lundi 13 mars 2023

Côté pile, côté face



 Je tourne, retourne les phrases dans ma tête, incapable de trouver par quelle phrase commencer ce post . . . 

Il suffirait pourtant de dire simplement que mon Loulou, mon fils,et mon Lou, mon ami, ont tous les deux prononcés LA phrase rassurante, preuve d'amour et de considération.

C'est ce que prônait mon Lou, Dimanche : " si je n'avais rien à faire, de ce qu'il t'arrive, ce serait la preuve  de mon indifférence,  et donc d'une absence d'intérêt et d'amour." 

Lorsque tu vis quelque chose qui te renvoie a un épisode de ta vie traumatisant, c'est réconfortant de savoir que tu as du soutien.

Les 2 ont su me dire qu'ils n'hesiteraient pas à poser une journée pour venir. Je n'irais évidemment pas jusqu'à demander ça, mais se l'entendre dire est apaisant. C'est sur qu'a choisir, je préfère ces propos, au :" j'en ai rien a foutre" qui pose questionnement sur les relations.

Alors, bien sûr . . . Dans ces moments précis . . . On se rapproche de la douceur, plutôt que du coup de badine. On préfère des bras qui entourent dans un silence absolu, une autre façon de dire " je suis là, tu ne crains rien " que de prendre une énième "claque" 

La leçon est apprise,  on sait  à qui se confier et avec qui s'en tenir  aux  banalités d'usages. Ces fameuses "convenances"

Sam


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