Il y a parfois des phrases conclusives ou des attitudes qui donnent envie de fuir, et qui abiment le sentiment. Pour moi, ça a été le premier signe de la dégringolade . . .
Le 25 septembre 2015, Pascal qui ne supportait pas que je puisse être pensive et de ne pas lui faire part de ce que j'avais dans la tête : Quand tu es ici . . . tu n'as rien d'autre à penser qu'à mon bien être, tu restes chez toi (chez lui) et tu as un homme qui t'aime . . . tu aimes t'occuper de moi ! ! ! 😱😱😱
Sam
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimer