mardi 11 octobre 2022

Navrant ? Nonnnn Consternant.

 Le 29 sept, j'écrivais un post inspiré d'un événement survenu au boulot, et qui révèle bien des comportements récurrents chez certains.

Et aujourd'hui, c'est confirmé . . . Ce n'est pas accidentel, mais bel et bien un trait de caractère, et du coup, ça me pousse à engager des marches arrières.

 . . . j'avais déjà constaté, à plusieurs reprises, la curiosité effrénée de B,  un collègue de travail, ainsi que sa dextérité à colporter les nouvelles ( déformées, c'est mieux, ça devient un ragot)

Cela faisait quelques temps déjà, que je ne disais plus rien en sa présence, répondais à ses questions brièvement, et gardais mes distances . . . Les gouailleurs me chatouillent les nerfs.  A contrario, ce genre de gars est bien utile lorsque tu veux qu'un truc fasse le tour . . .  En tout cas, c'est ainsi que l'on découvre la véritable nature des gens.

Le 29, donc,  E  se retrouve coincer dans l'ascenseur avec L.  Évidemment les bouches de vieilles ont tôt fait de se délier, et les bouches à merde de sauter sur l'occasion de le crier sur tous les toits, bille en tête : le médailler d'or de la curiosité malsaine et du commérage, qui s'empresse de prendre le téléphone . . .  le ridicule ne tue pas, heureusement pour lui, car plus ça va plus je le trouve très con . . . pas méchant, Nonnnnn juste très con, pipelette, curieux, un bon petit cul terreux comme l'était son père d'ailleurs.

C est restée silencieuse sur l'évènement, à raison. C'est E, lui-même qui a anticipé les ragots, en me confiant le "scoop" du jour, comme il a dit. Franchement, j'ai compatis sachant le grand nombre de langues de vipères qui trainent dans ce bahut. 

Avec C, on s'amuse parfois de voir par qui les infos, ou intox transitent . . . on sait, et on se tait . . .  on s'avoue avoir su, une fois que les dealers de commérages, les commentateurs de la vie d'autrui ont fait la seule chose qu'ils savent faire avec brio  . . .  alors, on se marre . . .  car c'est sans compter sur leur déresponsabilisation, leur mauvaise foi, leur facilité à accuser les autres de leur propre travers.

 On avait décidé de tester ( et du coup  piéger), ceux qui se permettaient de dire d'elle qu'elle parlait trop . . .  Ça a marché( il suffit de balancé de l'intox à une seule personne et d'attendre) 

Bref, tout ceci est bien consternant . . . L'histoire de l'ascenseur, la reinterpretation des propos de l'intendant pour se faire mousser et jouer "grand prince", le cafardage du moindre propos . . .

Et après ce sont les premiers à dire que C répète tout 😂😂  ahhhh trop fort, il n'y a pas pire blablateur, a croire que leurs miroirs sont en bois. Accuser les autres de ses propres travers est le signe même de l'immaturité . . .

J'avais même entendu à ce propos, " qu'il fallait balayer sous son paillasson"   et je suis certaine que la personne en question s'etait faite enfumée( enfin, c'est l'excuse que j'ai donné , en espérant que ce ne soit pas de la mauvaise foi et du foutage de gueule, ou encore l'inexpérience du terrain, ou pire encore un manque de caractère et de personnalité .)

Voilà voilà comme dirait mon Lou . . .  lui seul comprend mes crises de misandrie.

Allez . . . ! ! ! le côté positif, c'est la leçon que l'on tire de ça . . .  On sait à qui l'on peut parler et avec qui on doit  ne parler que de banalités. C'est fatiguant, et usant mais pas le choix.

Sam

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