dimanche 29 mai 2022

Sacré Scrat

 Ma vie amoureuse  ? ?

Disons que j'ai autant de chance que Scrat dans l'âge de glace . . .

Sam





vendredi 27 mai 2022

Le mensonge et moi





Je découvre, autour de moi, de plus en plus de mensonges et en conséquence de menteurs.

Je ne parle, évidemment pas de mes amis-es  . . .ceux-celles là n'ont pas besoin de jouer un personnage qu'iels ne sont pas. Lorsqu'on s'accepte tel que l'on est et qu'on  sait être apprécié identiquement, pas besoin de tricher et se donner un genre.

J'arrive encore à être surprise, puis déçue de me rendre compte qu'un-e tel-le balance des mytho . . .  Sans doute parce que je ne parviens pas à comprendre le but du jeu.

Manque de personnalité, vie perso ennuyeuse, besoin de se sentir quelqu'un, sentiment d'infériorité ? ? Peu importe la raison, cette attitude les ridiculise, et au lieu de les gratifier, iels sont pris pour des C . . . Et ne pas le comprendre, par anticipation, veut tout dire.

Certains-es  mentent pour nuire à l'objet de leur jalousie,  ou bien pour détourner  l'intérêt des autres sur eux. D'autres mentent pour se rendre intéressant, pour s'inventer une ou des qualités dont ils sont dépourvus,  pour se donner une valeur aux yeux des autres.

Il y a 3 sortes de mensonges, l'officieux, qui serait dit pour ne pas faire de peine, pour protéger, pour ne pas choquer, le  joyeux qui serait utilisé pour faire rire, pour distraire, le pernicieux qui serait proféré pour faire mal, pour tromper, pour escroquer . . . 

et plusieurs menteurs :

Le manipulateur qui est à l'aise dans le mensonge et l'utilise pour parvenir à ses fins.

L'acteur qui ment pour jouer un rôle, pour masquer ses émotions.

Le sociable  qui ment pour attirer l'attention, pour se rendre intéressant

L'adaptateur qui ment pour s'adapter aux autres, pour lutter contre son anxiété, ses craintes. 

Les menteurs inventent des vies, des situations, des relations. Ces inventions leur permettent d'esquiver le réel, de manipuler leur entourage, ça finit par les placer dans une spirale dont ils ont du mal à  sortir.

Ahhhhh l'attrait pour les apparences a la vie dure. Beaucoup ont choisi de tricher avec ce qu'iels sont, plutôt que d'être vrai. Problème de sentiment d'infériorité, manque de courage, d'affirmation de soi, besoin de faire l'unanimité et d'être aimer de tous . . . quoi qu'il en soit, le mensonge est l'ennemi de l'estime de soi. 

 Selon le site nos pensées, voici les raisons pour lesquelles on ment :

  • Pour répondre à une forte exigence envers nous-mêmes.
  • Pour nous conformer aux attentes des autres.
  • Pour déformer la réalité de manière à l’ajuster à ce qui nous convient ou à ce qui convient aux autres.
  • Pour éviter une punition ou une vengeance.
  • Pour tenter d’embrumer quelqu’un.
  • Pour obtenir de l’admiration.
  • Pour ne pas inquiéter nos proches.
  • Pour refuser une faveur demandée par un ami.
  • Pour attirer l’attention.    

"Lorsqu’un homme veut donner de lui une image de puissance et de contrôle, lorsqu’une femme veut attirer l’attention des autres, ils adoptent souvent des méthodes communicationnelles et relationnelles qui tendent vers le mensonge".  

J'ai horreur de ça . . .  j'ai du lutter des années pour enlever l'étiquette de mensonge que mes parents m'avaient collé.

 Mes parents ont toujours été persuadées que je mentais,  alors que j'en étais incapable. Je me faisais punir pour ne pas savoir mentir ( mon frère ainé, lui, avait toujours l'excuse valable . . .  et moi, je disais sottement la vérité) Il m'est arrivé bien des déboires a cause de  leur conviction débile, leur idée préconçue . . .

 Dans tous les cas, je me méfie totalement de ces personnes ! !  Comment peut on avoir confiance en quelqu'un qui ment aux autres et qui se ment à lui-même.  "l'enfant qui criait au loup" à force, on ne le croit plus. 

J'en suis donc là . . .  lorsque je découvre un mensonge, je range la personne dans la case "menteur, tricheur, malhonnête", une fois pour toute. 

Sam

mercredi 25 mai 2022

Pensée du jour

C'est comme ça que ça marche : 

Je respecterai ceux qui me respectent, j'oublierai ceux qui m'oublient.

Sam



samedi 21 mai 2022

Je suis . . .

Les masques finissent toujours par tomber, puis  montrent les gens comme ils sont vraiment.

C'est juste une question de temps, puis le spectacle commence.

Sam

 



vendredi 20 mai 2022

Lorsque certains pensent pour moi ! !

Je me suis entendu dire, il n'y a pas si longtemps, que je cherchais davantage, dans une relation simple, comme par exemple,  vivre à deux.  J'ai bien évidemment répondu par la négative . . . 

Si les personnes qui imaginent cela, connaissaient  ce que j'ai vécu dans le cadre de la vie commune, ils comprendraient sans nul doute mon impossibilité à envisager cette option. Je ne peux pas avoir confiance. 

Chacun-e peut garder des séquelles  d'une mauvaise et douloureuse expérience de vie à deux. Et c'est mon cas. Je n'ai, pour ma part, jamais proposé, par réelle envie, de partager ma vie avec un de mes partenaires. Je dirais plutôt qu'ils se sont un peu imposés sans jamais que ça ait fait l'objet d'une discussion ou d'un échange sur le sujet. Quant à Pascal, nous partagions pendant mes vacances chez lui,  j'ai  découvert au fur et à mesure du temps, des caractéristiques rédhibitoires qui m'ont  fait dire que sur du long terme ça me ferait fuir et faute de communication . . .  sure  qu'il n'y aurait pas d'issue possible, Une dictature amoureuse ! !

Pour autant, j'ai pu avoir tendance à proposer la clé de ma maison, afin d’offrir un dépannage couchage pour des personnes dans l'embarras. Évidemment , je ne peux pas empêcher certaines personnes de réinterpréter cette démarche, comme une demande de vie commune (mais loin de moi cette idée). 

Bref, mon opinion à ce sujet est claire, je ne deviendrais en aucun cas, la BONNICHE d'un éventuel copain. Je crois que j'ai assez donner dans ce domaine :

Partage des tâches domestiques : Néant. Bricolage à la maison et menues réparations : Néant. Prise d'initiative pour soulager son partenaire : néant. Partage de l'administratif : Néant. Aucune compassion , et encore moins de soutien en cas de problème de santé. Pas de vacances, du moins pas pour moi, pas de resto en amoureux, pas de choix du programme TV? des égoïstes et des goinfres à table, et surtout pas de participation en suivant, toujours des remarques sur mes préparations, ETC

Et pour finir, au lit. . . . PITOYABLES amants

Aucune envie de partager ma vie dans ces conditions. Lorsqu'on n'a pas la volonté de partager une vie commune  . . . on reste chacun chez soi et on embauche une auxiliaire de vie ( si on a plutôt besoin d'une bonniche que d'une compagne). PARTAGER il est bien là le problème . . .  Partager un minimum, c'est quand même la base, NON ? je ne dis pas tout partager, mais un minimum. 

Donc, pour moi c'est clair, impossible de me faire piéger par un gars qui va me prendre pour sa mère ou sa bonniche car lorsque j'aime, je ne fais pas les choses à moitié, j'aime à 100 % et je n'ai aucune envie d'y laisser des plumes.

Sam



mercredi 18 mai 2022

Il n'est jamais trop tard

Il y a quelques années, on m'écrivait : 

"Tu fais le meilleur choix. Il n'est pas trop tard. Personne ne pourra te rendre plus heureuse que toi même, car tu es la seule à connaître l'ensemble de tes désirs. Réalise les en ne comptant que sur toi. Bonne route".

cela faisait suite à ce post  . . .  ma relation avec Pascal touchait à sa fin, j'attendais le bon moment pour lui annoncer mon désir de rompre. 

Il  fait parti des personnes qui sont persuadé  que le bonheur dépend de l'autre dans un couple, et il était capable de se mettre très en colère si j'osais prétendre le contraire. Selon lui, mon bonheur c'était lui et lui seul était capable de me rendre heureuse . . .  alors que je pense que le bonheur . . .  on se le procure soi-même, et c'est du bonus si on en fait profiter sa ou son partenaire. 

Comme il est dit, moi seule connait mes désirs, mes envies,  et je ne partage cela avec personne, sans doute parce que je considère cela comme faisant parti de mon jardin secret, et que je ne vois pas en quoi cela pourrait intéresser qui que ce soit. 

Mon bonheur est quotidien, déjà parce que j'ai lâcher prise  sur des tas de choses, refusant toutes prises de tête. Je prends les choses comme elles viennent vis à vis des autres, je ne me pose plus de questions, et ne cherche plus à comprendre. Je prends ce qu'il y a à prendre et  je ne demande rien. Je ne me projette pas sur du long terme . . .  et  je sais être capable de prendre de la distance si mon bien-être en dépend, vis à vis des évènements ou des personnes , quand bien  même tourner les talons lorsqu'il le faut, ou faudra.

Alors, comme il n'est jamais trop tard, vogue, vogue mon navire vers mon propre bien-être.

Sam



lundi 16 mai 2022

Savoir prendre de la hauteur . . .

Prendre du recul face aux événements quels qu'ils soient, est essentiel mais peut s'avérer compliquer . . . pourtant, cela permet de réfléchir avec davantage de discernement, de faire la part des choses, de se rendre compte de la mauvaise traverse sur laquelle on chemine, ou du bon sentier sur lequel on se promène, de sortir du flou de nos pensées lorsque des bouleversements surviennent.

Il m'est arrivé de me laisser  porter par une vague de bien-être, sans me poser de questions . . .  savourant au jour le jour cet état sans penser à ce que pourrait être demain, sans  me projeter, juste parce que la vie est courte, qu'elle n'a pas été vraiment tendre avec moi, et qu'il me semblait urgent d'en profiter sans prise de tête. Carpe diem, quam minimum credula postero. "cueille le jour, et sois la moins crédule pour le suivant" Traduction littérale d'une locution latine d'un poème d'Horace. Autrement traduit en français par "cueille le jour présent sans te soucier du lendemain".

Oui . . .  Mais, car il y a toujours un mais, c'est sans compter sur des incidents qui surgissent et ébranlent ce bien-être, puis sur  des phrases assassines qui bien que relevant de l'évidence et n'attendant pas de réponses ( et pour causes, ce ne sont que des affirmations et  non pas des questions) se révèlent très désobligeantes.

Avant cela,  j 'avais décidé de ne pas laisser les blessures du passé prendre le pas sur mon présent, de ranger dans un tiroir mes aprioris, de ne pas faire d'amalgame ( exemple : tous les hommes ne sont  pas des boulets alcooliques, égoïstes et opportunistes), et  d'avancer sereinement. J'avais décidé de prendre des risques, le risque d'aimer et de le faire savoir, le risque de me mettre en position de vulnérabilité en l'avouant.

J 'ai essayé . . .  (Et on ne pourra pas me le reprocher) de ne pas faire payer mes casseroles sentimentales ( comme l' avait craint mon Lou) aux suivants en leur prêtant systématiquement les mêmes défaillances,  les mêmes défauts, les mêmes inaptitudes sentimentales. 

 Mais le cumul  et les diverses secousses ont ravivé les anciennes cicatrices, et réveiller les craintes refoulées. J'ai appris de cette leçon ! !

Une remise en question de mon comportement  puis de mes choix s'est  alors imposée . . . privilégier la raison et non le sentiment, prioriser le cerveau et non le cœur . . .

Un rétrogradage obligatoire et sensé, vu la situation ! ! !  Pourquoi continuer à donner (pas question de m'enliser dans les schémas précédents.) s'il n'y a pas, en face, l'envie de recevoir et de donner, avec en plus . . .  sa conviction de "se ramasser" . . .  Alors j'ai cessé les "je t'aime" et  les petits surnoms affectueux,  "les gnangnanseries"  comme il disait, j'ai réduit au maximum tous gestes qui prouvent des sentiments amoureux, j'ai bridé  mes envies de donner, de partager . . .  et enfin, j'ai cessé les  demandes de toutes sortes, ça permet d'éviter les réponses piquantes et en grande majorité négatives. 

Le temps se chargera de mettre chaque chose à la place qui lui est dévolue

"le temps ferme toutes les blessures, même s'il ne nous épargne pas quelques cicatrices" Marc Lévy

Sam





dimanche 15 mai 2022

Pensée du soir


 On ne peut pas foutre en l'air quelqu'un émotionnellement  et penser que l'on peut continuer comme si de rien était.

Le karma vous retrouvera.

Sam

samedi 14 mai 2022

Pleine Lune du 16 mai . . . ça va pulser


Les énergies de cette pleine lune sont puissantes et impactantes, j'en avais l'intuition et je le ressens depuis hier.

La certitude que des choix de vie et  des décisions vont être prises, que certaines dépendances vont être lâchées.  Je sens que le karma va entrer en action, et "sanctionner"  les personnes qui cultivent le négatif. Certaines vérités seront mises à jour. Le boomerang revient à son expéditeur. 

Certains prennent conscience de ce qu'ils vont perdre ou ont déjà perdu, ce à coté de quoi ils vont passer, ou sont passés,  un besoin d'introspection, et de questionnement sur le sens de la vie. Des processus de remise en forme, physique ou mentale seront entamés.

Cette pleine Lune en scorpion, lune de sang  va en chambouler plus d'un.Elle met fin a un cycle entamé à la nouvelle lune de novembre 2021.

Vous pouvez être fatiguée, avoir des maux de tête, de l hypersensibilité, des maux de gorge, une émotivité accrue, de l'irritabilité, disputes éclatées, colère éprouvée, de l' incompréhension, de l'agacement, des vertiges, ou des maux de ventre, bref, ça va secouer ! ! ! 

Sam.


vendredi 13 mai 2022

Un échange libérateur

 L : Merci M-- Trop top, tu as de l'amour, tu es de l'amour, merci.

M : Aucun souci, je suis juste serviable

L :  Non, tu es une très belle personne, je ne l'ai pas entendu au moment ou il fallait. Dans mon cœur, tu seras très belle tout le temps.

M :  Ce n'est pas faute de t'avoir offert des opportunités que ça marche entre nous, à l'époque.

L : Je sais, je suis fautif. Je n'aurais de cesse de m'excuser, mais ça ne réparera rien. Mal je t'ai fait, mal je ne pourrais réparer.

M : C'est sur, comme je te l'ai souvent dit, il est trop tard, je suis passée à autre chose, il faut tourner la page.

L : Je ne peux pas tourner la page, j'ai juste mal, tu n'es pas un objet.

M : Je le sais. Tu as mal de quoi?

L : Mal de t'avoir perdu. Certains oublient, moi pas.

M : C'est à dire ?

L : Tu as un cœur que je n'ai pas su regarder, à cause de ma violence et de mon éducation.

M : Si je résume, tu te rends compte de tout ce que tu as perdu en ne faisant aucun effort. Tu le constates aujourd'hui ?

L : Oui

M : Pourtant, j'ai tenu des années, en me disant que tu finirais par comprendre que tu allais tout perdre.

L : Et j'ai tout perdu

M : Je pensais que tu finirais par faire des efforts, mais tu n'en as pas eu envie.

L : Ben tu vois mère nature me le fait payer

M : Le karma, P--

L : Tout le mal que je fais, je le paye, et c'est bien fait pour moi, mais je souhaite que tu sois heureuse.

M : Le souci, c'est que tu payes par la maladie et la solitude. Je t'ai beaucoup beaucoup donné au début, mais tu as fini par tout gâcher.

M : J'ai toléré beaucoup de choses, et tout fait pour te rendre la vie facile . . .  tu n'as pas donné grand chose, P-- ça a fini par tout brisé, tout usé.

L : Je comprends ce que tu as ressenti, et j'entends le mal que tu as subi, je suis mal devant toi, et je m'excuse. De toute façon, dans pas longtemps je suis mort, tu n'auras plus à t'en faire.

M : J'aimerais que tu cesses de te torturer avec tout ça, et ne dis pas ça, c'est con. Sache que je ne me tracasse plus de cet échec. J'essaye de reconstruire ma vie, même s'il m'est difficile de faire confiance, et très difficile d'oser avoir envie, ou d'oser demander . . .  c'est compliqué pour moi, j'ai cette crainte tenace à cause de toi.

L : Parce que je vais mourir ?  mais pépète c'est dans l'ordre des choses, que tu le veuilles ou non.

M : Non, ce n'est pas à cause de ça. Souviens toi, tu m'as interdit d'avoir des désirs, ou de te demander quoi que ce soit pendant notre mariage, si j'osais, tu m'envoyais chier, tu me menaçais, me faisais du chantage, je garderais longtemps ces craintes.

L : Me demander quoi?

M : Ben tout . . .  de me soutenir, de me seconder, de t'investir dans la vie de couple et de famille

L : Je te demande pardon pour ce que j'ai  pu créer comme crainte. Connard je suis, connard je resterais à tes yeux

M : C'est pardonné P--, mais je n'oublie pas, mes blessures sont profondes.

L : Bb tu resteras une très belle personne à mes yeux, et je resterai un connard.

M : ça ne sert à rien de te blâmer aujourd'hui

L : Je ne me blâme pas, je reconnais, c'est tout, quelqu'un qui reconnait ce qu'il est, est peut-être juste..

M : Reconnaître, oui, mais avoir  aussi la volonté de changer . . . 

L : C'est ça une valeur, c'est toi qui m'a appris tout ça.

M : Ah bon ? ! ? je n'ai pas réussi à t'enseigner ce qu'est une vie à deux ou une vie de famille

L : Et c'est à la fin de ma vie que j'apprends tout ça

M : C'est balot

L : Au moins tu m'as appris une belle chose, L'AMOUR

M : Ah bon ? je ne savais pas

L : Oui  tu m'as appris  une belle chose comment aimer

M : Tant mieux alors, mais pourquoi ne pas avoir refait ta vie?

L : parce que je suis nul, tu sais pépète, je suis violent

M : quel rapport ?  Je n'ai jamais été ta priorité. Tu as toujours été ta propre priorité, d'où le fait  que j'ai fini par comprendre que tu ne m'avais jamais aimé

L : Il n'y a que toi qui le croit, je ne peux pas t'empêcher de le croire

M : C'est ça aimer, penser à l'autre et respecter ses désirs autant que les siens propres. Tant que j'étais amoureuse, je t'ai fait passer avant moi, tes désirs avaient plus d'importance que les miens, mais j'ai compris les leçons, je réagis assez vite, maintenant.

L : Je ne pensais pas comme ça à l'époque,.

M : Je sais bien, tu as pensé et vécu comme un célibataire qui profite du confort de la vie de couple.

L :  aujourd'hui les choses sont différentes.

M : Ben écoute, tant mieux pour l'élu de ton cœur.

L : Mon cœur n'a pas d'élu, je suis seul c'est tout, et je paye ce que j'ai fait.

M : Dommage  pour toi ! !

Sam



mercredi 11 mai 2022

Lorsqu'on lâche-prise . . .

C’était compliqué, pour moi, de dialoguer avec Philippe, auparavant.

J'ai toujours mis des gants pour lui parler, toujours minimiser le mal qu'il m'a fait.  Il faut croire que malgré mon caractère bien trempé, j'étais dans le déni  depuis très longtemps  d'une peur de lui bien profonde.

Je n'oublierais jamais  ce qu'il m'a donné à vivre pendant toute ces années, même si j'ai fini par  pardonner.

On reste, souvent pour les mauvaises raisons, et la mienne c'était que si je partais, Max finirait par ne plus avoir de père.  J'ai culpabilisé longtemps d'avoir divorcer une première fois, et de m'être choisi au lieu de me sacrifier pour mes enfants.

 Je me suis toujours occupée de Max, seule.  comme des deux grands . . . toilette, repas, école, devoirs, médecin, hôpital, les couchers, les histoires du soir, les sorties, se lever la nuit, les  confidences et la communication . . . etc. Phil était intérimaire  . . .  également avec son enfant et tant que je restais, Max avait un "semblant de père" au moins un visuel quotidien. Il s'occupait de lui,  ( pas toujours très bien) lorsque je travaillais, mais mon seul retour suffisait à tout stopper. A partir de ce moment, Max n' existait que  selon les désidératas de son père et non selon les besoins que nécessite tout  enfant, quant à moi, je n'existais que pour tenir la maison propre, effectuer toutes les tâches qu'imposent une vie de famille ou une vie de couple, linge, repas, ménage,courses, démarches administratives, etc. J'ai même du prendre en charge la plupart du temps le  bricolage: Plomberie, peinture, tapisserie, etc. J'ai travaillé pendant qu'il flemmardait trop régulièrement à la maison . . . 

Il y a eu certainement  une part d'empathie . . .  ou peut être  de pitié  plus que d'empathie, de la crainte aussi. Ce mélange de motifs m'a fait retardé l'inéluctable. On ne peut pas  penser à un parcours de vie qui est plus proche de la fin que du début, sans un regard dans les rétroviseurs, et sans se dire "mais qu'ai je fait de ma vie ? pourquoi je m'interdis d'être épanouie, voire heureuse ? " 

J'avoue avoir fait appel à mon intuition pour choisir le bon moment pour lui annoncer ma décision définitive de nous séparer,  lui annoncer le désert de mes sentiments pour lui depuis trop longtemps, ma certitude qu'il  fallait que je commence à penser un peu à moi, et à mon projet de vie, à mes désirs.

Il m'a fallu lâcher prise, et prendre le risque  d'un excès de violence. Je m'étais dit" tant pis s'il me casse la tête, je préfère l'hosto, ou la mort que de rester encore avec lui . . . tout vaudra mieux que ça"

J'ai réussi depuis, à lui dire, tout le mal qu'il m'avait fait : l'alcool, la violence, ses mensonges, son égoïsme, son manque  d'investissement, son choix d'inexistence de vie intime,  son laisser-aller . . .  peur et pitié envolées et mon indifférence assumée.

Il me dit de ne pas me tracasser, qu'il sera bientôt mort, je lui dis" que je ne me tracasse plus de notre échec, que j'essaie de me reconstruire, même s'il m'est difficile de faire confiance,  difficile d'oser me projeter, qu'il m'a interdit d'avoir des désirs, et qu'il a nourri par ces menaces, cette crainte d'oser avoir envie et d'avoir peur de demander quoi que ce soit, qu'il m'envoyait ch*, qu'il me menaçait  . . . 

Il me dit qu'il me demande pardon, il se traite de c* et gémit qu'il le restera à mes yeux, (syndrome calimero) je lui explique que c'est pardonné, mais que je n'oublierai pas. Il me dit qu'il reconnait ces tords et que quelqu'un qui reconnait est juste, je lui dis que lorsqu'on reconnait , il faut faire la suite et que ça lui permettrait d'offrir cela à une éventuelle copine . . . Il me dit que je lui ai appris comment on aime, je lui réponds que je ne le crois pas car il a été sa seule priorité, et qu'en couple il a vécu et pensé comme un célibataire, profitant juste des avantages domestiques.

Il continue à dire qu'il m'aime, je continue à lui dire qu'il se trompe, qu'il n'a aimé que le confort  matériel et domestique  que je lui ai amené. Il continue à dire qu'il comprend maintenant le c* qu'il a était, je lui dis que c'est sa situation : "être malade et seul" qu'il lui fait croire ça.

Psychologiquement, je saisis son attitude: il est seul, malade, sans voiture (planter en état d'ébriété) plus de permis ( retrait), personne pour lui faire le ménage (et du coup un vrai capharnaüm) personne pour lui préparer de bons petits plats ( lorsque l'on n' a cuisiné que dans ses rêves, ou dans ses mensonges). 

Mon store est baissé depuis longtemps, plus rien ne m'atteint ni ne me touche le concernant. 

Avoir lâcher-prise et avoir pu lui dire tout ce que JE ME DEVAIS DE LUI DIRE m'a profondément libéré, j'ai vidé  ce sac à dos qui ne m'appartenait pas, et qui était trop lourd pour moi. 

Sam




lundi 9 mai 2022

Une semaine qui s'annonce belle

 Le positif  appelle le positif  . . . les bonnes nouvelles s'enchainent qu'elles soient financières,matérielles, amicales,  etc . . .  c'est l'ensemble de ces différents évènements que j'appelle les petits bonheurs quotidiens. Ils font un bien fou. Le bien être est là.

Se sentir apaiser et heureuse , et du coup hyper motivée pour plein de réalisation . . . 

La roue finit toujours par tourner tôt ou tard, que ce soit en positif ou en négatif pour ceux-elles qui répandent le négatif . . .  le karma.

Un peu de magie! ! 😉

prenez soin de vous ! !

Sam

 



mardi 3 mai 2022

Décision supplémentaire

 J'ai décidé de ne plus re-publier  mes posts sur F.B. Drôle de décision, surement, mais c'est ainsi que je le ressens.

Je continuerais d'écrire comme je le fais,  mais mes articles resteront sur le blog, certains possiblement  sur tweeter. Ceux qui voudront me lire et échanger pourront le faire directement ici.

C'est un cycle qui se termine pour faire place a du nouveau, du renouveau pour moi afin de retrouver mon bien-être et me préserver.

Sam


lundi 2 mai 2022

Après la pluie . . . le beau temps

 " Après la pluie vient le beau temps" dit-on, et après une phase  bien compliquée pour moi les choses s'arrangent enfin, chaque jour une bonne nouvelle ! ! 

Et c'est heureux, car la semaine dernière j'ai craqué. J'en avais vraiment besoin . . .

On dit que c'est dans la "panade" que l'on reconnait l'amitié véritable,  et là, ça c'est bien vérifié. J'ai été soutenue, et entourée. 

Aujourd'hui 3 excellentes nouvelles . . .et la dernière, tip top . . .

Sam