mardi 7 septembre 2021

Dialogue de sourd avec mytho man

 J'ai  compris, au vu de quelques messages échangés, hier, que Patrick est un mytho qui ne comprend rien, et c'est un euphémisme.

J'avais déjà vécu cette situation chez Pascal, ou  il me  fallait systématiquement  utilisé un langage lambda, sans aucune nuance, afin d'être comprise.

 Dans ce cas précis, je ne crois pas davantage  que les subtilités de la langue française puissent être saisi par ce genre de personne. Il est, on ne peut plus basique voire selon  les tests d'aptitudes cognitives, dans la moyenne basse.

 Je le crois  incapable d'appréhender les phrasés psycho, encore moins les métaphores. Ce n'est pas grave en soi, tout le monde ne peut pas avoir une bonne élocution sauf que sa retranscription ( parole de menteur) faite à ses collègues, ne  correspond plus à la réalité de notre échange. Et c'est malheureusement sur ça, qu'ils me condamnent, d'après ce que j'en ai compris. Et si j'écoute les conseils d'amis reçu aujourd'hui,  je devrais VRAIMENT me méfier de TOUS, y compris de la personne qui m'a renseigné. Il semblerait qu'il y ai eu une forte influence de comportement. Mais bon, mettons cela sur la méconnaissance du nouveau.

Et j'avoue ma déception à la lecture de ces messages. Il est clair que personne n'a été capable de prendre le recul nécessaire, comment peut-on être aussi naïf, et soumis a un collègue ?

J'imagine aussi, que falsifier la vérité l'a  arrangé (  il avait besoin d'alliés dans son camp).   C'est pas bien d'être une commère. Mais, de ce que j'entends, il le sont tous. Je n'ai jamais croisé  autant de bouche de vieille au masculin que dans la fonction publique.

Lors de mon échange avec mytho man  il n'avait de cesse de botter en touche . . .  et de répondre à coté. Il fallait sans arrêt le ramener sur le but de notre "affrontement". 

 Je citais notre lycée, il parlait d'un autre, j'étais donc obligée de lui faire la remarque que je n'avais rien a foutre de ce qu'il se passe dans un autre lycée que je parlais de celui ou nous étions  . . .  Et il m'a fallut employer cette méthode pour la quasi totalité des propos , je prends pour exemple  le cas d'une collègue qui a  largement abusé  des pauses . . . laquelle signifie, pour se dédouaner d'être en faute " qu'elle fait comme tout le monde", Tout ceci pour lui faire comprendre que je désapprouve, et même je m'oppose a cette façon de se cacher derrière les autres pour se donner bonne conscience. 

Comme de bien entendu, il botte en touche et cite les dernières fois ou elle n'a pas abusé,( il n'y a pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre, je me suis demandé s'il était vraiment con ou s'il le faisait exprès ?  Je rectifie, en lui disant que  je ne parle pas de maintenant mais d'un certain passé et surtout que c'était un exemple pour pointer du doigt que ce n'est pas en se voilant la face et en se cachant derrière les autres qu'on  en est  moins fautif. 

 Encore pour donner un exemple je parle de quelque chose qui s'est passé le jour du décès de Nicolas, entre autre que lorsque Nico était tombé suite a son arrêt cardio il était en pause café vers 10h, ( et je n'ai rien dit de plus que ça), il a aussitôt embrayé sur le fait qu'il avait blessé Nicolas, et qu'il s'en voulait encore etc ( et je n'ai pas enfoncé le clou en lui remémorant la scène au petit déjeuner le matin, et je pense que ses copains OP ne  seraient pas ravis de l'apprendre)

 Je trouve son comportement  malsain, et immature. Il se paye ma tête, mais aussi celle de ses collègues qu'il prend pour des demeurés en leur racontant des mytho. Sont-ils dupes, ou compatissants ? ils en ont peur ?  c'est lui le gourou ?

J'ai compris grâce au fait qu'il ait menti en m'assurant qu'il ne parlerait pas de la mise au point,  qu'il ne pourrait pas s’ en empêcher parce qu'il ne fait que parler dans le dos des gens.  Il a le toupet de dire qu'il n'est pas comme ça, qu'il ne critique pas, cependant qu'il se reconnait moqueur . . .  "Bonjour Ducon, c'est quoi la différence?" du moment que c'est fait dans le dos ?

Le plus écœurant , c'est la facilité avec laquelle  il  déforme ce qui a été dit,  à son avantage, pour se donner raison.  Tellement de personnes n'assument pas leurs erreurs, leurs fautes, l'image qu'ils offriraient aux autres, surtout dans ce cas précis de commérage, "Roooo c'est un truc de fille  et il est un homme (macho en plus), que va-t-on penser de lui si on apprend qu'il   pratique ce "sport linguistique"?

Et la cerise sur le gâteau . . .  the cherry on the cake . . .  Mytho s'est vanté de ne pas aimer les conflits,  ET au contraire, "il fait tout pour réconcilier les personnes", et pour appuyer ses dires, il me raconte qu'au pot de fin d'année, ( j'en ai rien à foutre mais bon) Nathalie étant arrivée après Anne, et sachant qu'elles ne peuvent pas se voir, Mytho bon samaritain est allé chercher Nathalie "par la main" ( elle était dans un coin) pour la ramener vers le groupe, m'expliquant au passage qu'il était dans l'idée de les voir se réconcilier . . .  j'ai oublié " c'est à quel moment que l'on rit . . .  ? ? parce que franchement, pour quelqu'un qui m'a dit et répéter, 1 h durant qu'il n'aimait  pas les conflits, il aime bien en être l'instigateur, quel intérêt d'aller raconter ça aux collègues si ce n'est que pour foutre la zizanie, et ça marche puisqu'il a le public qu'il faut.  un déni de plus, ou un mensonge ? ?

Je me souviens de ma fille ainée, qui pratiquait  ce type de mauvaise foi, ou d'arrangement à sa sauce, de retranscriptions de conversations. Elle s'était faite grillée par une psychiatre, lors d'un entretien en ma présence . . .  et oui, il n'y a pas que des dupes sur terre, certains ont du discernement ! !  j'avais pris l'habitude d'enregistrer les conversations, de sauvegarder les échanges écrits,  etc . Habitude que j'ai . . .  lorsqu'on est confronté a des incurables menteurs, il faut savoir prendre des mesures pour les confondre, et les pousser à se voir tel qu'ils sont ou dans le pire des cas, pouvoir se défendre lorsqu'ils nient. (mon profil me vaut une très grande mémoire, en plus)

J'en discutais avec une amie, tout à l'heure, au téléphone, elle hallucinait et  on  se demandait ce qui les poussent à être comme ça, langue de vipère, a parler de la vie des autres, je pense franchement qu'ils ont une vie de merde, très insipide et sans surprise. Lorsqu'on a pas de vie, on s'occupe de la vie des autres . . . 

 Je crois que je finirais par poser la question à Élise, elle est trop forte cette psy ! ! ! ça m’intéresse de comprendre comment on peut fonctionner ainsi, sans avoir honte de soi-même, comment peut-on évoluer dans la vie sans un minimum de fierté  et de dignité.

Alors je ne veux plus attendre parler ni de mytho man , ni de celui par qui tout a commencé ( il a reçu le message) . . .   Moins j'aurais  d'interaction avec tout ceux de Rascol, plus je gagnerais en  tranquillité et en sérénité. Je leur souhaite d'aller se faire foutre.

Lorsqu'il y a un fruit pourri dans le panier, les autres finiront par pourrir aussi. 

Sam

NB:  le 8/9/ j'avais oublié de préciser que j'aurais  papoté (soi-disant) sur les personnes qui mangent avec eux aux ateliers,  d'abord je n'ai pas du tout abordé le sujet ( parce que j'en ai rien a foutre, et qu'en plus je suis surement la dernière à avoir envie d'aller dans leur bouiboui), ensuite c'est  l'autre mytho, qui  a abordé le sujet (dont je n'avais que faire) disant qu'il ne voulait personne pour éviter les histoires. Je ne comprends pas ce besoin de se justifier, c'était certainement un évitement de plus.

Peut être une image de texte qui dit ’Restez proche des gens négatifs et bientôt vous deviendrez ce qu'ils sont. Ce n'est qu'une question de temps.’

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