vendredi 21 janvier 2022

Mais qu'ont-ils dans le crâne ? ? ?

 Mais qu'ont-ils dans le crâne ? ? ?  du courant d'air, et si tu te trouves à coté, tu t'enrhumes ! ! ! 

Comment font ils pour ne pas se sentir gêner par le fait de raconter les autres ? ? ?  Je suis malade et absente, je me suis demandée tout à l'heure si je ne postais pas un bulletin santé sur la communauté, ainsi tout le monde serait informé, et ça irait plus vite. 

J'ai toujours eu des idées reçus sur le poste de concierge, de gros aprioris concernant cette fonction, réclamant de la  curiosité maladive, une propension à l'intrusion . . . et la langue bien pendue comme les vamps . . . 

Quel est l’intérêt pour Nathalie de révéler à une prof que je suis absente, a part de blablater gratuitement  ? ?  Est ce que c'était primordial que cette prof en soit informée ? (que j'adore par ailleurs)  est ce que je manque dans le service ?  Rien de tout ça, aussi ce n'est que du commérage de concierge, exactement ce qui me fait horreur. Sans doute  ne suis-je pas assez grande pour savoir a qui j'ai envie de parler de moi.

En tout cas, cette attitude apporte de l'eau à mon moulin concernant cette fonction, et cette mentalité de merde de fonctionnaire, plus prompt à baver qu'a bosser ! !

Comme le chef . . .  avait il besoin d'informer les OP, si ce n'est que faire sa bouche de vieille ! ! !  Qu'avaient ils besoin de le savoir  ? ?  Je n'en avais croisé aucun. On est capable de prévenir, nous même les personnes avec qui nous avons été en contact . . . C'est quoi l'idée ? leur donner l'occasion de s'absenter ?  

En tout cas, je constate que le niveau est bien bas, que les cerveaux sont bien vides, et qu'une majorité de fonctionnaires ( et les hommes ne sont pas les derniers) de mon job pratiquent consciencieusement le commérage, sont d'une curiosité malsaine. Ils  racontent sans pudeur la vie de leurs collègues à d'autres collègues, ils n'ont aucun respect, qu'en serait il si on faisait pareil avec eux ?

Si je sortais les dossiers  sur chacun  .  .  . Ainsi, ils pourraient  découvrir la véritable nature de leurs collègues. Ils se critiquent les uns les autres, par derrière, mais se lèche le cul en face à face. Quelle bande de faux culs, ils m’écœurent, me donnent la gerbe. Une chose est sure, je n'aurais aucun respect pour ces personnes là.

Pas de couilles  et la langue qui traine par terre, des faignasses de première, roublards-es, menteurs-euses opportunistes  . . .     

Ça ne  comprend rien et ça pavasse à tord et à travers. Pour s'occuper du cul du voisin . . .  il y a toujours du monde, pour bosser c'est moins virulent ! ! !

Sam





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