le mariage, tu étais manipulateur, depuis tu es, en plus,  devenu profiteur ! ! ! 

Sam


mardi 9 juillet 2013

Comprendre mon état d'esprit à l'égard des hommes


FORMATION OFFERTE AUX HOMMES



THÈME DU STAGE : Devenir aussi intelligent qu’une femme 
OBJECTIF PÉDAGOGIQUE : Cours de formation permettant aux hommes d’éveiller cet organe, appelé CERVEAU, dont ils ignorent l’existence.



PROGRAMME : 4 MODULES OBLIGATOIRES

MODULE 1 : COURS OBLIGATOIRES

1. Apprendre à vivre sans sa mère (2000 heures)

2. Ma femme n’est pas ma mère (350 heures)

3. Je donne ma paie à ma femme (550 heures)

4. Comprendre que le foot n’est qu’un sport, et Ronaldinho un crétin (500 heures)

5. Ma femme n’est pas mon infirmière

6. Ma femme n’est pas ma bonne

MODULE 2 : LA VIE A 2

1. Ne pas devenir jaloux (50 heures)

2. J’arrête de dire des niaiseries quand ma femme reçoit ses amies (500 heures)

3. Vaincre le syndrome de la télécommande (550 heures)

4. Je ne pisse pas à coté. Je m’avance un peu, j’oublie ma prétention…. (Exercice pratique avec vidéo : 100 heures)

5. Je ne transforme pas la salle de bains en piscine municipale lors de ma douche…

6 : Comment se rendre jusqu’au panier à linge sans se perdre ? (500 heures)

7. Comment survivre à un rhume sans penser être à l’article de la mort ? (200 heures)

8. Savoir s’habiller tout seul, choisir ses vêtements tout seul, ne pas faire semblant de ne pas savoir où se trouve l’armoire.

MODULE 3 : DÉTENTE ET LOISIRS

1 : Le ménage…une activité familiale et valorisante.

2. Je mémorise les journées de sortie des poubelles.

3. J’apprends par cœur la définition du mot « ASPIRATEUR » : appareil ménager, servant à aspirer les poussières, les menus déchets (j’en profite pour gagner du temps en regardant le niveau 1 du module 4)

4. Savoir se servir d’une éponge.

5. Savoir ramasser les dégâts après une séance de bricolage…

6. Réviser son français : le féminin de « assis devant la télé » n’est pas « debout devant la cuisinière »

MODULE 4 : COURS DE CUISINE

Niveau 1 (débutant) : Les appareils ménagers

« ON » = mettre en marche

« OFF » = arrêter (…l’appareil)

Niveau 2 (avancé) : Mon premier « quick soup » sans brûler l’eau. (Exercices pratiques : Faire bouillir l’eau avant d’ajouter les spaghettis)

Niveau 3 (expert) : Faire du café sans oublier ni l’eau, ni le café, et ne pas utiliser le soluble qui est incompatible avec la cafetière. Savoir servir le café, sans en foutre la moitié à coté.

Niveau 4 (best of) : Apprendre les recettes de base (exercices pratiques : omelette, poulet rôti, steak grillé, légumes à l’eau riz…)

Et si un jour.....

Je commencerais mon premier post en expliquant le choix du titre de mon blog . . .  La communication : ce n'est pas donner à tout le monde.

 Pour communiquer, il faut au moins être deux, oui mais deux . . . à l'écoute.

 Si je te parle et que, bien que me regardant, tu décroches et pars dans tes rêveries, je monologue.

 Et si je te demande, à la fin de ce que je crois être un dialogue, ce que je viens de dire, tu bafouilles et ne sais pas vraiment. 

 Pour communiquer, il faut aussi au moins être deux a le vouloir, et une fois ce problème résolu, il faut arriver à s'entendre sur les sujets "parlables". En conséquence, et vous l'aurez compris . . . 

je vais ici, dire tout ce que je n'arrive pas à dire, parce qu'en face, on refuse d'entendre ! ! ! !  

Sam