samedi 30 avril 2016

Pensée

Il est vain de perdre son temps à se battre pour  des choses contre lesquelles on ne peut strictement rien

mardi 26 avril 2016

La critique est un impot que l'envie perçoit sur le mérite

 Définition de la "critique" sur le dico:
nom: Jugement, appréciation.
adjectif: - qui donne un jugement, une appréciation
               - qui est enclin à la critique.

Il est toujours aisé de constater les défauts des autres, cela permet de faire impasse sur les siens propres.
Il est prétentieux de se croire au dessus des autres, en s'estimant juge des défauts d'autrui. cela suppose que l'on en est exempt.

Nous jugeons toujours, en fonction de nos propres valeurs, ces jugements ne sont donc pas objectifs, et rien ne dit que nos valeurs soient les meilleures.
Nos valeurs se sont inscrites avec notre vécu, notre passé, notre éducation, et c'est se sentir supérieur aux autres que de penser que seules, nos valeurs sont dignes.
Porter un jugement de valeur sur autrui c'est être persuader que nous sommes, nous, à l'inverse, inattaquables, irréprochables . . . c'est avoir la prétention de sa supériorité.
Il faut savoir faire preuve d'humilité, et se dire que nous ne sommes que des êtres humains avec des qualités et des défauts, faillibles parfois, parce qu'en somme . . . humain.
Que celui qui n'a jamais pécher . . . me jette la première pierre ( foi d'athée)
un homme que je respectais encore il y a quelques temps, m'a  toujours dit:" avant de regarder sous le paillasson de ton voisin, passe un coup de balai sous le tien"; cette phrase m'a bercé des années durant . . . et  je me rends bien compte à quel point elle est juste.
Un proverbe aussi, me vient en tête: ne regarde pas la paille dans l’œil de ton voisin, regarde la poutre qu'il y a dans le tien . . . ce qui vaut bien le paillasson ! ! !

Nous ne sommes pas parfaits, mais sans cesse perfectibles, et critiquer autrui ne nous rend pas subitement parfait.
Celui qui se croit supérieur à nécessairement meilleure opinion de lui même que des autres.

Il y a la critique dictée par la colère, mais la plus inquiétante et la moins excusable, c'est celle qui met en parallèle et en contrepartie le "moi je" . . . cette dernière révèle le sentiment de supériorité du critiqueur, voire son égocentrisme démesuré lui permettant de " se croire mieux que les autres", il faut déjà être imbu de sa personne pour en être convaincu ! ! !

J'écarte de mon propos, la critique facile, de type commérage. Certains se complaisent à observer la vie des autres,( curiosité un tantinet malsaine ? ? ) et mettent énormément de cœur à l'ouvrage à la commenter. Je croise, malheureusement, nombre de personnes dont c'est le moteur. Faut-il que leur vie soit si insipide qu'ils se nourrissent de celles des autres ? ? ? Nous avons tous "des vamps" dans notre entourage  😉

Qui critique les autres travaille à son propre amendement. La critique souvent n'est pas une science, c'est un métier ou il faut plus de santé que d'esprit, plus de travail que de capacité, plus d'habitude que de génie.( J de la Bruyère)

En résumé, regardons qui nous sommes avant de juger les autres ! ! ! Essayons d'être crédibles et restons humbles.

 

Sam

Brèves !!!

Parfois, il vaut mieux éviter d'expliquer votre opinion à celui qui ne la comprend pas, car de toute façon, il ne sera convaincu que par ce qu'il veut.

mardi 19 avril 2016

Mise au point...

Loin de moi, l'idée ou le désir d'offenser les hommes quels qu'ils soient dans ce qu'ils sont.
Heureusement il y en a qui sont vraiment à la hauteur( selon mes critères d'appréciation, forcément) j'en ai croisé, j'en croise encore . . .

Je ne généralise pas, j'ai bien conscience que tous les hommes ne sont pas identiques, et ne fonctionnent pas pareil.

Exactement comme il existe des femmes qui ne sont ni de bonnes compagnes, ni de bonnes mères...

Il me plait d'écrire . . . j'ai noirci nombre de pages blanches depuis ma plus tendre enfance . . . des cartons entiers que je conserve comme une mémoire archivée.

Il manque mes premières années de diariste . . . ma grand-mère très inspirée, avait jugé bon de jeter mes 10 premiers cahiers à la poubelle . . . pour le motif du " pas correct, pas intéressant, pas normal "


Correctif écrit le 25 juillet 2016

NB : J'ai retiré la phrase concernant "l'homme avec qui j'étais" lorsque j'ai écrit ce post
Il m'avait demandé d'apporter une précision afin de ne pas être dans la généralité. Selon sa lecture, j'accusais tous les hommes. Ne voulant pas entrer dans un conflit inutile, et une prise de tête supplémentaire, je me suis donc exécutée malgré l'évidence que la majorité des lecteurs de mes posts sont dans la capacité de comprendre ce que j'écris. Et en l’occurrence dans le post en question de mon ex-mari. J'ai aussitôt compris que LUI  n'avait pas compris, Pascal se sentait viser, ou plutôt que sa crainte principale ( peu ou prou consciente) l'amenait à s’inquiéter de ce que l'on pourrait penser  de lui, encore un qui se souci du regard des autres, ( sauf que personne ne pouvait savoir avec qui j'étais et même, si  j'étais avec quelqu'un). En conséquence, quoi qu'il arrive personne n'aurait pu avoir un mauvais regard sur lui. C'est ce que j'ai souvent remarquer chez lui . . . il n'aime pas les contraintes, il n'en veux pas, mais il se les fabrique même là ou il n'y a pas lieu d'en mettre . . . puis se prend la tête pareillement sur des choses que lui seul imagine.
Je n'épiloguerais pas sur ce qu'il est. Je savais et je faisais avec, parce que tout le reste avait plus de valeur à mes yeux, et comptait davantage à mon cœur.
Pas au sien.

Sam

lundi 18 avril 2016

Existentiel éphémère...


.......
Moi : Que je fasse ou pas...on se fait des films...
Lui : C'est ça d'aimer....
Moi : Tu rêves !!!!
Lui : Tu me trouves rêveur?
Moi :  Oui....en plus de romantique et idéaliste.
Lui : Est-ce un défaut?
Moi : ça peut le devenir...ça t'éloigne de la réalité, de la vraie vie...!!!
Lui : Tu as sûrement raison...

Citations

Tant que vous vous soucierez de l'opinion des gens à votre sujet, vous leur appartiendrez.
Vous ne vous appartiendrez que lorsque vous n'aurez plus besoin de l'approbation d'une autre personne que vous même.
                                           
                                                                 Neale Donald Walsh

samedi 16 avril 2016

Ne pas vivre avec des regrets.....Et pourtant

J'ai pu croire parfois que la colère et la haine ne suffisaient  même plus à éponger la souffrance. Qu'on pouvait faire comme si . . . comme si rien ne s'était vraiment passé, mais il y a  toujours eu  un petit quelque chose pour  rappeler à l'ordre.

J'échangeais, au sujet des regrets, que nous pouvons quelques fois éprouvés dans la vie . . . et je me plaisais à dire qu'il ne faut pas en avoir . . . je n'en ai jamais eu  concernant la naissance de mes enfants . . .

Un écrin de bonheur . . . l'amour inconditionnel, le plus bel amour qu'il soit. Désiré ou pas, un enfant reste le plus beau cadeau de la vie. 

Mes regrets iront vers ces handicapés de l'amour qui ont croisés ma route. Certes . . . je leur dois mes enfants, mais ce sera ma seule reconnaissance. Quoi qu'encore je ne sois pas certaine qu'ils aient su ce qu'ils faisaient vraiment à ce moment précis ( Roooo la, je crois que je fais ma vilaine).

Mes regrets, si tant est que j'en aie, seraient plutôt diriger sur la perte de temps. Ce temps qui défile, inexorablement, qu'on ne mesure pas vraiment, et qui peut être gaspiller sans véritable conscience.

J'ai bradé mes plus belles années . . . serait-ce du regret? oui, sincèrement oui. Même si cette prise de conscience n'apporte pas grand chose sur le fond, l'accepter, l'assumer et l'analyser est sensé permettre de ne pas gaspiller celles à venir. Lorsque la quantité diminue, il peut être sympa de veiller à ce que les dernières soient de qualité.

Comment ne pas finir par se dire que le bonheur nous appartient, que  nous ne le devons qu'à nous-même. Croire que l'autre détient le pouvoir de nous rendre heureux, s'imaginer qu'il va nous l'offrir, et faire de notre vie . . . une ode à l'amour, c'est remettre entre les mains de l'autre, le pouvoir de nous avilir à l'attente,  à la souffrance mais plus surement à la frustration et à son désir, pas au notre.

Alors, aujourd'hui, riche de ces expériences dont je tire des leçons, j'en termine avec les regrets.
Ils ont participé à nourrir ma remise en question, à comprendre mes erreurs.

J'ai choisi de me rendre heureuse. 

Sam

 
 

il m'a pris pour sa mère...!!!!! In aiuto...!!! Oedipe sors de ce corps..


"Œdipe, héros mythique et tragique de la Grèce antique, a, sans savoir qui il était, tué son père et épousé sa mère. Pour Freud, il symbolise l'aboutissement de la sexualité naissante, à ce stade où l'enfant, entre trois et cinq ans, fait tout pour séduire son père ou sa mère, devient agressivement jaloux du parent de son sexe, et a ses premiers gestes incontestablement sexuels. Toujours lié, selon Freud, au complexe de castration, l’œdipe, idéalement, n'est pas refoulé mais liquidé, sans même laisser de traces dans l' inconscient. Ce n'est cependant pas toujours le cas et dans la mesure où ce complexe structure les formes de sexualité de l'adulte, il devient, mal surmonté, un facteur important des névroses" 

Alors, je ne peux que conclure que certains hommes "névrosés", ont mal surmonté leur complexe d’œdipe, et cherchant une ch'tite mère dans toutes les femmes qu'ils croisent, finissent par rencontrer une femme correspondant aux critères que leurs névroses réclament.

Selon Freud, ( encore lui )  premier de la classe des névrosés, le hic se trouve dans le désir d'ordre sexuel . . . ( après,  je n'imagine pas, à l'époque, Œdipe en train de jouer les machos auprès de bobonne, son épouse et mère . . . hein ? ? ? ? Freud, ça . . .  lui,  il n'en parle pas ) bref, passé la névrose du désir sexuel, tout petit homme sensé, sait que maman reste maman, et que bobonne n'est pas la pour remplacer maman . . . il faut donc qu'il en fasse le deuil . . .

Oui mais . . . parce que là, il y a toujours un mais, sinon pourquoi je serais la en train de clavarder avec vous . . . ? ? ? ? ! ! ! ! !  je vous le demande ? ? ? ?
Donc . . . mais lui . . . il n'a pas fait ce deuil, lui . . .  il veut tout, une femme qui présente bien, une femme intelligente, si elle est jolie, et plait aux autres hommes c'est encore mieux, ça va regonfler son égo mais surtout, et principalement  qui le materne, parce que finalement ce n'est pas plus mal, et c'est le plus important . . .  ( pas con l’gars ! ! ! ) 

Cette Dinde de mère, qui culpabilise à mort, le plaint son petit gars . . . pôv,pôv,pôv petit loup ! ! ! alors elle lui fait son lit, range son bordel, lui fait de bons petits plats, et lorsqu'il se comporte comme le dernier des" sagouins" . . . ben le pôv, il a des circonstances atténuantes, il a tellement souffert dans sa vie . . . Elle lui passe tout, lui pardonne tout, elle le laisse, même  décider de : quelle sera sa vie, et   si elle . . .  elle aura le droit , ou pas, de refaire la sienne.

Il a les mêmes exigences que ce que Môman lui a toléré, et il attend que bobonne le materne, l'assiste dans tous les domaines, puisque selon lui, c'est ainsi qu'il a toujours fonctionner.

 
Mais le regard des autres revêtant une réelle importance, ce serait ennuyeux et déplaisant pour lui que la populace est une piètre opinion de sa petite personne . . . alors il triche, il fabule, il joue un rôle . . . le rôle de l'homme parfait, qui assume sa part de féminité comme il dit (comme si les taches ménagères n'étaient attribuer qu'aux femmes, les idées reçues ont encore de l'avenir . . . ) il dit tout faire, ou du moins en être capable, en plus d'aller travailler, ceci afin d'être en mesure de " ramener pitance à tribu" . . . ou de bricoler . Bref, il fait celui qui . . .

Et pour aller au fond des choses . . . l'ombre du complexe d'Oedipe rôde, en sa qualité de relation incestueuse, et comme il est interdit de faire l'amour à sa mère, il sera interdit de faire l'amour à bobonne.Résultat : 14 ans d'abstinence imposée . . . Aiuto,  un psy, vite

 
Dans l'impossibilité d'assumer cette personne qu'il est, dont il a honte parfois, il n'aura d'autres ressources que de vivre dans le mensonge, et dans la manipulation. 

Sam